La datation des ères géologiques (3)

Par Marie-Claire van Oostertwyck-Gastuche

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Résumé : Les éléments radiogéniques dans les roches n’obéissent pas seulement à la loi de décomposition radioactive, liée au temps. Ils peuvent aussi s’introduire dans les structures minérales en raison des facteurs géométriques et électriques qui conditionnent leur formation. Or dans certaines conditions “hydrothermales”, des minéraux peuvent cristalliser en quelques heures. Ainsi s’expliquent les datations en millions d’années sur des coulées de laves contemporaines. Ainsi l’eau est-elle un facteur à prendre en compte pour la formation des roches cristallines.

 

III. Preuves de l’absence de signification chronologique des âges radiométriques tirées de la minéralogie et de la cristallographie.

            Holmes, avait bâti son “échelle phanérozoïque” sur la conception erronée qu’on avait alors de la formation des roches et des minéraux. Je dois maintenant parler des nouvelles conceptions en la matière, qui ont introduit une révolution dans le domaine de la géologie.

            En effet, la formation des silicates et des roches ne dérive d’aucune réaction acide-base puisque l'”acide silicique”n’existe pas. Le point important dans la synthèse de telles structures,toutes formées des mêmes unités où les anions oxygène sont retenus en structure compacte (“close packing“) par de petits cations comme Si 4+, Al 3+, Mg2+, Fe 2+, etc., est de permettre le développement des figures fondamentales : le tétraèdre et l’octaèdre. Ceux-ci s’agenceront en feuillets dans les minéraux dits “phylliteux” dont fait partie la biotite que je vais prendre pour exemple. Donc les facteurs qui priment dans ces structures sont géométriques et électriques, exprimés en termes d'”électrovalence” et d'”électronégativité” pour les ions.

            Ainsi, la taille et la charge des cations qui lient, par des forces électriques, les anions oxygène et hydroxyle sont des facteurs très importants, la structure devant être en équilibre géométrique et électrique. En ce qui concerne la biotite, l’ion K+, trop grand pour pénétrer la structure du silicate, est retenu dans l’espace interlamellaire.

            C’est là également que se trouvent le Rb+ et le Sr++ ainsi que l’élément-trace K40 et son élément “fille” Ar40, utilisés dans la méthode de datation K/Ar. Du moins l’a-t-on supposé, car l’Argon, dépourvu de charge électrique, ne peut être retenu dans l’espace interlamellaire à la manière des autres cations.

            Holmes ignorait ces structures des silicates. Il ignorait aussi que tous les minéraux, même les “meilleurs” pour la datation radiométrique (en fait les structures les plus “compactes” comme les micas, biotites, muscovites, phengites, etc.), pouvaient être synthétisés en quelques heures dans certaines “conditions hydrothermales” (conditions de température et de pression de vapeur d’eau élevées, cf. Roy, 1962). Les facteurs empêchant la cristallisation  à température ordinaire avaient été mis en évidence, l’un d’eux étant la très faible solubilité de la silice, qui augmentait dans des conditions hydrothermales, permettant aux cristaux de se former ; d’autres étant en relation avec l’hydratation des ions en solution, qui “bloquait”le processus de cristallisation1 , laissant persister les gels.

            Une fois obtenues ces “conditions favorables”, les minéraux cristallisaient facilement dans des conditions hydrothermales tout comme à température et à pression ordinaires (voir par exemple Roy, 1962 ; Gastuche, 1964 ; Van Oosterwyck-Gastuche, 1974 a et b ; etc.). Ainsi des minéraux qui, pensait-on, exigeaient des millions d’années pour cristalliser, se formaient en quelques jours, même les composants des granites (Lévy et Wyart, 1947, etc). L’introduction des éléments en trace que sont les isotopes radio-actifs, dépend tout simplement des conditions qui ont présidé à leur cristallisation. Ils n’ont donc aucune signification chronologique.

            Il est clair qu’Holmes a bâti son échelle en ignorant ces points fondamentaux qui expliquent pourquoi et comment les éléments radioactifs peuvent s’introduire dans les structures minérales en un temps très court. Ces processus sont couramment utilisés pour fixer des déchets radioactifs (voir par exemple Komarneni et Della M. Roy, 1980). On peut, de la même façon, faire sortir ces éléments de telles structures.

           

 

Il faut encore signaler que les températures indiquées par les géochronologistes pour l'”ouverture” de leurs systèmes et la libération de radio-isotopes, ou bien leur “fermeture” (Jäger et Hunziker, 1979), sont celles observées dans des bombes hydrothermales pour synthétiser ces mêmes minéraux.

            Mais à cause du cloisonnement des spécialités et de la pression idéologique dominante, le monde scientifique continue d’ignorer de tels travaux, vit comme si rien n’avait changé depuis l’époque d’Holmes, et continue d’interpréter les données dans le seul cadre “scientifiquement correct” : l’actualisme. Cet aveuglement est impardonnable, puisque de telles idées fausses sont maintenant largement diffusées dans le grand public. Elles ont eu pour conséquence d’induire en erreur le monde scientifique tout entier.

            Aucun traité de géologie ne fait allusion au comportement bien établi de ces minéraux. Et il n’y a eu aucune tentative de corrélation. Il est fort surprenant de noter le silence sur ces points dans l’ouvrage de Cahen et al. (1984), “Geochronology and Evolution of Africa“, qui a pour objet les événements précambriens, car les auteurs ne pouvaient les ignorer. Même remarque pour l’absence de référence à tout événement cataclysmique concernant l’ouverture des Rifts et la séparation de l’Afrique équatoriale de la plaque brésilienne.

            Après avoir mis en évidence plusieurs “événements” liés à des changements de température (et sans doute de pression de vapeur d’eau) mais qu’ils interprètent comme des changements chronologiques, ces auteurs affirment avec force : “L’évolution géologique de l’Afrique deviendra compréhensible quand elle sera reliée à l’évolution du Gondwanaland dans son ensemble” (qui s’interprète forcément dans le cadre de la tectonique des plaques).

Toutefois “le présent ouvrage ne prétend pas réévaluer la géologie africaine précambrienne en termes de tectonique des plaques” (elle remettrait en cause les idées de Lyell, ce qui les dérange visiblement). Comment sortiront-ils d’un tel tissu de contradictions ? On le devine mais on préfère ne pas le dire. Car la rigueur scientifique qui est censée diriger leurs réflexions est loin, très loin…

           

 

Encore plus surprenant, si les dates précambriennes demeurent incertaines au plus haut niveau pour les auteurs (spécialistes du précambrien, soulignons-le), ces derniers n’hésitent pas à affirmer que “la paléontologie a conduit à des découpages biostratigraphiques extrêmement précis, qui couvrent en particulier 550 millions d’années ou presque” (p.453). C.q.f.d.

            Tout découle donc de l’échelle phanérozoïque d’Holmes, elle-même déduite du “credo” de Lyell. Or l’explication pourrait être très simple : les changements dans les rapports des éléments radiogéniques, qui sont interprétés comme datant l’orogénie et le métasomatisme, refléteraient simplement les hautes températures et pressions de vapeur d’eau existant dans des veines rocheuses définies et ne seraient donc pas une mesure du temps.

            Cette hypothèse, que j’avais formulée un quart de siècle plus tôt, proposant des expériences pour la contrôler, a été largement vérifiée. Il suffit d’ouvrir les journaux spécialisés pour s’apercevoir que les laves contemporaines de l’homme ont souvent des “âges” très élevés, leur contenu isotopique étant lié à la composition chimique caractéristique du magma, sans lien avec le temps.

           

Les âges Uranium-Thorium mesurés sur des laves historiques d’Islande par Condomines et al. (1981) sont éloquents :

Site

Age historique

âge U/Th (ans)

âge C14

Ogmundahraum

1300 A.D.

  30.000

 

Trollahraum

1862 A.D.

  38.000

 

Laki

1783 A.D.

  92.000

 

Surtsey

1963-1967 A.D.

  18.000

 

Heymaey

1973 A.D.

  35.000

 

Heckla

Ancien, non-daté

184.000

2800

    “

1970

  78.000

 

Katla

± 900

  92.000

 

           

            Nous avons vu que contrairement à ce qu’on  avait cru à l’époque d’Holmes, la méthode K/Ar, qui devait fournir d’excellentes indications chronologiques, a donné hélas des résultats nettement fantaisistes.

            On voit couramment le sommet d’un volcan plus “vieux” que sa base, et les pentes du même volcan différer de millions d’années (Bishop et al, 1969, Bagdasaryan et al, 1974, etc…).

 

Dans l’hypothèse d’une grande inondation, il est intéressant de remarquer que l’asthénosphère est riche en isotopes-filles de toutes sortes, notamment en Argon 40 dont on dit qu’il est libéré dans l’atmosphère. Les âges K/Ar très élevés obtenus sur des coulées de lave sous-marine récentes (Funkhouser et al, 1968) ont été attribués à la persistence de gels dus à des phénomènes de blocage qui expliquent vraisemblablement ces âges fantaisistes mesurés sur laves volcaniques, sur les couches de cendrées qui vieillissent en profondeur dans le Rift, et sur de nombreuses coulées de lave contemporaines.

 

Quelques âges K/Ar sur éruptions historiques

Site

Age Historique

Age K/Ar

en

millions d’années

Source

Volcan Tschibinda

(Lac Kivu, Zaïre)

1880

(éruption terrestre)

                          1.9

Bellon

et Pouclet

(1980)

Kilauwea

(Hawai)

1750,

(en partie

profondeur sous l’eau

(en mètres)

 

 

sous les

550

0.22 ± 0.2

Dalrymple

 

eaux)

1400

  6.3 ±  0.9

et Moore (1980)

 

 

2590

42.9 ±  4.2

 

 

 

3420

14.1 ±  1.7

 

 

 

4690

30.3 ±  3.3

 

 

 

5000

19.5 ±  2.5

 

Hualalai

(Hawai)

1800-1801

 

  1,6 ± 0,16

 1,41± 0,8

Dalrymple (1969)

Eruption contemporaine sur la Chaîne médio-atlantique

 

 

aux environs de 3000 m

29 mesures s’étageant entre 0 et 690 M.a.

Funkhauser et al.

(1968)

Eruption du Mont St Helens U.S.A.

1980,

(éruption terrestre)

sur lave entière (dacite) sur pyroxène

 0,35 ± 0,5  

 

   2,8 ± 0,6

 

Austin (1996)

 

 

  1. Interprétation des phénomènes dans le cadre d’une “grande inondation”

            L’Afrique est un continent fascinant, parce qu’il conserve les traces de phénomènes très “vieux” et très “récents”. Ceux observés dans la croûte précambrienne sont fort intéressants : lorsque le continent primitif a éclaté, elle s’est bosselée et fissurée. D’abord attribué à la chute d’un astéroïde (un “méga-impact”), cet événement terrifiant (qui contredit la théorie de Lyell), est aussi attribué à un volcanisme intense (les deux allèrent sans doute de pair). L’époque de la catastrophe ne peut être connue de manière certaine par datation isotopique puisque des “âges” radiométriques des plus dispersés allant du précambrien au cénozoïque, y ont été mesurés. Elle ne peut non plus être déterminée par la paléontologie, ni interprétée dans le cadre de l’Evolution, puisque les restes d’animaux les plus divers, trahissant une extinction des espèces, ont été trouvées dans les couches laissées par ce cataclysme.

            Voici un court résumé des phénomènes observés :

            Un grand événement anoxique eut lieu (“A great A.O.E.“, Jenkins, 1981) ; des “pluies acides” s’abattirent (Palmer et Elderfield, 1985) ; la terre vacilla sur son axe, suscitant d’énormes vagues (Mörner, 1981). Les Rifts Valleys s’ouvrirent et d’abondantes quantités de laves se répandirent non seulement dans ces vallées, mais en beaucoup d’endroits en Afrique et ailleurs. Ainsi, la “série des Traps”africaines, similaire aux Traps des Indes, leurs soeurs indiennes, qui ont été datées au K/Ar d’âges variables s’échelonnant de 70 millions d’années à l’époque actuelle (Shakelton, 1976). L’asthénosphère remonta, atteignant presque le socle de la Rift Valley, qui n’a plus que 6 km d’épaisseur à cet endroit  (Oxburg, 1978), la rendant presqu’identique à une croûte océanique. D’ailleurs la mer Rouge ne serait qu’une ce ces failles géantes, désormais transformée en Océan.

            Des sédiments de plusieurs centaines de mètres d’épaisseur, entrecoupés de couches de cendrées et de lave, furent alors déposés.

           

 

C’est dans le Rift oriental que les supposés “Hominidés”, (Australopithèques et restes humains), ont été découverts. Or, il est impossible d’interpréter cette “sédimentation cyclique” par la théorie “actualiste”, tous les spécialistes le reconnaissent.

            Un grand nombre de restes animaux y ont été trouvés, les os démembrés, roulés par les eaux et déposés dans des sédiments entrecoupés de couches volcaniques.

            Ont été identifiés : des mammifères dont des éléphants, des rhinocéros, de très nombreuses espèces de singes, des hyènes, etc., et même des cochons ! Egalement des mammouths, mais aussi des poissons, des reptiles, des oiseaux et même des dinosaures. Certains “ancêtres” comme l’hipparion y ont été découverts avec leur descendant, l’Equus et, bien sûr, l’Australopithèque, mêlé à des restes humains. Dont on ne dira rien, puisqu’ils appartiennent tous deux aux “Hominidés”)…

            Autre observation des plus curieuse : celle concernant les “hauts niveaux” d’Afrique mis pour la première fois en évidence aux lacs Galla, surmontant les gorges de l’Awash et datés (sur coquillages, par la méthode C14) d’environ 6 à 9000 ans, la première fois par Grove et Goodie (1971), ce qui prouve que l’eau atteignit alors les sommets des plus hautes montagnes du continent primitif. La date de tels événements ne peut être fixée3 , puisque les dates au C14 ne sont pas fiables non plus (Winter, 1984 ; Van Oosterwyck-Gastuche, à paraître) mais sans doute se sont-ils produits à une époque guère éloignée de la nôtre. Il faut noter que les niveaux datés par C14 de milliers d’années, aux lacs Galla, surmontent les sédiments contenant les cendrées datées de millions d’années, renfermant des restes d’australopithèques (dont la fameuse Lucy), mélangés à des restes humains et à ceux d’un grand nombre d’animaux “disparus brusquement dans une grande inondation” (tout comme “la famille” découverte dans l’Afar, bien que ces mêmes conditions cataclysmiques aient favorisé l’évolution des Australopithèques, nous a assuré Johanson).

            Soyons sérieux : si les “événements” observés ne peuvent être en aucun cas interprétés dans le cadre de l’actualisme de Lyell, ils peuvent l’être selon la lecture de la Bible en approfondissant le sens des mots hébreux, comme nous l’avons exposé dans un livre à paraître.

 

Bibliographie

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  • Van Oosterwyck-Gastuche M.-C. (1994 b). Les dinausores ont-ils vraiment 200 millions d’années ? Science et Foi, 32, 15-17.
  • Van Oosterwyck-Gastuche M.-C. (1994 a). Une découverte russe : les Dinosaures ont vécu à l’époque actuelle. Science et Foi n°31, 17-18.
  • Winter M. (1984). A propos du manque de fiabilité des datations par le carbone 14. Les Nouvelles du CESHE n°9, février 1984, p. 8-11.

1 Dans ces structures cristallines, les ions se trouvent à l’état déshydraté.

3 Car des coquillages actuels peuvent être datés de milliers d’années par la méthode C14

 

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