Partager la publication "Noé et le chromosome 2"
Par: Jean-François Moreel
Jean-François Moreel[1]
Résumé. Le chromosome 2 serait, aux dires de Jean Staune, la preuve décisive démontrant que l’homme et le chimpanzé ont un ancêtre commun. Il convenait donc qu’un spécialiste veuille bien gratter pour nous sous cette mirifique affirmation. Elle se base sur une technique des années 1950, avant donc qu’on ne disposât de méthodes pour séquencer les gènes. La méthode utilisée est une forme de colorimétrie, faisant apparaître les chromosomes comme autant de bâtonnets comportant des bandes colorées caractéristiques. Les individus de même espèce présentant les mêmes « caryotypes », l’on crut tout d’abord que ces analyses pourraient servir à comparer les différentes espèces entre elles. Mais si on sait ce qu’on voit, malheureusement on n’a jamais pu savoir à quoi le faire correspondre dans le génome, donc il demeure impossible de donner un sens précis aux écarts observés. Aucune conclusion ne saurait donc être tirée de telles apparences. En revanche, les études de plus en plus fines des gènes ont fait apparaître nombre de faits contrariants pour l’évolutionnisme, en particuliers que la présence de deux centromères au milieu de chaque moitié du chromosome 2 humain ne prouvait nullement la fusion de deux chromosomes simiesques préexistants : les séquences dites « néo-centromères » se retrouvent un peu partout le long des bras de tous les chromosomes et chez tous les vertébrés chez lesquels on a bien voulu les rechercher !
À l’image des espèces biologiques, certains arguments évolutionnistes se présentent selon toute une gamme de variantes, adaptées à l’environnement intellectuel du lieu et du moment. Ainsi en est-il de la similitude cytogénétique entre le chromosome 2 humain et les chromosomes dits 2a et 2b du chimpanzé.
Après des débuts prometteurs dans les années 1970, cet argument s’est trouvé fortement contrarié dans la décennie suivante, avant d’être soigneusement mis au placard et même « enterré » par les évolutionnistes eux-mêmes, au début des années 1990. Il ressort aujourd’hui dans le livre La science en otage, tout auréolé du bénéfice que lui apporte l’ignorance de tels auteurs de romans scientistes.
Mais commençons par le commencement. À la fin des années 1950 naissait la cytogénétique, une technique permettant de visualiser les chromosomes après fixation et coloration, afin de les compter et de les trier en vue de réaliser ce que l’on appelle un caryotype (classement des chromosomes selon leurs tailles et leurs profils de bandes colorées). Rapidement, l’on s’aperçut que tous les individus d’une même espèce étaient porteurs du même caryotype, autrement dit que le caryotype était spécifique. Suivirent des résultats montrant que, chez l’homme, les anomalies du caryotype sont associées à des syndromes tels que le mongolisme (trisomie 21) ou les syndromes de Klinefelter (XXY) et de Turner (monosomie X).
Dès le début des années 1960, les évolutionnistes se ruèrent sur les rapprochements entre caryotypes d’espèces proches pour démontrer la valeur de leur dogme. Ils montrèrent alors que le caryotype de l’homme est très similaire à celui du chimpanzé[2], et que l’on peut considérer notre chromosome 2 comme résultant de la fusion des chromosomes dits 2a et 2b du singe. Cette stratégie du rapprochement des caryotypes leur plut tellement qu’ils l’appliquèrent à de très nombreux couples d’espèces, pour démontrer leur dogme de la phylogenèse. Grand mal leur en prit ! Il s’est tout d’abord avéré que le facteur permettant l’apparition des bandes sur les chromosomes, le mécanisme chimique et les structures sur lesquelles se fixent les colorants, donc le support biochimique de la cytogénétique, demeuraient obstinément inconnus.
De plus, dans les années 1980, il apparut qu’à l’échelle moléculaire, et non plus simplement à celle du microscope optique, les résultats obtenus entre le singe et l’homme étaient souvent très contrariants et que ce type d’analyses devait être, selon les évolutionnistes eux-mêmes, « mené avec prudence. »[3] Enfin, les résultats s’accumulant, l’on s’aperçut que, même chez les primates, certaines espèces très éloignées avaient des caryotypes très proches, voire identiques[4] et qu’inversement des espèces très proches pouvaient avoir des caryotypes totalement différents[5]. Pire encore, on sait depuis la fin des années 1980 que des variétés proches appartenant à la même sous-espèce de souris, Mus musculus domesticus, présentent des caryotypes différents tout en restant parfaitement interfécondes ![6]
Les résultats obtenus par rapprochement des caryotypes étant des plus décevants, le caryotype lui-même s’avérant instable à l’intérieur d’une même espèce (y compris chez des mammifères comme Mus musculus), et la nature biochimique du « banding » étant inconnue (si bien que les résultats en sont ininterprétables), l’argument cytogénétique du chromosome 2 humain a commencé à disparaitre des publications spécialisées dès la fin des années 1980. Cependant, son usage allait perdurer dans les établissements scolaires et, pour tout le petit monde scientiste, il semblait encore promis à une belle et longue carrière.
Toutefois, au début des années 1990, une autre série de découvertes, strictement scientifiques celles-là, vint enterrer l’argument par la similitude des caryotypes. Replaçons-nous à cette époque : alors que la cytogénétique classique connaît une phase de déclin, la génétique humaine prend son essor.
Les études génétiques associant des marqueurs génétiques parfaitement identifiés et diverses pathologies, remplissent les grands journaux spécialisés (tels que Human Genetics, et l’American Journal of Human Genetics). De nouveaux marqueurs, toujours plus informatifs, sont identifiés et caractérisés dans toutes les régions du génome humain.
Dès la fin des années 1980, il apparut qu’il existait deux formes originelles du génome humain. En effet, l’analyse des marqueurs génétiques les plus informatifs fait apparaître deux modalités de notre génome qui diffèrent très légèrement l’une de l’autre et que ces deux formes sont présentes dans toutes les ethnies. De là, une dénomination « humoristique » fit son apparition dans les publications spécialisées où l’on rencontre encore l’expression de « chromosome d’Ève ».
Évidemment, les évolutionnistes présentèrent bien vite une parade à toute dérive « créationniste ». Ils avancèrent l’hypothèse selon laquelle ces « deux génomes humains » étaient préexistants à l’espèce et n’avaient donc aucun rapport avec l’histoire d’Adam et Ève[7]. En effet, si les polymorphismes (tel celui de l’ApoB VNTR qui fait partie des marqueurs de l’existence des deux génomes humains originels distincts), qui sont présents dans toutes les ethnies humaines, étaient retrouvés au moins chez le chimpanzé, cela permettrait de montrer que la coexistence des deux formes du génome est préexistante à l’espèce. En particulier, ceux de ces polymorphismes qui sont proches du centromère du chromosome 2 (« unique » différence de caryotype entre l’homme et le singe) doivent être retrouvés sur l’un des chromosomes dits 2a et 2b du chimpanzé.
Or, les polymorphismes du gène de l’Apolipoprotéine B (ApoB), situé près du centromère du chromosome 2, sont absents chez le chimpanzé, le gorille et l’orang-outan[8].
Arrivés là, les évolutionnistes se retrouvent devant un problème de taille : le chimpanzé ne possède qu’une seule forme de ce qu’ils considèrent comme étant un « pré-chromosome 2 » alors que l’humain a toujours possédé deux formes de chromosomes 2. De là, soit l’évolution n’a pas été graduelle, loin s’en faut, soit elle est passée par au moins une espèce intermédiaire. Dans le premier cas nous retombons sur une évolution par saltation indiscernable de la création ex nihilo d’espèces distinctes. Dans le second cas, la similitude des caryotypes devient incompréhensible car il est bien évident que les caryotypes variant entre espèces proches, et même parfois au sein d’une seule et même espèce, on ne voit pas comment expliquer la conservation du caryotype depuis une espèce (chimpanzé) vers une autre qui ne lui succède pas directement (homme). La similitude apparaît alors comme fortuite, et non plus comme une preuve de parenté. Cela d’autant plus que, selon les évolutionnistes, la chaîne de nos ancêtres s’allonge encore depuis que nous avons un nouvel ascendant, intermédiaire entre le singe et l’australopithèque, Ardripithecus ramidus[9] qui est censé répondre à une partie des arguments scientifiques publiés ces dernières années contre l’origine simiesque de l’homme, en particulier celui de sa bipédie initiale[10].
Mais l’histoire du déclin scientifique de l’argument évolutionniste basé sur les similitudes des caryotypes entre le chimpanzé et l’homme ne s’arrête pas là. Une autre équipe[11] a réalisé l’analyse d’une courte séquence de 45 pb[12] située au début de l’ADN minisatellite du gène de l’ApoB, l’ApoB VNTR.
Sans entrer ici dans le détail, ils ont découvert que cette courte séquence existe sous deux formes qui ne peuvent pas dériver l’une de l’autre de façon simple. Pour tous les spécialistes, dont nous sommes, plusieurs événements moléculaires sont nécessaires pour passer d’une forme à l’autre.
Il faut donc que les deux génomes humains initiaux aient évolué indépendamment, durant plusieurs générations, avant de se rencontrer à nouveau pour devenir depuis lors la base de tous les génomes.
En d’autres termes, il faut plusieurs générations d’individus pour arriver à obtenir une des deux séquences à partir de l’autre. Cela implique que les humains actuels, quel que soit leur groupe ethnique, descendent tous d’individus qui eux étaient restés non-apparentés durant plusieurs générations, voire issus de deux groupes humains éloignés.
Les seules hypothèses explicatives qui ont été émises à ce jour sont :
– 1.Toute l’espèce humaine est issue de deux groupes d’individus ayant passé des siècles dans un isolement reproductif total l’un par rapport à l’autre, tout en ayant l’un et l’autre conservé une taille très faible, avant de se réunir et d’engendrer alors toute l’humanité en se multipliant et en se répandant rapidement.
– 2. Deux individus non-apparentés sont à la base de toute l’humanité actuelle. Tous deux faisaient partie d’un grand groupe qui avait formé l’espèce humaine primitive (de là le fait qu’ils soient non apparentés, avec de légères mais nettes différences entre leurs génomes) et ils furent les seuls à se reproduire (donc les seuls survivants d’une catastrophe qui tua tous les autres).
Dans la première hypothèse, les problèmes soulevés sont beaucoup plus nombreux que ceux qu’elle résout. Par exemple, on ne comprend pas pourquoi aucun des deux groupes primitifs ne s’est disséminé durant les siècles, voire les millénaires, qui ont précédés la réunion des deux groupes. Par contre, dans le second cas, l’hypothèse est parfaitement plausible. Or chacun peut constater que l’ensemble rappelle étonnamment le récit biblique, avec son déluge auquel une seule famille survit.
En effet, à partir d’un même génome initial (Adam et Ève), après quelques générations, on obtient des individus dont les génomes diffèrent légèrement (Noé et son épouse).
De là, si à un moment donné tous sont exterminés (Déluge) à l’exception d’un couple et de sa descendance (Noé, son épouse et leur famille), et que ces derniers deviennent la base de l’ensemble des individus actuels, alors les légères différences existant entre les génomes des survivants se retrouveront dans tous les groupes ethniques. C’est bien ce qui est observé.
Étant donné que les résultats portant sur le gène de l’ApoB ont été découverts par des équipes indépendantes, travaillant sur des problématiques différentes, et surtout que ces résultats peuvent être reproduits à l’infini par tous ceux qui voudront s’y essayer[13], c’est-à-dire que ces résultats sont réellement et épistémologiquement scientifiques, et non pas du simple discours interprétatif, l’argument des similitudes de caryotypes entre le singe et l’homme s’est rapidement retrouvé au placard, de façon à ne pas avoir à ébruiter et/ou à commenter ces données. Pour finir, le silence (la chape de plomb) fut la seule réponse évolutionniste à ces résultats… indiscutables.
Après une longue traversée du désert, la cytogénétique s’est redonné tout à la fois de la vigueur et une image de haute technicité en développant de nouvelles colorations très utiles pour supporter le discours évolutionniste. Ainsi, par exemple, en utilisant des sondes fluorescentes d’ADN humain pour colorer les régions correspondantes de chromosomes d’autres espèces, l’on peut arriver à former des images telles qu’il semble évident que l’homme descende de la souris, du chien, ou du cheval[14]. Mais pourrait-on réellement arriver à un autre résultat avec les sondes utilisées ? Non ! Et nous sommes là devant un artefact qui n’a rien à envier à la tautologie du discours darwinien.
Dans la même veine, nous trouvons les résultats obtenus à partir de certaines séquences répétées présentes dans les génomes, appelées ADN satellites.
L’on pensait jusqu’alors que certaines de ces séquences étaient propres aux centromères (ou, pour d’autres, aux télomères) alors qu’elles sont en réalité présentes un peu partout dans les génomes.
Alors que ni leur propriétés, ni leur nature, ni leurs rôles éventuels n’ont été étudiés, nombre d’auteurs se sont mis en devoir de prouver tautologiquement l’évolution des espèces en montrant que ces séquences pouvaient être utilisées comme marqueurs de l’évolution des génomes. En leur attribuant un nouveau nom, celui de « néocentromères », les auteurs présentèrent leurs résultats comme prouvant que c’est par fusion et translocation chromosomiques que se fait la spéciation. Ainsi, les « néocentromères » sont-ils devenus le grand « Comment » de l’évolution, la mécanique qui manquait jusque-là pour expliquer l’apparition de la barrière reproductive entre espèces distinctes. Nous retrouvons ici un classique de l’évolutionnisme où le nom donné fait la valeur de l’argument. Car non seulement les ADN satellites « néocentromères » ne sont pas forcément d’anciens centromères – loin de là ! – mais surtout, ne l’oublions pas, les différences de caryotypes n’empêchent pas l’interfécondité[15].
Plus ridiculement encore, la présence de séquences dites « néo-centromères » (ou néo-télomères) à l’intérieur des bras du chromosome 2 humain a été interprétée par certains auteurs de romans scientistes bien mal inspirés. Ils en ont fait un argument selon lequel les centromères des chromosomes 2a et 2b du chimpanzé étaient retrouvés dans les bras du chromosome 2 humain et que ce dernier possédait également les télomères des chromosomes du singe près de son centromère. Tout ceci prouvant, selon eux, que le chromosome 2 humain était bien une fusion des chromosomes 2a et 2b du chimpanzé.
En réalité, les séquences dites « néocentromères » sont retrouvées un peu partout le long des bras de tous les chromosomes[16] et chez tous les vertébrés chez lesquels on a bien voulu les chercher (à tel point qu’elles sont utilisées aujourd’hui par certains évolutionnistes pour refaire une énième histoire phylogénétique des êtres vivants et… des primates[17]).
Précisons, à la décharge de nos aventuriers de la fiction scientiste, que du côté des publications scientifiques nous sommes une fois de plus dans le domaine de la spéculation gratuite. De plus, les évolutionnistes travaillant sur ce type de marqueurs sont aujourd’hui obligés de mettre en avant, tenez-vous bien, « l’instabilité des chromosomes[18] » ! Évidemment, si les chromosomes sont instables il devient hors de question de considérer scientifiquement le chromosome 2 humain comme une simple fusion de deux chromosomes du chimpanzé, cette espèce étant beaucoup trop « éloignée ». Dans ce cas, comme dans de nombreux autres, la ressemblance des caryotypes semble purement fortuite.
Dernier exemple de découvertes contrariantes, bien que dues à des évolutionnistes : en étudiant l’ADN de différentes populations de chimpanzés, il a été observé une différence frappante au niveau des sites de recombinaison où s’échangent des fragments d’ADN entre chromosomes homologues lors de la méiose. On connaît depuis longtemps, chez l’homme, un certain nombre de sites sur les chromosomes où de tels événements de recombinaison sont particulièrement fréquents. Ces sites ont été appelés « points chauds » de recombinaison. Or, les « points chauds » identifiés dans le génome du chimpanzé ne sont pas situés aux mêmes endroits que chez l’homme[19]. Où se trouvera alors la similitude ? Comment prendre en compte les ressemblances « morphologiques » des chromosomes alors qu’ils apparaissent totalement dissemblables au niveau des structures assurant l’une de leurs fonctions principales ?
Bien sûr, dans le petit monde scientifique, personne ne dit plus que le chromosome 2 humain dérive tout bonnement de la fusion de deux chromosomes du chimpanzé. Mais comment le savoir quand on est romancier, ou pour le moins, auteur non-scientifique d’ouvrages de propagande scientiste ? Pour notre part, nous n’avons aucune réponse à cette dernière question. Nous constatons simplement que, comme toujours en matière d’arguments évolutionnistes, ce sont des simplifications abusives et des schémas falsifiés qui sont utilisés par certains opportunistes pour donner une illusion de scientificité aux errements intellectuels d’individus peu scrupuleux
[1] Jean-François Moreel est Docteur en Biologie Moléculaire et Cellulaire du Développement. Après un début de carrière académique (au CNRS en génétique du développement puis à l’INSERM en génétique humaine) il s’est dirigé vers l’industrie où comme directeur scientifique il s’est spécialisé dans l’étude de la génomique appliquée. Membre du CEP, il s’est signalé par son ouvrage Le Darwinisme, envers d’une théorie (Paris, Ed. F.X. de Guibert, 2007).
[2] Chu & Bender, Science mai 1961, 1399-1405.
[3] Miyamoto et al, Science octobre 1987, 369-373
[4] Des espèces nettement différentes comme les macaques, babouins, géladas, drills et mandrills, peuvent posséder des caryotypes identiques ou très semblables.
[5] Les divers cercopithèques arboricoles, morphologiquement proches au point de constituer des sous-espèces, ont des caryotypes nettement différents.
[6] Bonhomme et Taler, La Recherche 1988, 199:606-616
[7] Ndlr. Encore un exemple d’échappatoire vers le haut, par “l’ancestromanie”, selon le terme si bien devisé par le Pr Pierre Rabischong. L’évolutionnisme rend bien compte des ressemblances entre deux espèces A et B. Or ce sont les différences qu’il faudrait expliquer. Invariablement, le discours devient alors le suivant : A ne peut pas descendre de B (ils sont trop différents, ce qui est systématiquement le cas, puisqu’il s’agit d’espèces différentes), donc il faut remonter à un ancêtre commun dont ils auraient dérivé peu à peu, de génération en génération. Hypothèse gratuite et invérifiable, puisque cet ancêtre a disparu ! Avec ce type de discours, sommes-nous encore dans la science ?
[8] Dunning et al, Am. J. Hum. Genet. 1992, 50:208-221.
[9] White et al, Science 2009, 64:75-86.
[10] Deloison, Préhistoire du piéton, essai sur les nouvelles origines de l’homme, Plon, 2004.
[11] Desmarais et al : Nucleic Acids Research, 1993, 21.9:2179-2184
[12] pb : paires de bases, la « base » étant l’unité élémentaire des séquences du génome, en génétique moléculaire.
[13] Les articles cités ici sont d’authentiques communications scientifiques (dont les auteurs sont évolutionnistes), à la différence de certaines affirmations que l’on peut actuellement trouver dans quelques journaux, mais aussi et surtout dans certains livres dont les auteurs n’ont de cesse que de se flagorner les uns les autres.
[14] Les similitudes des génomes aidant, ces techniques permettent même de montrer que l’homme descend de la salade verte.
[15] Bonhomme et Taler, La Recherche 1988, 199:606-616.
[16] Shepelev et al, PLoS Genet, septembre 2009.
[17] Rocchi et al, Prog. Mol. Subcell. Biol. 2009, 48:103-52.
[18] Longo et al, BMC Genomics, 2009, jul 24;10:334.
[19] Ptak et al., Nat. Genet., 2005, 37 , 445, également Winckler et al, Science 2005, 5718, 107.