Société

Créé pour la vie en commun, l’homme répercute dans la société tout qu’il porte, ses travers comme ses espoirs, et il en reçoit en retour une influence ambivalente. Les « faits de sociétés » constituent une mine inépuisable de réflexion et d’inspiration.

Qui n’a pas entendu parlé de la dette publique ? Et de son continuel accroissement ? Claude Eon remonte l’histoire, recherchant les solutions économiques déjà apportées par les anciennes civilisations. Ainsi en passant le témoignage des évangiles ou encore par les sumériens, Claude Eon fait état d’une tradition perdue : Celle de l’annulation des dettes.

Trente ans après les « événements » de mai 68, ceux qui occupaient alors les amphis occupent aujourd’hui les allées du pouvoir. D’où l’importance de comprendre ce qui s’est passé, ce qui a été vécu, ce qui oriente désormais les institutions. Surtout, le recul du temps fait mieux apparaître le non-dit, ce qui manquait au rendez-vous d’une jeunesse toujours en quête de vérité et d’idéal. Or le grand absent de mai 68, c’était et c’est toujours le Christ, celui qui a dit : « Sans moi, vous ne pouvez rien faire ».