L’Homosexualité ou bien la santé ?

Par Jean-Marc Berthoud

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Résumé : Le 1er septembre 1999, en Suisse romande, une émission de télévision (Viva), présentait l’homosexualité avec une information intégralement fournie par le lobby homosexuel. Au nom de l’Association vaudoise de parents chrétiens, l’auteur a rencontré les responsables de la RTSR pour obtenir une nouvelle émission, objective cette fois. En vain. De la déclaration publique faite à l’occasion de cette rencontre, nous avons extrait quelques passages relatifs à la santé individuelle ou collective.

Le danger que représentent les homosexuels pour la santé collective mérite d’être médité. Prenons quelques exemples frappants.

Le rôle capital joué dans la diffusion du SIDA par les pratiques anales, orales et excrémentaires (totalement anti-hygiéniques) de la communauté homosexuelle, sous prétexte d’activités “sexuelles” libres, est universellement reconnu.

Avant même l’apparition du SIDA, l’Association Médicale Américaine reconnaissait officiellement que les homosexuels, en tant que groupe, constituaient un ensemble de la population à risque médical très élevé. On allait même jusqu’à caractériser l’homosexuel comme un véritable “nid de maladies”. C’est uniquement sous la pression (parfois même très violente !) de la communauté homosexuelle américaine que l’Association Médicale Américaine a révisé son appréciation du danger pathologique des pratiques homosexuelles. Ici il faut faire remarquer quelques faits particulièrement flagrants.

La santé individuelle

Une étude détaillée comparant différents éléments de la population américaine a donné des résultats éloquents.

La longévité moyenne des hommes américains est la suivante :

– mariés : 75 ans

– divorcés : 57 ans

– homosexuels avec SIDA : 39 ans

– homosexuels sans SIDA :  42 ans.

Voici les pourcentages d’hommes de ces groupes survivants à l’âge de 65 ans :

– mariés : 80 %

– divorcés : 32 %

– homosexuels avec SIDA : 1 %

– homosexuels sans SIDA : 9 %

D’une étude tirée d’un échantillon  représentatif de 140 lesbiennes, dont la mort était annoncée dans les revues homosexuelles, il découle que leur durée de vie moyenne était de 45 ans. Seulement 23 % des lesbiennes survivent à l’âge de 65 ans, ce qui contraste fortement au taux de survie général des femmes à cet âge qui est de 83 %.

Un rapport de l’Association Médicale Américaine indique qu’un adolescent homosexuel a 23 fois plus de risques d’attraper une maladie sexuellement transmissible qu’un adolescent normal (P. Cameron, The Gay Nineties, p.51-59). Le fait que l’hépatite B soit une maladie pandémique chez les homosexuels est une réalité connue du corps médical depuis fort longtemps. On estime qu’aux Etats-Unis 5 à 10 % des homosexuels mâles sont porteurs chroniques de cette maladie contagieuse, soit 50 à 100 fois plus que le taux national de 0,1 %

Les maladies intestinales chroniques de la population homosexuelle mâle incluent les maladies vénériennes suivantes : la syphilis, l’herpès génital incurable, le cytomégalovirus, les verrues vénériennes.

Ces maladies proviennent essentiellement des pratiques homosexuelles anales et orales totalement étrangères aux relations sexuelles normales (Gene Antonio, The Aids Cover-up, p.43-57).

La décomposition des mœurs

(en particulier les dangers que représente la banalisation de l’homosexualité pour les jeunes garçons).

La population homosexuelle, et en particulier le lobby homosexuel américain, ne cache par que l’aboutissement de ses revendications politiques est la libération sexuelle totale de la jeunesse.

Cette revendication est ouvertement proclamée aux Etats-Unis par la Nambla (North American Man/Boy Love Association), qui revendique la libre pédophilie. La tradition millénaire homosexuelle va dans un tel sens . C’était également la revendication du mouvement homosexuel allemand du début du siècle (à travers le mouvement des jeunes, les Wandervogel) et tout particulièrement des homosexuels violents nazis (les Butch sadomasochistes) qui constituaient d’abord l’armature des SA (sous Roehm) puis des SS sous Himmler (Scott Lively et Kevin Abrams, The Pink Swastika. Homosexuality in the Nazi Party, p.154-166).

La criminalité

De tout temps l’homosexualité, sexualité fictive, a été associée à la violence. C’est cette tendance qui se manifeste dans l’accoutrement fait de cuir et de chaînes (typiquement celui des jeunes néo-nazis) que l’on voit chez les homosexuels montrés dans certaines images de l’émission Viva, tant à Fribourg que dans le quartier Castro de San Francisco. Nous avons des indications particulièrement précises sur les rapports entre le phénomène homosexuel et la criminalité violente.

De nombreux cas de meurtres en séries sont perpétrés par des homosexuels. En 1992, l’homosexuel russe Andrei Chikatil a été condamné pour avoir tué (et partiellement mangé) au moins 21 garçons, 17 femmes et 14 filles. Cette même pathologie se retrouve chez l’Américain Jeffey Dahmer qui tua 17 garçons et jeunes hommes, mangeant des parties de leurs corps.

Les six tueurs sériels américains les plus meurtriers sont tous homosexuels : Donald Harvey (37 victimes) ; John Wayne Gacy (33 garçons) ; Patrick Kearney (32) ; Bruce Davis (27 garçons et jeunes hommes) ; le groupe homosexuel composé de Corll, Henley, et Brooks tuèrent 27 garçons et hommes ; Juan Coranaya fut condamné pour avoir tué 25 ouvriers saisonniers et ensuite forniqué avec leur cadavres (Paul Cameron, The Gay Nineties, p.44-51).[Ces faits furent évoqués quelques jours avant l’annonce par les médias du record absolu en ce qui concerne les meurtres sériels, celui d’un assassin colombien admettant avoir tué 140 garçons ou jeunes gens. Les médias se sont bien gardés de dire qu’il s’agissait ici également d’un homosexuel].

Environ 1 homicide sur 10 à San Francisco est le résultat de pratiques sadomasochistes entre homosexuels (R. J. Magnuson, Are Gay Right?, p.54). 1,4 % des mâles homosexuels meurent de façon violente, 21 fois plus que celles chez les mâles noirs (dont le taux de décès violent est particulièrement élevé), 116 fois plus que les mâles blancs américains âgés de 25-44 ans (Paul Cameron, op. cit. p.55).

Pour les lesbiennes, le taux de mortalité par meurtre était de 7,1 %, 595 fois plus que celui pour l’ensemble des femmes américaines. Le taux de suicide chez les lesbiennes était de 5,7 %, 816 fois plus que celui de l’ensemble des femmes américaines de 25-44 ans. (Cameron, op. cit. p.56).

De tels chiffres se passent de commentaires et le simple fait qu’ils soient occultés démontre l’influence du lobby homosexuel dans les média.

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