Partager la publication "L’affaire Pythagore ou l’effondrement de la science officielle (iie partie)"
Par Sanchez Francis
Résumé : L’an passé, dans Le Cep n° 98, Francis Sanchez avait annoncé que le télescope spatial James Webb, lancé le 24 décembre dernier, serait le tombeau des « modèles » de l’univers élaborés à grand peine par l’astrophysique moderne. Maintenant que les photos commencent d’arriver, il se confirme que les galaxies sont partout semblables. La théorie de l’univers en expansion aurait voulu, elle, que les galaxies lointaines, images de ce qu’elles auraient été il y a des milliards d’années, fussent embryonnaires. Or, après confirmation de la « permanence » grâce au nouveau télescope – permanence sans laquelle, au demeurant, toute science serait impossible, comme Poincaré l’avait signalé –, il convenait de poursuivre, ici, la présentation de l’ouvrage Anthropocosmos. Le retour du bon sens en Physique, livre annonciateur d’une complète remise à plat d’une science théorique qui s’était, à tort, réduite à son appareil mathématique. Après avoir vu dans une première partie l’importance des nombres entiers, nous en venons maintenant à leur pertinence dans les réalités physiques.
Mais revenons à la Crise de l’Atome au XIXe siècle. C’est la lumière qui a livré le secret décisif : chaque atome émet des ondes discrètes très précises, dont la distribution des longueurs d’onde, ou « spectre », apparaît inexplicable au premier abord. Une série particulière de raies de l’Hydrogène couvre tout le domaine visible, du rouge vers le bleu, où les raies s’agglutinent en sortant du domaine visible (ultra-violet) : c’est un spectacle saisissant, d’une grande et pure beauté.
Figure 3. Répartition des raies d’émission (le « Spectre ») de l’Hydrogène dans le visible. On retrouve les mêmes longueurs d’onde (unité : le nanomètre) sous forme de raies noires d’absorption dans la lumière solaire, prouvant que l’atmosphère du soleil est riche en Hydrogène. Les autres raies ont été identifiées avec celles d’éléments terrestres. Le spectre des galaxies est le même que celui du soleil, mais décalé d’un pourcentage proportionnel à leur éloignement. D’après Jean-Marie MALHERBE. Le Spectre solaire de 380 à 870 nm (HAL-0078502), Observatoire de Paris, 2013.


Le pythagoricien Johann Balmer entreprit de chercher « où étaient les entiers » dans la distribution de ces longueurs d’onde très précises, et il montra en 1885 que ce sont les carrés d’entier qui interviennent, ce qui se déduit immédiatement de la loi de Kepler ci-dessus. De sa formule, généralisée par d’autres voulant obtenir les différentes séries spectrales, Niels Bohr déduisit son modèle d’atome, en oblitérant la découverte du thésard Arthur Haas, qui, trois ans avant lui, avait calculé correctement le spectre de l’atome, par une méthode plus générale. Nous détaillerons la méthode encore plus générale, esquissée ci-dessus, centrée sur le fait que ce sont les carrés d’entiers qui interviennent, et comment Newton aurait pu la proposer s’il avait été pythagoricien jusqu’au bout.
Le physicien anglais est célèbre par sa démonstration que la lumière du soleil est décomposable par un prisme en ce qui semble un continuum de couleurs, retrouvées dans l’arc-en-ciel (où ce sont les gouttes d’eau qui tiennent lieu de mini-prismes répartis dans l’atmosphère). Ce concept de continuum est anti-pythagoricien, mais ce n’est que 140 ans plus tard qu’on découvrit que ce continuum est parsemé de raies sombres, parmi lesquelles on retrouve les longueurs d’onde ci-dessus de l’hydrogène.
Cela signifie que l’atmosphère du soleil, appelée justement la « chromosphère », contient de l’hydrogène. Les autres raies signalent la présence d’autres atomes, plus répandus sur Terre que l’hydrogène. Et cela se généralise pour le rayonnement des étoiles, qui sont donc des soleils très éloignés. On en a déduit fort justement que les mêmes atomes qui constituent la Terre et le Soleil, se retrouvent partout dans l’Univers. C’est une indication décisive de la cohérence du Cosmos, encore un concept pythagoricien.
Le spectre de la lumière provenant des galaxies présente aussi les raies des atomes connus et répertoriés en laboratoire. Mais ce spectre montre un décalage vers les grandes longueurs d’onde (vers le rouge dans le visible), qui affecte toutes les longueurs d’onde avec le même pourcentage z. Ce pourcentage est proportionnel à la distance de la galaxie et, quand on prolonge par la pensée le décalage jusqu’à 100 %, il implique alors directement le rayon de l’Univers R (Encadré n°6).
C’est un phénomène physique bien connu, l’effet Doppler, qui relie ce décalage au rapport entre la vitesse de la galaxie et la vitesse des ondes, en l’occurrence la vitesse de la lumière. Peu de physiciens ont fait le lien, pourtant évident, entre cette fuite des galaxies et le nécessaire renouvellement d’une matière rongée par le deuxième principe de la thermodynamique, qui veut que le désordre a tendance à s’installer : donc une apparition constante de matière nouvelle est nécessaire. Le plus simple est de considérer des neutrons spontanés, car ceux-ci se désintègrent au bout de 887,7 secondes en proton, électron et anti-neutrino. Nul besoin de l’apparition brutale d’un Big Bang. Et à l’intérieur d’une galaxie, c’est le rôle des trous noirs géants de faire le ménage.
Encadré n°6: Le rayon R de l’Univers visible
Aussi appelé rayon de Hubble, il est directement mesuré par la fuite des galaxies, présentant un décalage spectral relatif z des raies de la Figure 3, proportionnel à leur distance d, ce qui se décrit par une droite : le rayon d’Univers R correspond au décalage extrapolé à 100 % ; autrement dit, c’est l’inverse de la pente de la droite.
z = d / R
AVERTISSEMENT. Contrairement à l’opinion générale, à cause des unités maladroites employées par les astronomes, ce qui est mesuré est bien une distance et non un temps. Dans cette circonstance, un principe métrologique de base a été violé par les « officiels » : il faut toujours se référer à ce qui est vraiment mesuré, en l’occurrence on ne mesure que des distances et des pourcentages, donc seule une longueur caractéristique peut être déduite de ces mesures.
Encadré n°7 : La Permanence Cosmique
Contrairement à l’opinion courante, la récession galactique n’implique pas que l’Univers soit en expansion, car le rayon de l’Univers d’Eddington R reste fixe : il s’agit donc d’un « équilibre dynamique », illustré par la nuée fixe sur le mont Fuji-Yama.
Fig. 4. Coiffe de montagne – Exemple d’équilibre dynamique, illustrant la récession galactique dynamique à l’intérieur d’un Univers permanent de rayon constant, dont la moitié est donnée par le « calcul 3 minutes ». La nuée trône sur le Fuji-Yama, malgré un vent violent : l’air humide refroidi par l’ascension se condense d’abord et, en sortant de la nuée, se réchauffe et donc redevient invisible.
Crédit image : Public domain images website https://commons.wikimedia.org/wiki/File: Cloud_over_a_mountain.jpg

Mais la principale leçon de l’Histoire est qu’on oublie les leçons de l’Histoire. Un nouveau débat, encore plus violent, s’est engagé au XXe siècle entre les tenants pythagoriciens de la Permanence Cosmique et les Évolutionnistes, partisans du Big Bang Initial. Celui-ci n’était pas vraiment « réfutable », car il suffisait d’ajouter des termes dans les équations pour s’adapter aux observations. Par contre, la Permanence Cosmique était facilement réfutable : puisque voir loin, c’est voir dans le passé, il suffisait d’observer une variation générale des astres suivant leur distance. C’est ce qu’on a cru faire et, officiellement et à grand tort, la Permanence a été déclarée réfutée.
Cela nous rappelle l’opposition des pré-socratiques, entre Parménide et Héraclite : pour le premier la Permanence est d’importance primordiale mais, pour le second, tout doit varier. Pour reprendre un argument du tout-mouvement héraclitéen : « on ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve. » Mais il faut souligner que, globalement, le fleuve reste inchangé. Il faut donc distinguer [pour les unir] entre le Local et le Global.
Or, dès le début du xxIe, deux prédictions faites grâce à la Cosmologie Permanente ont été confirmées, obligeant les officiels à réécrire tous les traités de cosmologie et incluant des complications incroyables, comme l’énergie sombre et l’inflation cosmique. La première prédiction fut la découverte de l’accélération de la récession galactique. La seconde fut le caractère « critique » de l’Univers, c’est-à-dire la plus simple relation possible entre le demi-rayon de l’Univers et sa masse.
Comme la Permanence exclut le Bang Initial, elle implique qu’une force répulsive écarte les galaxies. Le plus simple est alors de supposer que cette force soit proportionnelle à la distance. Donc elle n’opère qu’à des distances suffisantes (un million d’années-lumière, définissant un Amas galactique), et elle produit une récession accélérée, effectivement observée. La messe était dite, mais les officiels ont cherché des expédients compliqués, au lieu de retrouver la simplicité : ils n’ont pas compris que cela réfutait leur réfutation de la Permanence.
Encadré n°8 : Prédictions confirmées de la Permanence Cosmique
1/ Fond thermique, avec prédiction correcte de sa température ;
2/ Accélération de la récession galactique ;
3/ Caractère critique de l’Univers.
La première a été présentée, à tort, comme une preuve du Bang Initial. Les deux dernières ont été une totale surprise pour les officiels.
Ainsi, « il n’y a pas photo » entre les deux approches : le monde apparaît donc bien comme la réunion de la Permanence et du mouvement interne, comme l’illustre la nuée qui trône sur le Fuji-Yama, malgré un vent violent : l’air en remontant la pente, se refroidit et se condense, puis, en sortant de la nuée, il se réchauffe et donc redevient invisible (Fig. 4.).
Encadré n°8bis : Condition Critique1
Elle caractérise une distribution massique à symétrie sphérique, de rayon R et de masse M
dont la vitesse de libération est c. S’obtient donc ainsi :
énergie cinétique + énergie potentielle = 0
mv2/ 2 – GmM/R = 0 => v = √2GM/R)
Dans le cas de l’Univers, une galaxie de masse m atteint la vitesse c et sort de l’Univers2
R est le rayon observable de l’Univers,
le même en tout point de l’espace
C’est là que le lecteur attentif doit dresser l’oreille pour recevoir une leçon essentielle de Physique : il y a des quantités physiques invariantes, qu’on appelle « constantes fondamentales universelles », ou « Universaux » : elles sont censées régir les lois de la Physique en tout lieu et à chaque instant.
Cette permanence cosmique doit donc être directement liée aux universaux de Poincaré, ce que va introduire le « calcul 3 minutes » qui, à partir de 3 universaux, donne le demi-rayon et la masse de l’Univers observable.
La loi de gravitation universelle de Newton introduit une première constante universelle fondamentale G. Comme toute grandeur physique, c’est une combinaison de Masse, Longueur et Temps. Pour G c’est : L3/MT2 : un volume divisé par une masse et le carré d’un temps. Newton aurait dû déduire des observations de Kepler l’existence d’une deuxième constante, qui est aussi le quantum de rotation, c’est-à-dire la plus petite unité pythagoricienne d’une grandeur physique liée à une rotation. Cette constante quantique a été redécouverte par Planck, qui, en anti-pythagoricien continuiste convaincu, a tout fait pour l‘éliminer, jusqu’au jour où Poincaré démontra que sa présence était inévitable. Il était alors à deux doigts de corriger l’oubli de Newton mais, trop tôt disparu, il ne put empêcher qu’advienne le « Siècle Perdu de la Science ».
Encadré n°9 : Principe de Poincaré : la Permanence des Universaux
Les grandeurs physiques, qui sont des combinaisons de Masse, Longueur et Temps, sont généralement variables dans le temps et dans l’espace, mais toujours reliées par des lois qui utilisent des constantes universelles, représentant des grandeurs physiques invariantes : elles restent les mêmes en tout lieu et à tout instant.
AVERTISSEMENT. Le système international (SI) officiel considère, outre les trois entités physiques intuitives ci-dessus,
Masse, Longueur et Temps, quatre autres entités, qui ne sont pas fondamentales, y compris les grandeurs électriques. La charge électrique et la mole se réduisent à des nombres purs, la température est une énergie ML2/T2, et l’intensité lumineuse est une donnée physiologique.
La confusion qui en résulte rebute les étudiants, d’où la crise de la vocation scientifique, un problème gravissime, vu le besoin pressant en ingénieurs.
C’est Poincaré qui a précisé ce point capital : la Permanence de ces constantes est indispensable à l’existence de la Science. Mais ce principe n’est pas reconnu par le consensus officiel : on montrera comment de grands savants, tel le fameux Dirac, y ont dérogé et se sont gravement fourvoyés. En effet, l’on avait observé d’intéressantes corrélations liant les grands nombres apparaissant en Physique et en Cosmologie (voir ci-dessus). Mais personne ne fit la liaison avec le grand nombre le plus célèbre des mathématiques, le nombre premier (c’est-à-dire indivisible) de Lucas. En effet, pour un mathématicien « moderne », on ne peut rien tirer d’une approximation. Ce n’est pas le cas pour un vrai physicien pythagoricien comme Eddington, qui sut calculer le rayon de l’Univers par un raisonnement très simple : encore une perle de l’histoire de la Science.
Mais le calcul d’Eddington n’était pas aussi simple et direct que le « calcul 3 minutes » défini ci-après.
Le malheureux Dirac fut incapable de reconnaître la solution la plus simple : cette antimatière qu’on cherche en vain, est présente partout, dans la vibration matière-antimatière. Ayant gobé la fable du Big Bang Initial, il en déduisit que les grands nombres représentent l’âge de l’Univers, et introduisit donc une quantité variable dans les corrélations, l’amenant à supposer que G varie dans le temps. Autrement dit : la négation même de la Physique !
Et – croyez-le si vous pouvez ! –, son exemple insensé a été repris par d’autres soi-disant physiciens. En particulier George Gamow et Robert Dicke, qui proposèrent la variation d’autres constantes universelles. Dicke introduisit le « principe anthropique temporel », qui veut que nous vivions une époque très particulière dans l’histoire du Bang. Malgré le nom donné, son principe ne produit aucune réelle connexion avec l’Humain. C’est aussi ce qu’a soutenu Brandon Carter, qui a ensuite avoué que son « principe anthropique » était mal nommé, puisqu’il ne s’y trouve rien qui concerne directement l’Humain, tout au plus l’existence de la Vie.
Encadré n° 10. UNIVERSAUX : Constantes Universelles Fondamentales Principales
UNIVERSAUX | Symbole | Formulation M = masse L = longueur T = temps |
Constante de Newton (gravitation universelle) | G | L3 / MT2 |
Constante réduite de Planck H / 2π | ħ | M L2 / T |
Vitesse de la lumière dans le vide | c | L / T |
Masse de l’Électron | me | M |
Masse du Neutron | mn | M |
Masse moyenne des particules principales : Electron, Proton, Neutron | m0 | M |
Constante de Fermi | GF | M L5 / T2 |
En combinant les trois premiers universaux, cela définit la longueur et le temps de Planck, très petits à l’échelle humaine, censés représenter les limites de la Physique (l’officiel « mur de Planck ») et donc interprétés, à tort, comme des quanta d’Espace et de Temps. Cela est visiblement fautif, car la masse de Planck est tout à fait mesurable, celle d’une poussière, et très voisine de la masse de l’ovocyte humain. D’ailleurs, la grande différence avec la masse des particules constitue le « problème de la hiérarchie », insoluble pour les officiels. En remplaçant c par m0, cela donne le demi-rayon de l’Univers, donc sa masse critique (la formule 3 minutes), ce qui élimine l’expansion de l’Univers et le Big Bang Initial. En remplaçant c par GF cela donne une fréquence voisine du 50 hertz secteur, correspondant au diapason 442,9 Hz3.
Le remplacement de c par la masse de l’électron donne un couple Masse xLongueur caractéristique de l’Humain, prédisant, conformément au schéma de la « Dévolution » anti-darwinienne, le nombre historique total des Humains : 38 milliards. Cela singularise l’Humain dans l’Univers : le Principe Solanthropique remplace ainsi le Principe Anthropique officiel.
Le Principe suivant est reconnu par les officiels (cf. Wikipedia, Analyse dimensionnelle), mais n’est pas vraiment utilisé en Physique théorique, car on ne sait pas l’appuyer sur des bases théoriques. Il suffisait pourtant d’invoquer des principes pythagoriciens : le rasoir d’Ockham, le Principe d’Intelligibilité et le Principe d’Approche.
Encadré n°11.Principe d’Approche conceptuelle
Chaque domaine de la Physique est caractérisé par des Masse, Longueur et Temps qui sont des invariants secondaires, déduits des trois constantes universelles les plus afférentes au domaine considéré. Cette méthode est appelée trompeusement « analyse dimensionnelle » par les officiels.
Application en Mécanique des fluides. Dans ce domaine où les équations sont intraitables, l’Approche Conceptuelle est courante. C’est ainsi qu’on a pu déduire l’énergie d’une bombe atomique à partir de son champignon (voir Wikipedia, Analyse dimensionnelle).
Application en Musicologie. En combinant les trois constantes principales, ħ, G, GF (la constante de Fermi, centrale en physique des particules), on obtient une fréquence voisine du 50 Hz secteur, correspondant au diapason 442,9 Hz, ce qui résout la crise actuelle sur l’accordage des pianos de concert4.
Encadré n°12. LA FORMULE 3 MINUTES ħ2/Gm3
APPLICATION DU PRINCIPE D’APPROCHE CONCEPTUELLE À LA COSMOLOGIE : LE « CALCUL TROIS MINUTES » DONNE LE DEMI-RAYON, DONC LA MASSE CRITIQUE DE L’UNIVERS OBSERVABLE. (Wikipedia, Analyse dimensionnelle en cosmologie). Croyant dominer la théorie, les officiels ont négligé cette approche conceptuelle. Ainsi, dans la triplette classique ħ, G, c qui donne les unités de Planck, il suffisait d’exclure le c, beaucoup trop lent pour la Cohérence cosmique et, conformément au cube des théories (Fig. 5), de le remplacer par la moyenne des masses atomiques pour obtenir le demi-rayon de l’Univers, directement mesurable (Encadré n°4 ) donc sa masse critique M = Rc2/2G, qui implique, compte-tenu du rapport gravitationnel canonique 10/3, un nombre de neutrons égal au Grand Nombre d’Eddington Ne = 136 x 2256. La fraction 3/10 de la masse M de l’Univers observable, compatible avec le complément officiel de l’énergie noire 7/10, est ainsi reliée aux masses des particules par une relation qui précise notre valeur de G, compatible avec les mesures du BIPM, mais excédant la valeur officielle de 2x 10-4.
Rayon de l’Univers : R = 2ħ2/Gm03
≈ 13,8 milliards d’années-lumière
Masse de Planck : mP= (ħc /G)1/2
≈ 22 microgrammes (ovocyte humain)
Masse de l ’Univers : M = mP4 / m03
≈ mn× (10/3) × Ne (précision 0,05 %)
(ħc / G)2 ≈ (10M/3)NememH2mn(précision 4 × 10–5)
Ce « calcul 3 minutes » vient à point nommé résoudre la crise grave de la Cosmologie actuelle, en prouvant que l’Univers n’est pas en expansion, donc sans âge, mais que le modèle standard de la cosmologie a des aspects corrects, car il conclut à un soi-disant âge de 13,8 milliards d’années : le Big-Bang n’est donc pas initial mais permanent, une suite de désintégration-réintégration ultra-rapide, dans une oscillation matière-antimatière. Autrement dit, il était inutile et vain de rechercher où était l’antimatière, puisqu‘elle est présente partout. Encore un cas où le rasoir d’Occam a été délaissé. Nous montrerons aussi que c’est à cause de la complication relativiste que les cosmologistes butent sur l’énergie sombre, pourtant une évidence triviale non-relativiste, car le facteur correspondant 10/3 est un facteur gravitationnel trivial5.
Voilà enfin réalisée la prophétie d’Eddington :
« Je cherche en permanence à trouver pourquoi les gens trouvent ma procédure obscure. Je ferai cependant remarquer que même Einstein était considéré comme obscur, et des centaines de gens ont jugé qu’il était nécessaire de l’expliquer. Je ne crois pas sérieusement avoir atteint l’obscurité à laquelle arrive Dirac. Mais dans le cas d’Einstein ou de Dirac, les gens ont pensé qu’il valait la peine de pénétrer l’obscurité. Je crois qu’ils me comprendront bien quand ils se rendront compte qu’ils doivent faire la même chose quand viendra la mode d’« expliquer Eddington6. »
Cela contredit la phrase malheureuse de John Barrow7 (« Ce jour n’est jamais arrivé »), ce qui prouve que cet auteur n’a pas pris la peine de comparer la prédiction d’Eddington avec la réalité – la relation de l’Encadré 12 précise au-delà du millième. C’est peut-être la prédiction la plus sensationnelle de l’Histoire des Sciences. Eddington avait prévu correctement depuis 60 ans le nombre d’atomes dans l’Univers.
Il avait aussi prédit le rayon d’Univers, mais par une méthode moins directe que la « formule 3 minutes ». Il n’y a donc « pas photo », tout penseur digne de ce nom doit récuser le Big Bang Initial, qui est pourtant au centre du consensus général scientifique et de l’enseignement officiel mais qui viole le Principe de Permanence Cosmique ci-dessus8.
Ou plutôt si, il y a photo : celles de Halton Arp (Fig. 6), montrant une série de galaxies qui, malgré des décalages spectraux différents, sont reliés par des ponts de matière.
Fig. 5. Le cube des théories. Les trois constantes principales, ħ, G, c, définissent 8 théories. La théorie du Tout doit utiliser ces trois constantes : elle est encore inconnue, mais notre Holophysique, soit le sigle HP (site holophysique.free.fr), en ferait la meilleure candidate. L’absence de constante correspond au point origine, MN, la mécanique de Newton. Si une seule constante intervient, on a respectivement GN (gravitation de Newton), RR (relativité restreinte de Poincaré) et MQ (mécanique quantique). Si une seule constante manque, on a, pour ħ : RG (relativité générale), et pour G : MQR (mécanique quantique relativiste ou théorie quantique des champs). Il manque donc le cas où c n’intervient pas. Aussi incroyable que cela puisse paraître, cela correspond au « calcul 3 minutes » et à QE, la quantification de l’Espace9 qui brise le mur de Planck d’un facteur 1061.

Bref, alors que gravitation et quantique sont réputées inconciliables par les officiels, il suffisait de remarquer que la gravitation est caractérisée par l’absence de la constante de Planck, tandis que, pour la quantique, c’est l’absence de la constante de Newton.
Alors s’imposait le calcul sans la vitesse-lumière : le « calcul 3 minutes »
Fig. 6. L’effet ARP. La galaxie NGC7603 est reliée par un pont de matière avec une galaxie satellite. Les deux galaxies ont des décalages spectraux z différents : d’après la théorie officielle, elles devraient donc être situés à des profondeurs différentes de l’espace, et donc aucun pont ne devrait les relier. C’est pourtant le cas, ce qui discrédite la thèse officielle qui soutient qu’il n’y a pas de déphasages anormaux. Cela suggère même que l’on assiste là au renouvellement de matière, prévu par la Cosmologie permanente, renouvellement durant lequel le réglage de la phase de la vibration matière-antimatière des bébé-galaxies serait progressif. Catalogue des Peculiar Galaxies de Halton ARP sous le nom de ARP 92.

Le Principe d’Unité de Pythagore figurait au fronton de son école. Car le Un, appelé Monade [du grec μονάς, μονάδος monas, monados, « seul, solitaire »], n’était pas considéré comme un nombre, mais comme le générateur de tous les nombres. Telle est la leçon de Pythagore : le Cosmos doit former un Tout harmonieux. Cela est confirmé par la rotation du plan d’oscillation d’un pendule, qui montre que les objets proches sont intimement reliés aux objets lointains. Les académiciens de Florence, au XVIe siècle, avaient constaté cette rotation du pendule, mais ne l’avaient pas liée à la rotation terrestre, car ce n’est qu’au pôle que l’axe du pendule se confond avec celui de la Terre, et la rotation est alors de 24 heures, prouvant l’alignement de tout pendule – et aussi d’un gyroscope –, sur le Cosmos le plus lointain. En effet, on ne peut se contenter d’invoquer les étoiles dite « fixes » du firmament : la distribution des constellations varie au fil des millénaires, car les étoiles décrivent des orbes galactiques toutes différentes10. C’est le « Principe de Mach », selon lequel la masse d’un objet local est liée à la totalité des masses cosmiques. Il est toujours inexpliqué par la science officielle. Or l’Atome, contrairement à son étymologie, est divisible, et les trois particules principales de la Physique atomique sont l’électron, le proton et le neutron. C’est en considérant la moyenne de ces trois masses, par le calcul élémentaire incontournable, vérifiable par tous (voir dans Wikipedia, article « Analyse dimensionnelle », exemples d’application, section Cosmologie) que l’auteur, en trois minutes chrono, a déduit la masse de l’Univers observable, d’où ce nom de « formule » ou de « calcul 3 minutes ».
Dans l’antinomie idéalisme-matérialisme, ce dernier est réfuté en utilisant, précisément, le concept de masse11
Pour tout physicien qui se respecte, ce calcul est incontournable, direct et élémentaire. D’où la question : comment a-t-il pu échapper à tous les pères fondateurs, après 1930, date de la découverte du neutron ? Seule réponse : ce sont les anti-pythagoriciens qui ont pris le pouvoir et imposé leurs vues : pour eux, la Cosmologie doit être le domaine le plus complexe de la Science : il leur est donc inimaginable que nous puissions calculer la masse de l’Univers aussi facilement.
On aurait pu pourtant éviter un siècle d’atermoiements12 entre Big Bang Initial et Permanence. Le consensus est pour le moment en faveur du premier, présenté comme certain et avéré, et même intégré dans le tronc commun des collèges ! Nous attendons les observations prochaines du nouveau télescope spatial James-Webb pour voir le Système s’amender enfin.
Pour les pythagoriciens, le Cosmos doit être le plus simple, une anticipation du Principe d’Aristote qui séparait le Monde en deux parties, la supérieure, supralunaire, pure et immuable, et une inférieure, sublunaire, vouée aux aléas du changement. Ce Principe aristotélicien est donc confirmé, mais seulement après avoir placé la frontière, non pas dans l’orbe lunaire du Stagirite, mais dans le rayon de l’Univers visible, ce qui est vérifiable en trois minutes.
Mais comment se manifeste à nous un Cosmos si éloigné ? Par un rayonnement quasi-thermique qui remplit uniformément tout le ciel.
Encadré n°13. L’évidence du Cosmos
Un rayonnement micro-onde d’apparence thermique inonde le ciel de façon uniforme, prouvant que l’Univers est plongé dans le Cosmos. Nous montrons que ce rayonnement est le code génétique de l’Univers. En particulier, dans l’Encadré n°10, en remplaçant c par l’énergie caractéristique du fond thermique, on obtient la longueur d’onde quantique de l’Hydrogène, ce qui correspond à une relation holographique très précise entre la température cosmique et le rayon de l’Univers (Encadré n°5).
AVERTISSEMENT. La Cosmologie officielle a considéré l’observation du fond de rayonnement thermique comme une preuve fossile du Big Bang initial. C’est un contre-sens total, puisque rien n’est plus éloigné de l’équilibre thermique de la Permanence, que l’explosion d’un Bang.
La crise de la Cosmologie rejoint celle de la Physique, science complètement bloquée, et d’aucuns peuvent s’étonner. Comment une Science moderne si contraire au sens commun a-t-elle pu engendrer ces technologies remarquables, qui nous facilitent tant la vie ? En fait, ces dernières se sont développées indépendamment des élucubrations mathématiques. Ainsi le premier laser, qui était réputé impossible par les théoriciens, a été bricolé dans un garage et sa publication fut refusée par les journaux scientifiques, ce qui a donné lieu à des décennies de procès. On ne comprend toujours pas le fonctionnement du laser, comme nous l’expliquions dans notre formation Laser, pendant 15 ans, au CEA. Autre exemple très récent, l’effet « Hall quantique », totalement inattendu, où la physique quantique se manifeste directement à l’échelle macroscopique, contrairement aux officiels qui affirment qu’elle ne concerne que le microcosme. Bref, la Physique, comme la Cosmologie, sont en plein brouillard, mais rares sont ceux qui le reconnaissent13.
Parmi les physiciens authentiques, le champion de l’anti-pythagorisme fut Jean-Claude Pecker14 pendant toute sa carrière d’astrophysicien, où il eut le mérite et le courage de s’opposer à cette vision folle du Big Bang Initial. Pecker, en anti-pythagoricien convaincu, affirmait que le Bang Initial était trop simple, alors qu’un pythagoricien affirme que c’est trop compliqué, en contradiction avec toutes les lois connues de la physique. Voici comment Pecker conclut son dernier ouvrage L’Univers exploré, peu à peu expliqué (Paris, Odile Jacob, 2003), page 284, où il pourfend non seulement le pythagorisme, mais aussi son corollaire, le « principe du rasoir d’Ockham », qui veut que la solution la plus simple doive être privilégiée :
« Doit-on dresser des statues à Ockham dont le principe permet de donner plus de cohérence interne aux théories cosmologiques ? Ou faut-il au contraire démolir les idoles d’Ockham (s’il en est), pour manifester nos réticences vis-à-vis des constructions pythagoriciennes, dont il est en quelque sorte le point de départ mental (nombres entiers, harmonies, figures simples, symétries…) ? Faut-il tuer Ockham, par opposition à l’idée de la simplicité fondamentale de l’Univers, idée pythagoricienne, ou lui dresser une statue au nom du pouvoir heuristique de la théorie (pythagoricienne) des particules élémentaires ? »
Voilà pourquoi Pecker refusa d’admettre la pertinence du « calcul 3 minutes » donnant la masse et le demi-rayon de l’Univers visible. Il lui fut impossible d’admettre que l’on puisse prévoir en trois minutes le résultat de la mesure la plus difficile et controversée de l’Histoire de la Science, celle du rayon de Hubble, qui se poursuit depuis un siècle et n’est pas encore aboutie en cette année 2022. Le nouveau télescope spatial va permettre de préciser cette mesure du « rayon de Hubble », pour laquelle deux clans d’officiels s’affrontent sur 2 valeurs divergentes de plusieurs % (d’ailleurs entourant notre valeur « 3 minutes »).
Pecker admettait quand même que le pythagorisme a fleuri dans le domaine des particules, mais il a refusé de l’étendre à la Cosmologie. À la fin de sa vie, apprenant dans un de nos courriels que l’oubli catastrophique de Newton expliquait l’impasse actuelle de la Physique, Pecker a brutalement changé d’avis, et est revenu publiquement au pythagorisme. Il écrivit :
« Je reste vivement intéressé par les idées de Francis [Sanchez]. Il est clair pour moi qu’une bonne description de l’univers doit en effet impliquer des relations arithmétiques ; on sait qu’à l’échelon du végétal, les suites de Fibonacci se retrouvent dans la nature ; les lois de Kepler sont aussi de nature arithmétique. Je pense que la nature même de la matière implique des mathématiques du discontinu, autrement dit arithmétiques. L’apparence du continu n’est vraisemblablement due qu’à l’énormité des nombres impliqués dans la description des phénomènes. En insistant sur l’importance du nombre dans la physique de l’univers, je pense que Francis a raison, et je souhaite suivre sa pensée et ses déductions. »
Mais un tel revirement, une telle prise de conscience, est un cas unique, car la majorité des « officiels » est prisonnière d’une Pensée Unique qui préfigure la déconfiture finale, annoncée par le nouveau télescope spatial James-Web.
Les « officiels » déclarent que les effets quantiques sont réservés à la micro-physique, qu’ils désignent par « l’infiniment petit », ce qui est déjà un contre-sens quantique patent. Indépendamment du « calcul 3 minutes », qui rétablit le quantique à l’échelle cosmique – que les inconscients officiels désignent, tout aussi bêtement par « l’infiniment grand ») –, ils ont reçu un démenti flagrant par l’apparition de cet effet Hall quantique, qui a conduit le système international d’unités à reprendre la définition des unités de base, en utilisant enfin l’universal quantique, la constante de Planck h. Les officiels ont masqué le 137 dans un système d’unités inutilement compliqué (cf. Encadré n°2).
Loin de ces vagues élucubrations officielles, nous prouvons le Vrai Principe Anthropique (ou plutôt « Solanthropique ») qui veut que, sur la base de corrélations numériques très précises, les constantes universelles conduisent au couplage Humain-Terre-Système solaire, et que ce triplet occupe une place centrale et unique dans le Cosmos. C’est là une conclusion totalement opposée au consensus officiel, qui imagine la vie répandue partout dans l’Univers15. La position officielle est démentie par ce qu’on appelle le « paradoxe de Fermi », mais qui devrait s’appeler « l’évidence de Fermi ». Selon lui, si la vie intelligente existait dans la Galaxie, cette vie-là possédant des vaisseaux spatiaux atteignant seulement 1 % de la vitesse-lumière, alors, comme la colonisation est un processus exponentiel, et en supposant un temps d’établissement des colonies de 5 000 ans, aurait dû conquérir la Galaxie en 100 millions d’années, temps très court à l’échelle cosmologique. L’évidence s’impose par le rasoir d’Ockham : nous sommes bien seuls dans la Galaxie, et donc probablement dans l’Univers.
Le nouveau télescope devra aussi éclairer ce débat sur l’Unicité du système Soleil-Terre-Humain.
En 1999, la sonde Mars Climate Orbiter, qui devait orbiter autour de Mars, s’est écrasée au sol, par suite d’une erreur sur les paramètres de freinage des propulseurs de la société Lockheed-Martin. Car celle-ci utilisait des unités en mille, pied et livre-force, contrairement au système métrique de la NASA16. Cette perte de 125 millions de dollars aurait dû inciter les Américains à se convertir au système métrique.
Et le système International d’Unités aurait dû éliminer toutes ces unités électriques parasites, comme le Coulomb, l’Ampère, le Volt, etc. Ce système aberrant a ainsi préparé la grande catastrophe qu’annonce le nouveau télescope spatial James-Webb, ce qui va provoquer :
la chute du système scientifique officiel.
Figure 7 : Photo du globe terrestre : la Terre est un bijou unique dans la Galaxie
Source : Nasa Image from The Discover Epic Team / Blueturn

1 Cette condition s’identifie avec la relation officielle de l’horizon de Schwarzschild d’un trou noir en relativité générale. La moitié du rayon de Schwarzschild est appelée rayon gravitationnel. Noter la description courante fautive mentionnant une densité énorme, ce qui n’est pas le cas de l’Univers.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Rayon_de_Schwarzschild.
2 La cosmologie Permanente considère l’Univers comme un « tout » quantique, alors que la cosmologie officielle le considère comme un « tout » relativiste. La relativité ne s’applique pas à l’échelle cosmique, qui définit le référentiel absolu par le rayonnement de fond.
3F. M SANCHEZ, C. BIZOUARD, M. GROSSMANN, D. WEIGEL, R. VEYSSEYRE & V. KOTOV, « Space-Time Quantification », Progress in Physics, vol. 18, 66-73, 2022.
4 Ce calcul termine l’article en ligne « Space-Time Quantification », Progress in Physics, vol. 18, 66-73, (2022), http://www.ptep-online.com/2022/PP-63-11.PDF
5 L’énergie gravitationnelle d’une boule homogène de rayon R et de masse M est (-3/5)GM2/R, soit dans le cas critique où R = 2GM/c2, l’énergie (-3/10) Mc2.
6 Lettre à Herbert Dingle citée dans J. G. CROWTHER, British Scientists of the Twentieth Century, Londres, Routledge & Kegan Paul, 1952, p. 194.
7 John David BARROW, Les Constantes de la nature, Paris, Odile Jacob, 2005, p. 101.
8 Ce principe a été appelé « Principe Cosmologique Parfait » par Hermann Bondi et Thomas Gold, les premiers concepteurs de la Cosmologie Permanente (« steady state »). Fred Hoyle les a rejoints, mais a ensuite abandonné ce principe, croyant à tort que la Permanence avait été réfutée par certaines observations. Ces dernières, portant sur les quasars, furent ensuite invalidées par l’effet Arp (Fig. 5).
9 F. M. SANCHEZ et al., « Space-Time Quantification », Progress in Physics, 2022.
10 Pierre A. DAGUIN, Traité Élémentaire de physique théorique et expérimentale, 3 vol.,Toulouse, Éd. Édouard Privat, 1855-60.
11 Étienne KLEIN a tout faux quand il déclare, en La Science, l’épreuve de Dieu ?, op. cit., p. 148 : « La masse est un “attribut secondaire” » !
12 La controverse entre les deux principaux modèles cosmologiques, jusqu’au tournant du siècle, est détaillée par Helge KRAGH dans Cosmology and Controversy. The Historical Development of Two Theories of the Universe, É-U, Princeton University Press, 1996-99.
13 Lee SMOLIN, Rien ne va plus en physique. L’échec de la théorie des cordes, Paris, Dunod, 2007.
14 J. C. PECKER (1923-2020), membre de l’Académie des Sciences, occupait la chaire d’astrophysique théorique au Collège de France.
15 Trinh Xuan THUAN, Mondes d’ailleurs, Paris, Flammarion, 2021.
16 J. D. BARROW, op. cit.