Accueil » Cannabis : le Canada après la légalisation. Ces masques que les médias et les gouvernements appliquent sur la réalité !

Par Duchesne Christian

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Résumé : La culture domestique, la vente, la détention et l’usage du cannabis ont été légalisés au Canada le 17 octobre 2018, mais il reste interdit d’en vendre aux mineurs. L’objectif affiché était d’empêcher les jeunes d’en consommer et de couper l’herbe sous le pied des trafiquants. Deux ans plus tard, un premier bilan montre que la consommation par les jeunes a été multipliée (avec tous les drames et les coûts sociaux résultants) et que les trafiquants, loin d’avoir disparu, voient aussi croître le marché des drogues dites « dures ». La responsabilité (et la corruption) de la classe politique canadienne est ici flagrante, car nombreuses avaient été les interventions privées et publiques annonçant ce qui en résulterait. Éducateur, animant un site contre la drogue depuis de nombreuses années, l’auteur nous livre ici sa réaction à chaud devant cette catastrophe humanitaire.

Dans un article publié dans Le Cep n° 851, j’exposais mes doléances en lien avec l’étrange précipitation de Justin Trudeau2 à légaliser un produit neurotoxique (illégal au Canada depuis 1923), et cela dans un pays où les jeunesses voient leurs repères se désintégrer telle une peau de chagrin à la puissance mille. Cet article reprenait une de mes lettres d’août 2018 adressées aux élus « néolibéromoraux »3, dont la députée Eva Nassif,4 ainsi qu’aux sectateurs non élus5… [pardon, sénateurs non élus !]. J’y exposais les raisons foncières pour ne pas légaliser cette drogue, entre autres6 : l’échec sanitaire néerlandais (pas ou peu relayé par les médias, sauf Science & Vie de février 2013) ; la propagation du mensonge d’une légalisation par ce pays, alors qu’il n’y a jamais eu légalisation aux Pays-Bas, seulement une tolérance ; la multiplication des psychoses toxiques7 (et d’autres pathologies); l’effet d’entraînement par banalisation (réaction en chaîne, ou – si vous préférez un mot à la mode –, par contagion) dont le fruit pourri est cette trappe béante qui mène aux drogues de synthèse et à la cocaïne et donc, ironiquement, à la promotion des gangs criminalisés que l’État dit honnir8.

Ajoutons à ces calamités, l’érosion des valeurs qui accentue la détresse et favorise la virulence du syndrome de Stockholm9, maintenant inoculé en profondeur, un syndrome très bien expliqué par les judicieuses expériences de psycho-tortures-tranquilles de Stanley Milgram. L’expérience de ce psychologue américain fut publiée par ce dernier en 1963. Elle évalue le degré d’obéissance d’un individu devant une autorité qu’il juge légitime [dans ce cas la science] et permet d’analyser le processus de soumission à l’autorité, notamment quand elle induit des actions qui posent des problèmes de conscience au sujet, voire même contraires à ses valeurs morales10.Milgram a ainsi prouvé que 85 % des gens sont prêts à infléchir, voire à étouffer leur conscience si le symbole d’une autorité le demande (avec un sarrau blanc avec un badge, qui pourrait être faux de surcroît), démontrant par le fait même (peut-être sans le savoir), qu’une certaine répression a un impact positif pour l’immense majorité de la population.

Sans équivoque, si ce syndrome met en évidence l’un des plus obscurs labyrinthes de l’esprit humain il a surtout le mérite d’expliquer comment le totalitarisme devient la norme plutôt que l’exception. Einstein n’a-t-il pas dit : « Ne fais jamais rien contre ta conscience, même si l’État te le demande » ? Phrase du savant qui serait l’expression de son profond regret consécutif à son approbation au Projet Manhattan en 194211.

Bref, la légalisation du cannabis est une catastrophe sanitaire, morale, familiale et nationale rendue possible par la stratégie payante du « à petit feu » ; stratégie que les masses ne perçoivent pas, ce qui exhorte les gens de l’ombre à généraliser son utilisation. En effet, sous les apparences joviales (cool) de ses consommateurs, cette drogue qui liquéfie « à petit feu » les neurones rend ses victimes apathiques et narcissiques (des outils parfaits pour tout mauvais dirigeant désirant une autre purge…), détruisant leur personnalité, leur famille… et affaiblissant le pays. Et Dieu sait que la peste du narcissisme est la porte ouverte vers une permissivité générale qui n’est qu’une piètre expression pour nommer l’anarchie ! D’ailleurs, une illustre Canadienne, la juge Emily Murphy (Alberta) a publié en 1922 The Black Candle, un livre basé sur une série d’articles parus dans Maclean’s à propos des ravages du trafic de la drogue12. Un chapitre s’intitule même : « Marihuana, une nouvelle menace ». Elle y décrit les affres de cette drogue, qui aurait pour effet de rendre les consommateurs, selon l’expression bien d’époque, « complètement fous » 13.

Ce qui est fort intéressant dans son livre, est qu’elle explique ce que signifie le mot « fous » : « Les toxicomanes perdent tout sens de responsabilité morale14 », une affirmation largement confirmée depuis par l’expérience et les multiples recherches à propos de cette drogue et maintes autres. Par la même occasion, cela nous permet de découvrir un autre écueil majeur ; en effet, nous constatons qu’il y a eu un changement – d’autres diraient une évolution – du sens de ce mot depuis cent ans.

S’il suffit d’un seul quark d’imagination pour apprécier combien de gens et de familles cette dame a pu sauver au Canada depuis 1923, on peut aussi comprendre comment, en trafiquant le sens des mots, les progressistes ont mené notre société moderne à augmenter ses maux et sa perversion (hommage à Malraux et à Platon). En ajout à la félonie, on ose aujourd’hui parler péjorativement de cette criminalisation de 1923 en termes de mauvaise réaction en chaîne, je cite : « Une fois qu’un système [répressif] est créé, ça déclenche un effet boule de neige. » Cette citation récente du professeur Dan Malleck, du Département des sciences de la santé de l’Université Brock, est révélatrice. Si elle a le mérite d’exposer l’extrême malhonnêteté intellectuelle ambiante, elle révèle de surcroît que seuls les « progressistes » peuvent utiliser un argument général pour justifier la décriminalisation des drogues, et crier au scandale lorsque nous l’utilisons à contre-courant. Dit autrement : les bons arguments ne sont permis que pour la cause « progressiste » (qui n’est rien de moins qu’une révolution tranquille) et jamais permis pour ceux qui défendent les valeurs morales et traditionnelles chrétiennes.

Le doute n’est maintenant plus possible, nous sommes bel et bien en présence d’une contre-Église dont le chef va un jour devoir ôter son masque.

Puis, j’écrivis aux sénateurs, dont André Pratte, fervent promoteur – pour ne pas dire féroce promoteur – de la légalisation, et ancien haut gradé de La Presse, un des nombreux organes de propagande de la pensée unique de ces sorciers de la réingénierie sociale, constamment excités, disais-je, pour s’opposer – en brandissant l’étendard du progressisme – à la morale traditionnelle. Progressisme qui, souvenons-nous-en, est apparu simultanément dans tous les pays occidentaux ; démontrant l’existence d’une hiérarchie souterraine dont le néolibéralisme moral n’a rien à envier à l’autre néolibéralisme.

« Schizophrénie, baisse de QI, dépression […]. De quoi en finir avec l’idée d’une drogue douce », Science & Vie, février 2013, p. 70.

Pour entrer dans le vif du sujet, Mme Nassif avait répondu à ma lettre en me disant que « mes connaissances [voir mon site Internet15] étaient trop pointues », et qu’elle avait refilé « ma lettre à Santé Canada »16, tout en m’affirmant « que le ministère me répondrait sans faute ». Une réponse qui n’est jamais venue. Dans le cas gravissime de Pratte, sa réponse à mes arguments fut l’utilisation des sophismes habituels : « Il est prouvé que la répression ne fonctionne pas… » et d’ajouter, « que celle-ci a profité au crime organisé » pour terminer en affirmant que « cela engorge les tribunaux ». Et pourtant, la GRC (Gendarmerie Royale du Canada) est allée, dès le départ – et même après la légalisation – et en une seule phrase, contre ces assertions de sophistes ; je cite : « Il est peu probable que les grosses organisations criminelles comme les Hells Angels et la mafia en souffrent parce qu’elles tirent aussi des revenus d’autres drogues plus lucratives comme la cocaïne, l’héroïne et la méthamphétamine17. »

Donc, si nous gobons bêtement l’argument de Pratte, dont l’étrange logique est à l’exact opposé des preuves de Milgram (et du syndrome de Stockholm), on n’aurait qu’à tout légaliser afin de couper l’herbe sous les pieds des organisations criminelles. (On pourrait utiliser la même logique tordue et invoquer que la suppression de l’argent liquide mettrait fin au travail au noir, aux drogues et aux fastidieux « rapports d’impôt », pour qui sait lire ce signe des temps imminent).

Les personnes qui ont encore un neutrino de jugement savent qu’il n’y a pas qu’un seul écueil ici ; il y a tout un Léviathan qui, à fleur d’eau, n’attend que le bon moment pour l’attaque finale. Attaque qui, on le voit, sera bientôt rendue possible par la convergence d’événements non fortuits… Sacré Roosevelt, il avait raison, « en politique, le hasard n’existe pas ! » Et dire que nous n’avons, en tant que pays, qu’à peine trébuché sur le premier écueil.

En effet, je « prédisais » depuis longtemps que la brèche cannabis allait s’agrandir, entraînant des milliers de jeunes vers le décrochage scolaire, le désespoir, la maladie mentale18, l’ouverture psychologique à tenter d’autres drogues, et dans plusieurs cas, la mort ; augmentant indubitablement le fardeau sanitaire et donc fiscal… Et c’est exactement ce qui se produit sous nos yeux, le début d’une réaction en chaîne ; ou si vous préférez, un « effet boule de neige ». En effet, chaque citoyen qui tombe dans l’enfer de la drogue est un citoyen qui perd son potentiel pour lui-même et pour toute la société. Et plus il est jeune (ou a des enfants), plus cette perte est immense et touche un nombre important de gens autour de lui. Que cette augmentation soit de 2 % ou 8 % par an (selon les sources) importe peu. Le fait est que le nombre de malades à vie (psychoses, etc.) monte inexorablement, augmentant ainsi le fardeau de tous. Il faut être viscéralement décérébré pour ne pas voir que tout converge actuellement pour rendre les pays insolvables et ingouvernables…

L’autre argument que Pratte a utilisé dans sa réponse (sur toutes les jubilantes tribunes qui affluaient avec empressement) fut (avec un ton de « chantage affectif », qui trahissait son agacement) : « Si je comprends bien, vous êtes de ceux qui veulent que des gens et des jeunes adultes aient un dossier criminel pour simple possession ?! » Une question vicieuse, car elle comporte à la fois un écœurant sophisme ainsi qu’un chantage émotionnel indigne. En effet, malgré tous les faits contraires et 100 % des voix professionnelles (policières, médicales, psychiatriques, enseignantes et des psychothérapeutes) qui se sont élevées contre la légalisation, les médias du Québec ont tout de même propagé les inepties de ce grand homme de presse tout en minimisant au maximum les propos de spécialistes infiniment plus compétents. Vraiment ? Car si la répression ne fonctionne pas, alors pourquoi l’utilise-t-on à toutes les sauces : la route, le fisc, les services sociaux anti-parentaux, en milieu scolaire, pour le sexe et maintenant… pour les vaccins !?

Ben tiens ! Pourquoi ne pas enlever les amendes pour le code de la sécurité routière tout en installant ce véritable apartheid que sera le passeport vaccinal ?!

Pour ce qui est de l’argument de la judiciarisation, c’est une fourberie sans nom. Car, outre la grande et légendaire tolérance des policiers canadiens, et surtout québécois, pour possession simple de cannabis, beaucoup plus tolérants qu’aux Pays-Bas, et même pour la culture à domicile, les gens qui se voyaient judiciarisés en lien avec cette drogue étaient généralement les vendeurs (pushers) et ceux qui en possédaient de grandes quantités, ou les multirécidivistes indécrottables, souvent auteurs d’autres crimes ou vendeurs d’autres drogues. Quant aux mineurs possédant ou même vendant de la drogue, ils n’avaient qu’un « dossier jeunesse » jusqu’à l’âge de 18 ans; autrement dit, rien19! Pour avoir travaillé dans le milieu scolaire depuis 1996, et suivi une formation d’intervenant en toxicomanie, j’ai été témoin d’événements assez importants pour mériter d’être publiés et qui n’ont pourtant jamais transpiré dans les médias. En bref, les faits cumulés sur une longue période montrent que la « répression » (si l’on exclut quelques policiers trop zélés de l’Ouest canadien) dans la majorité des provinces était équilibrée, tolérante et ouvrait la porte pour aider les captifs des psychotropes.

L’autre slogan-sophisme en vogue chez les progressistes et les médias est que « la répression fabrique toujours des criminels ». Cela est totalement faux, sinon nous serions bientôt tous des criminels. (Soulignons à nouveau que cet argument est toujours utilisé pour niveler vers le bas). S’il est en effet établi qu’une trop forte répression peut avoir des impacts négatifs, voire tout à fait contraires à ceux qu’on en attend, le remède (en l’occurrence la légalisation) quant à lui, ne devrait jamais causer plus de torts que la maladie.

Or, ce qui est constaté est justement la toxicité du « remède », comme vous le verrez. Qui plus est, les drogués ne sont pas des monstres, mais des gens qui souffrent (trop souvent suite à la séparation de leurs parents). L’autre écueil est que le système d’amende sévère mis en place depuis la légalisation augmente la détresse financière des drogués et de leurs familles : un autre effet « boule de neige » dont on ne parle pas. Ainsi nous constatons que la « réalité » fabriquée par les médias de la haine20 n’a rien en commun avec la réalité sur le terrain. En effet, l’expérience montre que si des « poteux »21 deviennent criminels, c’est que la consommation les rend de moins en moins aptes à un travail lucratif et valorisant, et que ceux-ci, pour compenser leurs frustrations et échecs et payer leur « dope », recourent au vrai crime pour arrondir leurs fins de mois (fraudes, vols, extorsion, endettement chronique d’eux-mêmes et de leur famille).

Je pense, pour ma part, que le maintien de la criminalisation assortie d’une sage tolérance permettait un équilibre à la fois préventif et dissuasif. Et qu’on ne me parle pas de l’autre sophisme de l’engorgement des tribunaux, car l’industrie du divorce, des services sociaux abusifs et de la criminalisation de l’alcool au volant les engorgent massivement depuis des décennies22, au point que le récent Arrêt Jordan permet de libérer tout criminel dont la peine aura dépassé 5 ans.

Ce qui est révélateur, est que ces pseudo-offensés n’ont jamais rien fait pour corriger cet engorgement non seulement préexistant, mais entièrement fabriqué ! (Nous avons ici affaire à la même technique des fausses statistiques utilisée lors de la cause Roe vs Wade aux États-Unis.) En résumé, nous constatons qu’un équilibre vital est brisé par la légalisation et fait dangereusement pencher la balance vers une forme sournoise de négationnisme général. Maintenant, comment pourrons-nous empêcher un véritable emballement, terme que je n’hésite pas une seconde à emprunter aux puristes carbonophobes !

Soulignons de plus que la légalisation a rendu furieuses les autorités policières américaines, car une bonne part du travail de prévention fait depuis des décennies s’est évaporée par la simple signature de l’irresponsable narcissique qui trône à Ottawa.

Même Vladimir Poutine, pourtant situé à des milliers de kilomètres de Justin Trudeau, a exprimé sa colère face à cette décision décervelée. Il relie même cette affaire à la sécurité nationale, et il a 100 % raison.23 Mais pourquoi donc les USA si puritains, n’ont-ils pas fait de cette situation au Nord un enjeu de sécurité nationale ?!24 C’est un secret de polichinelle que la raison en est la corruption démocrate et médiatique endémique qui veut transformer les États-Unis en une sorte de Canada communiste25.

La légalisation du « pot »26 n’est qu’une lézarde pour briser une barrière morale (et sanitaire) essentielle en lien avec la totalité des drogues, tout en minant l’autorité parentale ; une autorité déjà quasi inexistante pour les ados. Comme je le « prédisais » sur mon site dès le 13 juin 2013, les annonces subtiles de légalisation depuis plus d’une décennie (aussi en raison de la légalisation en 2001 de la marijuana « médicale »), avaient mené bien des jeunes à crier « Cool ! dans 10 ans on va avoir droit à la coke [cocaïne] ! » J’ai moi-même entendu ce cri en milieu scolaire, surtout chez les garçons. D’ailleurs, on n’a pas eu à attendre longtemps pour que le Léviathan sorte son nez hors de l’eau, réalisant malheureusement une autre de mes faciles « prédictions ».

En effet, peu après la légalisation du cannabis, les jeunes libéraux fédéraux, réunis en congrès extraordinaire, demandaient à préparer le terrain pour une décriminalisation de toutes les drogues, y compris l’héroïne27.

Ce cri du cœur que je lance ici s’adresse aux pays qui ont encore une étincelle de bon sens, toute décriminalisation de drogue est un piège funeste vers la légalisation et par conséquent la promotion des drogues !

Ajoutant à sa barbarie sociale, financière et sanitaire, Justin Trudeau ose même utiliser à toutes les sauces le terme « cannabis récréatif » (comme ses médias-caniches, d’ailleurs) ; une désignation à forte consonance enfantine et positive qui rappelle le plaisir de la récréation scolaire pour les moins de 12 ans ; ce qui ne peut qu’accentuer la banalisation de la drogue dans l’esprit de ces jeunes et même – croyez-le ou non – chez certains parents et intervenants sociaux. Les sectateurs connaissent bien la puissance des mots et ils l’utilisent systématiquement contre nous, tout en nous interdisant d’utiliser judicieusement cette puissance. Ainsi, refuser de voir, d’une part, que notre sinistre premier ministre ne rate pas une occasion de faire la promotion de cette substance et, d’autre part, l’effondrement sanitaire prévisible28 relève soit d’un aveuglement volontaire, soit d’un immonde machiavélisme29.

Événements consécutifs à cette légalisation ?

Dix-huit mois avant la légalisation – alors que le nombre de jeunes consommateurs progressait en raison de l’anticipation et de la banalisation30 – deux jeunes avaient constaté, par leur cercle d’amis élargi (à 40), que les quatre parmi eux qui en consommaient régulièrement avant l’annonce pré-légalisation, devinrent huit quelques mois avant la légalisation. On peut dire d’emblée que cette statistique scolaire, bien que sommaire et limitée, ne comporte guère de biais importants. Ceci, d’une part, par l’absence de gêne à parler ouvertement d’une consommation qui allait devenir légale de toute façon et, d’autre part, avec ce désir de généraliser le « party »31 en l’étendant à tous. Non seulement ils n’avaient aucun tabou (les jeunes de 2016 à septembre 2018) pour parler ouvertement de la chose ni pour dire qu’ils consommaient, mais en outre ils avaient le vent en poupe par les surenchères du 4e pouvoir. Bas les masques, ces jeunes consommateurs voulaient tout bonnement propager la consommation afin d’en faire un état de fait.

Donc, sur un réseau d’environ 40 amis d’une école privée d’environ 750 élèves, ces deux jeunes m’ont affirmé avoir recompté, au début de 2017, de six à huit consommateurs de cannabis sur quarante (tous des garçons); soit une augmentation d’environ 100 % sur deux ans depuis 2015. Un autre jeune de cinq ans son aîné (et de la même école) confirma la même statistique, soit que très peu déclaraient consommer en 2015-2016. Puis, quelques mois après la légalisation de l’automne 2018, donc à Noël et au printemps 2019, on découvrit l’ampleur du drame. En effet, lors du party de Noël (2018), ainsi que de celui de fin d’année de juin 2019, nos deux protagonistes découvrirent que dans ce même vieux cercle de quarante amis, seuls deux étudiants mâles ne consommaient pas de cannabis ou autres drogues (passage des consommateurs de 8/40 à 38/40). Une augmentation de plus de 400 % par rapport à 2018, mais d’environ 800 % par rapport à 2015-2016 ! Ici, on peut véritablement parler d’une pandémie !

L’autre fait extrêmement inquiétant est qu’un troisième interrogé (un consommateur) n’avait encore jamais vu ses camarades consommer de la cocaïne… et en faire la promotion. Tous trois m’ont affirmé que cet état de choses n’existait pas avant la légalisation du « pot ». Pire, un quatrième jeune consommateur nous révélait lors d’un souper familial, fin mai 2019, qu’il avait vu quelques semaines auparavant un camarade « sniffer une ligne de coke » en pleine classe sur son pupitre. Il semblerait que l’idée d’une meilleure chance de réussir ses examens se soit répandue comme une traînée de poudre… évidemment sans tenir compte des conséquences subséquentes sur la santé mentale et physique et de la pression sociale que cela met sur les non-consommateurs qui pourraient y voir une injustice…

Malheureusement, ce qui pouvait arriver arriva.32 Un autre jeune, qui avait commencé à consommer du cannabis environ dix-huit mois avant la légalisation, a mis fin à ses jours pendant le légendaire et joyeux congé scolaire hivernal de neuf jours au Québec (semaine de relâche) de mars 2019, soit cinq mois après la légalisation. Bien qu’aucune autorité n’ait osé faire un lien entre la légalisation récente du cannabis et cette tragédie, plusieurs jeunes ont trouvé étrange ce geste de Charles.

Selon les témoignages, je pense qu’il existe de bonnes raisons de croire que Charles a surfé sur le tsunami permissiviste et que le cannabis l’a rendu dépressif. Ou encore, qu’il aurait essayé une autre drogue (de synthèse, afin que l’odeur du cannabis ne le démasque pas auprès de sa famille pendant ce long congé) le menant à la psychose toxique instantanée qui l’aurait conduit au suicide. Bien que le lien de cause à effet ne puisse être prouvé dans ce cas, il me semble raisonnable d’y voir un lien. Ce décès tragique a fortement secoué sa famille et tout son entourage. Nous prions régulièrement pour ce jeune homme et sa famille, tous victimes d’une société déshumanisée par le mensonge.

En conclusion, la catastrophe sanitaire (canadienne) des psychotropes, bien que tranquille, est puissante et a des conséquences irréversibles, comme l’affirmait l’article de Science & Vie. Donc, pendant que nos dirigeants se démènent dans le caniveau du grand concours pour le pouvoir absolu, nous, en tant que parents responsables et aimants, nous devons nous occuper de nos jeunes en les prévenant que ceux qui favorisent le libertinage, les substances avilissantes et font la guerre à la morale traditionnelle – et donc fabriquent l’apartheid qui s’ensuivra – ne sont que des menteurs qui ne les aiment pas. N’hésitons donc pas à travailler à contre-courant afin de montrer aux jeunesses comment elles sont trompées par ces joueurs de flûte techno qui, seuls, ont le droit d’occuper le haut du pavé médiatique… car on voit bien que les peuples ne peuvent s’émouvoir pour une cause que si les médias l’ont préalablement fait.

Il nous faut donc, de toute urgence, remplacer le mauvais levain des médias par le nôtre. Montrons-leur l’information dans toute sa crudité, même si cela doit faire peur ou mal. Surtout, cessons d’être égoïstes à leur égard et montrons-leur notre générosité par le temps passé avec eux ou pour eux. Découlant de tout cela, il est maintenant nécessaire d’exposer quelques étranges paradoxes. Le premier est qu’en cette redoutable ère technocratique, le fléau de la drogue se répand par le moyen le plus traditionnel qui soit : le contact humain et le bouche à oreille.

Le deuxième est que si le confinement a réussi à en ralentir la prolifération d’environ 40 % 33, les tentatives de suicide au Québec auront quant à elles tragiquement augmenté d’environ 600 % et, selon une fuite récente, le taux des suicides effectifs (déjà très élevé) aurait doublé (notez que les euthanasies ne sont pas comptabilisées dans les suicides).

Autre paradoxe : depuis environ 20 ans, le Canada fait tout un tabac en créant une impitoyable Stasi du tabac34 tout en faisant dans les cinq dernières années la promotion du cannabis… De la pure schizophrénie ! Et comme si cela ne suffisait pas, Greta Thunberg déclarait en mars 2020 que la covid-19 allait sauver la planète et, parallèlement, un grand chef religieux parlait en 2016, avec raison, de freiner la consommation pour diminuer la pollution ; et, à tort, d’en nommer le coupable désigné (et invisible), le CO2, tout en souhaitant, récemment, un vaccin pour tous ; vaccin qui, dans la tête des gens (et des entreprises), n’est rien d’autre qu’une promesse d’un retour à la vie normale et donc à la consommation effrénée (c’est le slogan que j’entends de tous et dans les médias, confirmant à nouveau Milgram). Disons-le noir sur blanc : il n’y aura pas de retour à la normale. Et ceci pour la raison fort simple que le levain de la crise actuelle (qui accroît dangereusement la distance entre pauvres et ultra-riches) provient de la carbonophobie préalablement inoculée aux élus et dont le ciment législatif et contraignant se trouve écrit ici depuis 200935 : https://ec.europa.eu/clima/policies/strategies/2020_fr.

Quand bien même nous réussirions à prouver que toute cette affaire Covid est une imposture, soit ils nous déféqueront un autre virus, soit ils nous ramèneront la crise climatique dont j’ai parlé dans les Cep n  76, 77, 90 et 91… Leur stratégie va par pelures d’oignon !

Addendum

Pendant que les promoteurs du virus à couronne grouillent d’impatience de voir couronner les gagnants de cette sorte de concours planétaire qui verra une dizaine de fils des ténèbres obtenir les couronnes de pouvoir – soit quelques élus et maints hauts fonctionnaires au parfum, néo-Robespierre (ou Néron) qui s’illustreront par leur imagination et leur fourberie dans l’art de dominer les peuples – constatons avec horreur la nuit de cristal sanitaire et informatique qui se transmet comme la peste (en effet, les gens, avec émerveillement36, se sont eux-mêmes micropucés par les smartphones) et atteindra d’ici peu un niveau de contrôle absolutiste qui aurait fait baver d’envie tous les despotes de 1789 ou ceux du XXe siècle. Savent-ils, ces néo-zélotes du pouvoir, qu’ils ne partageront le pouvoir royal avec la Bête que « pour une heure » ?! (Apocalypse 17, 12) ; c’est-à-dire quatorze jours et quatre heures, et pas une seconde de plus ?! Savent-ils qu’ils devraient plutôt interroger Jacques Cazotte, ce qui les induirait dans une méfiance salutaire envers leurs maîtres actuels et ainsi les éveillerait au fait que la Bête fait toujours mine de partager son pouvoir… comme l’avait annoncé Marie à La Salette (1846), à La Fraudais (1941), à Akita (1973) ou à Kibeho (1981-89) !


1 « Lettre ouverte sur le cannabis », Le Cep n°85, décembre 2018, p. 67.

2 Sur mon site Internet anticorruptiontranquille.ca, vous pourrez constater que l’ami et directeur politique de Justin Trudeau est devenu multimillionnaire dans l’industrie du cannabis et cela bien avant la légalisation… Maints politiciens et d’anciens ministres libéraux fédéraux ont fait des affaires en or avec cette légalisation… Étrangement, ils viennent tous de vendre leurs actions reliées à cette « industrie » :

http://www.anticorruptiontranquille.ca/index.php/lesdrogues/aspectpolitique

https://www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-canadienne/201705/28/01-5102287-lindustrie-du-pot-attire-dex-tenors-du-plc.php

https://www.journaldequebec.com/2018/02/01/ex-ministres-liberaux-federaux-dans-lindustrie-du-cannabis-le-quebec-protege-par-une-loi-qui-nexiste-pas

3 Il est frappant de voir comment les mêmes personnes combattent le néolibéralisme financier comme un mal exécrable et, parallèlement, travaillent à propager le « néolibéralisme » moral!

4 La seule députée libérale à avoir répondu… Elle a finalement démissionné de son mandat d’élue.

5 Un lapsus qui m’est déjà survenu verbalement…

6 Il faudrait y ajouter : l’augmentation des accidents de la route partout où le cannabis a été légalisé; l’absentéisme; la baisse des rendements scolaires et donc l’augmentation du décrochage scolaire.

7 Ajoutons qu’il s’agit d’une porte ouverte au spiritisme. C’est en effet de cette manière que maints peuples amérindiens élisaient leurs sorciers, généralement vers l’âge de 12 ans. Bien que moins puissant que le peyotl (petit cactus hallucinogène, dont le principe actif est semblable au LSD), la marijuana permet d’ouvrir une porte vers le monde des esprits. Il semblerait que ce phénomène – lié au niveau de THC dans le cannabis – soit rattaché à une prédisposition génétique et pourrait être atavique.

8 La fourberie des médias est telle, qu’ils annoncent généralement une baisse des ventes de cannabis par les groupes criminels depuis la légalisation. Cela est faux. En effet, cette tendance existait depuis quelques décennies en raison du nombre de plus en plus élevé de « petits cultivateurs » à domicile. Fait notable, pendant que tout était fermé (église et funérailles incluses) en mars-avril 2020, la SQDC (Société Québécoise du Cannabis) gardait ses portes ouvertes, étant considérée comme un service essentiel.

9 Selon Wikipédia, le syndrome de Stockholm est un phénomène psychologique observé chez des otages (août 1973) suédois ayant vécu durant une période prolongée (quelques jours) avec leurs geôliers et qui ont développé une sorte d’empathie, de contagion émotionnelle vis-à-vis de ceux-ci, selon des mécanismes complexes d’identification et de survie. Les otages en sont même venus à les aider dans leur crime, à les protéger et refusaient même d’être secourus par les policiers, ayant même développé de l’hostilité envers les forces de l’ordre. Au sortir de leur captivité, les victimes ont d’ailleurs fait des câlins aux 2 agresseurs. Certaines sont allées jusqu’à visiter leurs agresseurs en prison. Le terme « syndrome de Stockholm » a été créé par le psychiatre Nils Bejerot en 1973.

10 La saisissante vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=Ohb8Ye8v8pU , reproduit l’expérience de Milgram avec des moyens techniques élaborés par une équipe universitaire dans « Le jeu de la mort ».

11 Ndlr. La lettre d’Einstein au Président Truman servit, en effet, de caution morale pour achever la mise au point et surtout pour justifier l’emploi de la bombe atomique, une arme terrifiante allant être utilisée contre la population civile.

12 Aujourd’hui, les médias et leurs gauchistes téléguidés cherchent à placer ce livre de notre sage juge dans la catégorie : suprémacistes blancs de type KKK.

13 Comme l’affirmait Khrouchtchev (lors de la création des garderies étatiques), « Les enfants séparés tôt de leur mère font de meilleurs soldats », entendez : de meilleurs tueurs. Or, à l’identique, l’expérience multi-centenaire montre que les produits de la marijuana, et principalement le haschisch, coupent, dans le cerveau et l’esprit, l’empathie et la compassion naturelle. Ainsi, il n’est pas surprenant de retrouver dans l’Histoire que les fumeurs de haschisch, ou « hachichin » (en arabe), d’où le mot « assassin » dériverait, sont utilisés par des puissants pour perpétuer leur domination par la terreur : « Mais c’est surtout à partir du XIe siècle (en 1094, à la suite d’une scission importante dans le courant ismaélite et pendant tout le « Moyen-Âge », en Perse et en Syrie, que se firent le plus remarquer les Hashâchines (ou « H’ashashines », littéralement fumeurs de haschisch, nommés ainsi par les Croisés), sous l’influence de leur chef Hassan al Sabah. Le terme assassin, sous lequel on qualifie également la secte (la secte des assassins), aurait la même racine que haschisch, une des drogues que le Vieil Homme aurait utilisées pour conditionner ses disciples. En effet, en arabe, « mangeurs de haschisch » se dit aššašin (حَشَّشِن ou حشّاشين sans les diacritiques). Les tueurs insensibles de cette secte islamique étaient reconnus pour leur barbarie et leur froideur. Une preuve de plus que cette drogue diminue, voire annule l’effet du choc post-traumatique, choc pourtant essentiel à toute repentance et guérison ultérieure… » Selon certaines sources, Daech aurait utilisé le captagon (une drogue à base de fénéthylline) et l’huile de haschisch en Syrie, expliquant ainsi les atrocités commises (Note : le texte en italique ci-dessus est extrait d’un site Internet disparu qui citait l’auteur, Bernard Lewis, Les Assassins. Terrorisme et politique dans l’islam médiéval, Éd. Complexe, 2001; Éd., originale : The Assassins. A Radical Sect in Islam, Londres, 1967).

14 Source : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1031876/pourquoi-cannabis-illegal-canada-histoire

15 http://www.anticorruptiontranquille.ca/index.php/lesdrogues

16 https://www.amazon.ca/-/fr/Shiv-Chopra/dp/097319457X

17 « Le pot légal ne fait pas mal au crime organisé », Éric THIBAULT, Journal de Montréal, 4 juillet 2019. En fait, il l’aide !

18 https://www.msn.com/fr-ca/actualites/other/hausse-des-psychoses-toxiques-chez-les-itin-c3-a9rants-c3-a0-montr-c3-a9al/ar-BB1cW3VK

19 http://www.anticorruptiontranquille.ca/index.php/hypersexualisation/dossiers/enfants-rois

20 https://www.cairn.info/les-medias-de-la-haine–9782707124517-page-9.htm

21 Consommateur de « pot » (de cannabis).

22 Au Canada des « progressistes », on criminalise tout individu qui, saoul, ne roule pas avec sa voiture, mais ne fait que s’y réfugier pour dormir le temps de se dégriser. En plus, le « coupable » subit une charge fiscale d’environ 5 000 $.

23 https://fr.sputniknews.com/international/201810241038629470-russie-canada-cannabis-danger/ https://fr.sputniknews.com/russie/202011241044822219-poutine-soppose-a-la-legalisation-du-cannabis-estimant-que-cest-une-menace-a-la-securite-nationale/ Une nouvelle stratégie antidrogue russe entérinée par un décret de Vladimir Poutine le 23 novembre 2020 indique que la légalisation du cannabis dans certains pays conduit à la mondialisation du marché de la drogue et représente une menace pour la sécurité nationale russe, titre Spoutnik et maints médias russes.

https://www.lapresse.ca/actualites/201810/22/01-5201214-la-russie-sinsurge-contre-la-legalisation-du-cannabis-au-canada.php

24https://www.wweek.com/news/2019/05/22/a-betrayal-by-a-leader-of-oregons-cannabis-industry-shows-how-the-weed-business-went-from-down-home-to-cutthroat/

25 À nouveau pour l’Histoire : c’est un secret de polichinelle que l’invasion du Panama à Noël 1989, puis la chasse à Noriega jusque dans la nonciature, était reliées aux affaires secrètes des transferts de drogues aux USA. Lire aussi : Frederick KEMPE, L’Affaire Noriega, Paris,Presses de la Renaissance, 1990.

26 Dans ce sens du mot « pot », synonyme de cannabis au Québec, le « t » final n’est pas muet ; on prononce « pote ».

27 https://www.journaldemontreal.com/2018/04/21/congres-liberal-la-decriminalisation-des-drogues-fait-son-chemin-parmi-les-nouvelles-resolutions

28 Bien avant la covid 19, 49 % du budget annuel québécois était pour la Santé : le taux le plus élevé au monde. Conséquemment, je ne peux que souligner le travail du mathématicien René Thom – théorie des catastrophes – qui est une démonstration de l’existence de points d’inflexion prévisibles…

29 D’ailleurs, beaucoup parmi ceux qui ses sont exprimés dans les diverses « consultations » gouvernementales, optaient pour ne pas légaliser et pour continuer à se fier au jugement des policiers d’expérience, tout en donnant des peines exemplaires pour les vendeurs, principalement ceux qui vendent aux mineurs. Il semble que le diktat des élites soit de vider les prisons des gens dangereux qui les peuplent ; doit-on redire ici que la nature a horreur du vide ?… Michel Chartrand le disait bien : « Quand les bandits sont au pouvoir, la place d’un honnête homme est en prison. »

[M. Chartrand (1916-2010) : syndicaliste québécois (emprisonné quatre mois lors de la crise d’octobre 1970), un ancien « catholique social » devenu socialiste].

30 Ainsi que par plusieurs médecins, dont le Dr Poirier, neuropsychiatre qui a constaté une augmentation de 500 à 700 % des psychoses toxiques, environ dix-huit mois avant la légalisation. Ce directeur de l’urgence psychiatrique du CHU de Drummondville l’affirmait (en 2017) au réseau TVA (la plus grande chaîne télévisuelle au Québec). Évidemment, juste avant la légalisation en 2018, ce reportage a été retiré. Notez que nous sommes actuellement, au Canada, dans la deuxième vague de légalisation, soit la légalisation du cannabis comestible qui, soit dit en passant, a déjà entraîné son lot de psychiatrisés à vie ainsi que d’enfants martyrs (chocolat, muffin, jujubes au cannabis, etc.)

31 Un « party » est une fête survoltée, avec beaucoup de gens et, dans ce cas-ci, presque continuelle.

32 En effet, les accidents routiers causés par la consommation de cannabis ont augmenté d’environ 4 % selon certaines sources, et de 7 à 11 % selon d’autres sources ainsi que selon les lieux. De plus, on dénombre une augmentation des divorces.

33 https://www.huffingtonpost.fr/entry/le-confinement-a-fait-chuter-le-trafic-de-drogue-mais-les-dealers-se-sont-aussi-adaptes_fr_5ebea2f7c5b6ae86c2fd33b7

34 …car la police du tabac est comparée, par les associations de commerçants, aux tontons macoutes. Pour l’exemple, un fumeur peut recevoir une amende de 300 $ s’il le fait sur un terrain commercial extérieur ; mais le propriétaire écope simultanément d’une amende de 600 $, et sans qu’il en soit de sa faute. http://www.adaq.qc.ca/wp-content/uploads/2016/11/ADA-Tabac-Rayon-9-m%C3%A8tres.pdf

35 Le paquet 2020 est un ensemble d’actes législatifs contraignants devant permettre à l’UE d’atteindre ses objectifs de réduction des gaz à effet de serre de 20 % à partir de 2020. Nous constatons que ce « paquet » ainsi que l’Accord de Paris sont un suicide national où les États ont, avant tout, sacrifié leur souveraineté. Pour confirmer l’énorme « coïncidence », selon une étude, la crise covid aura fait diminuer les émissions de CO2 de 23 % en 2020. Si les médias étaient du côté du peuple, l’action du FMI contre la Biélorussie aurait fait la une et ainsi aurait permis un réveil des peuples…

36 Émerveillé… Apocalypse 13, 3 ; ainsi que v. 11 à 18.

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