Dominique Tassot ingénieur de formation, puis docteur en philosophie des sciences, actuel président du CEP, traite le sujet des paradigmes sociaux dans lequel nous vivons ainsi que leurs conséquences, et propose une alternative pour une société à reconstruire.
Société
Créé pour la vie en commun, l’homme répercute dans la société tout qu’il porte, ses travers comme ses espoirs, et il en reçoit en retour une influence ambivalente. Les « faits de sociétés » constituent une mine inépuisable de réflexion et d’inspiration.
Benoît Neiss, docteur es lettre, nous expose les manipulations médiatiques auxquelles nous sommes tous de plus en plus confrontés.
Ian Wilders directeur d’une entreprise pharmaceutique, témoigne d’un style de gestion selon le principe de subsidiarité. Quel est ce principe ? Comment et pourquoi sied-il particulièrement bien à la gestion d’une entreprise ? Zoom sur une expérience riche en enseignement pratique.
Ancien député Assemblée Nationale & Parlement européen, doyen de faculté honoraire, membre du Bureau, Bruno Gollnisch parle des chances restantes de l’Union Européenne pour éviter un effondrement, hélas de plus en plus pressenti…
Qui n’a pas entendu parlé de la dette publique ? Et de son continuel accroissement ? Claude Eon remonte l’histoire, recherchant les solutions économiques déjà apportées par les anciennes civilisations. Ainsi en passant le témoignage des évangiles ou encore par les sumériens, Claude Eon fait état d’une tradition perdue : Celle de l’annulation des dettes.
Mère Agnès-Mariam de la Croix vit en Syrie et connait bien le monde arabe, sont regard particulièrement inquiet sur le Proche Orient depuis le soit disant « printemps arable » met en garde l’Occident des dangers et répercutions à venir.
Trente ans après les « événements » de mai 68, ceux qui occupaient alors les amphis occupent aujourd’hui les allées du pouvoir. D’où l’importance de comprendre ce qui s’est passé, ce qui a été vécu, ce qui oriente désormais les institutions. Surtout, le recul du temps fait mieux apparaître le non-dit, ce qui manquait au rendez-vous d’une jeunesse toujours en quête de vérité et d’idéal. Or le grand absent de mai 68, c’était et c’est toujours le Christ, celui qui a dit : « Sans moi, vous ne pouvez rien faire ».