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Par Perreault Christian

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SCIENCE ET TECHNIQUE

« Les rationalistes fuient le mystèrepour se précipiter dans l’incohérence. »

(Bossuet)

L’âge de l’Univers1

Julien Perreault2

Résumé : Pour mesurer l’âge de l’Univers, il est évidemment impossible d’utiliser une horloge. Pour ce faire, les astronomes se fondent sur un empilement d’hypothèses : l’origine serait un Big bang ayant projeté les corps célestes dans l’espace avec une vitesse croissant avec leur éloignement ; cette vitesse serait mesurable par le décalage vers le rouge de la lumière émise ; il existerait un rapport constant entre vitesse et distance (constante de Hubble). Or la “constante” estimée par Hubble à 500 km/s/Mpc, en 1929, ne donnait que 2 milliards d’année à l’Univers (pas assez pour l’Évolution). Elle a dû être ramenée de 500 à 70, par des étalonnages ad hoc. Par ailleurs, Alton Arp a relevé que des astres conjoints montraient des décalages totalement différents. Enfin, l’effet Compton, fondé sur le ralentissement des photons en présence d’électrons, suffit à expliquer la perte d’énergie que constitue le décalage. Prétendre que l’astrophysique nous a permis de connaître l’âge de l’Univers est donc une imposture.

Un des domaines sur lesquels les scientifiques se penchent est celui de nos origines. Depuis quelques siècles, le naturalisme envahit ce « domaine d’étude ». Il s’agit d’un courant de pensée selon lequel toute structure, aussi complexe soit-elle, peut émerger sans cause antécédente. Toute la matière de l’Univers serait d’abord sortie du néant (ce qui contredit la première loi de la thermodynamique).

Puis elle se serait agglomérée pour former des systèmes organisés tels que les étoiles et les galaxies (ce qui contredit la deuxième loi de la thermodynamique).

Ensuite, la vie aurait émergé à partir de composés inorganiques (aucune théorie scientifique crédible n’a pu soutenir cette élucubration) et, plus tard, la vie se serait diversifiée par évolution. Concernant cette évolution, le registre fossile, potentiel témoin de nos origines, révèle une apparition discontinue de toutes les espèces fossiles, c’est-à-dire que les fossiles montrent qu’il dut y avoir création plutôt qu’évolution graduelle.

Petite supernova
Fig. 1. Petite supernova.

Les naturalistes ont donc été contraints, devant la non-validité de leurs théories, d’introduire un dogme qui leur permette de faire survivre leurs croyances.

Le temps est devenu une «baguette magique ». On nous dit qu’il semble impossible que la vie soit apparue sans cause antécédente, mais qu’avec le temps tout est possible… On nous impose alors, comme vérité absolue, le « fait » que l’Univers et la Terre dateraient de milliards d’années.

Le présent article veut donc faire la lumière sur la méthode que le mouvement naturaliste applique pour nous vendre son idée d’un Univers vieux de quelque 15 milliards d’années.

Il importe tout d’abord de comprendre que l’âge de l’Univers n’est pas mesurable. Aucune donnée empirique ne s’y rapporte directement. L’âge de l’Univers est plutôt calculé en fonction de plusieurs suppositions incertaines, dépendant notamment de cette croyance populaire qui veut que l’Univers a démarré par une gigantesque explosion ou expansion de l’œuf cosmique (le point où toute la matière aurait été concentrée initialement). L’univers (l’espace et la matière) serait donc en constante expansion depuis cet événement mythologique.

En 1929, l’astronome Edwin Hubble proposa une loi qui nous permettrait de calculer la distance des astres éloignés et ainsi leur âge. Voici une petite illustration qui permet de comprendre pourquoi « distance » et « âge » sont reliés : disons qu’un objet se situe à 10 mètres devant vous et supposons que la lumière parcourt 1 mètre par minute. La lumière émise (ou réfléchie) à partir de l’objet mettra 10 minutes pour parvenir à votre œil. La déduction évidente est que si vous pouvez voir cet objet maintenant, c’est donc dire que l’objet existe depuis au moins 10 minutes. Si l’objet existait depuis seulement 2 minutes, la lumière n’aurait pas eu le temps de vous parvenir et l’objet vous serait invisible. Notons que dans un tel raisonnement (qui est exactement le même que celui de la cosmologie moderne), la distance qui nous sépare de l’objet est la donnée recherchée puisque la vitesse de la lumière est connue (toutefois on ne peut confirmer que cette vitesse a toujours été constante).

Hubble, dans les années 20, avait observé que le spectre lumineux de certaines galaxies était décalé vers le rouge. Habituellement, ceci indique que l’objet observé s’éloigne de l’observateur (selon l’effet Doppler). En s’éloignant, l’objet fait subir aux ondes lumineuses une « décompression » ou perte d’énergie. Le contraire est vrai également : un objet qui s’approche induit une « compression » des ondes (spectre lumineux décalé vers le bleu). Hubble a ainsi déduit que les galaxies s’éloignaient de nous, et ceci d’autant plus vite qu’elles sont plus éloignées.

Un premier problème apparaît : puisque l’on ne connaît pas a priori les distances relatives des astres éloignés, comment affirmer que les astres s’éloignent plus vite lorsqu’ils sont plus loin ? Hubble suggère que le rapport de la vitesse de fuite apparente de l’astre observé sur sa distance est une constante H :

H = V / D

Cette relation, qui n’est qu’hypothétique, nous permet de calculer la distance hypothétique d’un astre (et donc son âge hypothétique), à condition de connaître précisément la constante de Hubble (H) et la vitesse de fuite de l’astre (V).

Une autre condition invérifiable s’applique alors : la vitesse d’expansion de l’Univers (H) doit avoir été relativement constante par le passé. Prenons par exemple, le quasar SDSS J1044-0125 (un noyau de galaxie) qui semble s’éloigner à une vitesse de près de 300 000 km par seconde (V). La constante de Hubble est estimée à 70 km/s/Mpc3. La distance hypothétique D obtenue par la loi de Hubble (donc V/H) serait donc :

300 000 km/s/ 70 km/s/Mpc = 4 286 Mpc = 14 milliards d’années-lumière

Ce calcul jette de la poudre aux yeux et satisfait pleinement ceux pour lesquels un univers très vieux est indispensable afin que leurs autres croyances soient défendables. Or, nous savons très bien que les valeurs V et H sont « bidon » et non scientifiques.

Non-validité de la constante de Hubble (H)

Pour établir la constante H, nous avons besoin d’un large échantillon d’astres lointains pour lesquels V et D sont connus. Or, ceci est impossible puisque la seule méthode qui ait une réelle crédibilité géométrique pour calculer les distances des astres est limitée aux astres très « proches » de nous. Les astronomes sont donc contraints de contourner ce léger problème en faisant des comparaisons spéculatives entre l’éclat des astres proches et celui d’astres lointains que l’on considère semblables, et ainsi ils se créent un échantillon de données « bidon ».

Cette méthode de calcul des distances repose sur l’étude de l’éclat des étoiles dites « variables ».

À partir de cet « échantillon », la valeur de H pourra être déterminée. Notons que la valeur de H a beaucoup évolué dans le temps : Hubble l’avait estimée à 500 km/s/Mpc il y a 70 ans. Cette valeur donnait un univers de seulement 2 milliards d’années. Pas assez de temps pour que les contes naturalistes (abiogenèse, évolution…) aient pu se réaliser.

Constante de Hubble
Fig. 2. Comment la « constante » de Hubble s’ajuste à l’âge supposé de la terre (depuis Hubble jusqu’à nos jours).

Aujourd’hui, on a revu les données, et les spécialistes concluent que la valeur de H doit se trouver entre 50 et 100. L’incertitude sur la « constante » est donc de l’ordre de 100 %, ce qui lui confère une crédibilité mathématique plutôt inexistante !

varier sans converger
Fig. 3. Comment la « constante » de Hubble continue de varier sans converger (de 1975 à 2000).

Durant les seules années 90, les estimations sur la valeur de H ont fait varier l’âge de l’Univers entre 6 et 25 milliards d’années. Plus récemment, les astronomes disent avoir fixé la valeur de H à 70 km/s/Mpc avec une incertitude de seulement 10%. Pour ce faire, ils ont déduit la distance et la vitesse de fuite apparente de plusieurs galaxies en fonction d’une étude portant sur 800 étoiles variables situées (supposément) à plus de 65 millions d’années-lumière. Il faut signaler que personne ne s’est rendu sur place pour assurer que ces données sont valides. La seule donnée empirique dont disposent les astronomes est la luminosité de petits points brillants. C’est à partir de cette seule donnée que l’on établit toutes les relations hypothétiques qui nous mènent finalement aux calculs des distances. Ces « distances », qui sont alors fortement reliées à nos hypothèses, ne peuvent pas être qualifiées de faits certains. Elles sont plutôt spéculatives et modulables selon les résultats attendus (pour ne pas dire « nos croyances »). Rappelons que la croyance en un univers vieux existait avant que ces techniques ne fussent utilisées …

Non-validité du calcul de vitesse de fuite (V)

La donnée V est établie par le décalage spectral de la luminosité d’un astre. On suppose que le décalage vers le rouge est proportionnel à la vitesse d’éloignement de l’astre observé. Pour des distances courtes, ce peut être le cas si la cause est effectivement un effet Doppler.

Sur de grandes distances, il n’est pas prouvé que SEUL l’éloignement de l’astre observé induise une perte d’énergie (produisant le décalage vers le rouge). Si d’autres facteurs peuvent potentiellement agir sur la longueur d’onde de la lumière, l’astre pourrait bien demeurer parfaitement immobile mais avec une luminosité décalant vers le rouge, nous donnant ainsi une fausse impression d’éloignement (c’est pourquoi Hubble aimait mieux parler de vitesse de fuite « apparente »). Or, il s’avère justement que d’autres facteurs peuvent influencer la luminosité d’un astre. Nous savons très bien que l’espace est rempli de gaz, de poussières, de plasma et de particules à haute énergie. Lors de son « voyage » vers nous, la lumière subit donc plusieurs influences. Les poussières, par exemple, influent sur la lumière. Autre phénomène : la gravitation. Dans un trou noir, la force gravitationnelle influence la lumière au point que celle-ci ne réussit pas à « sortir » du trou noir. Il est donc clair que la lumière subit une influence gravitationnelle lorsqu’elle passe près d’un astre volumineux. Ensuite, il y a les mirages cosmiques de toutes sortes qui déforment ce que nous voyons de l’univers lointain.

Halton Arp est un astronome de grande renommée qui a contesté la relation entre le décalage vers le rouge et l’effet Doppler.

Arp a publié plusieurs clichés de galaxies et de quasars qui confirment hors de tout doute son hypothèse. Pourtant, les astronomes ne sont pas très réceptifs aux travaux d’Arp et les rejettent du revers de la main sans apporter de réelles réfutations. La raison en est simple : la loi de Hubble est devenue un dogme central en astronomie. Si ce dogme est remis en question, beaucoup de travaux et des milliers d’articles auront été dans l’erreur ces dernières 80 années. Il est donc clair qu’il y a conflit d’intérêts.

Les observations de Halton Arp

Voyons deux de ces fameuses observations. La première, une image où une galaxie et un quasar sont reliés, induisant incontestablement qu’ils sont à la même distance. Pour des astres qui sont à la même distance, la loi de Hubble prédit un décalage spectral identique.

galaxie NGC 4319

Fig. 4. Cette image isophote de la galaxie NGC 4319 (au centre) et du quasar Markarian 205 (au-dessous), réalisée en superposant plusieurs plaques photographiques prise par Halton Arp à l’aide du télescope de 200 pouces de Palomar, montre clairement les ponts lumineux qui relient les deux objets4. Le Nord est en haut et l’Est à gauche.

Or, en interprétant V selon l’effet Doppler, la galaxie affiche une vitesse de fuite (V) de 1 800 km/s (distance = 84 millions d’a. l.), alors que le quasar (au-dessous) aurait une vitesse de fuite de 21 000 km/s (distance = 978 millions d’a. l.).

Le quasar serait donc 12 fois plus éloigné de nous que la galaxie, soit environ 900 millions d’années-lumière plus loin5. Tel n’est pas le cas, puisque l’image nous apparaît toujours avec les deux astres reliés.

Photo de Halton Arp
Fig. 5. Halton Arp6

Le second cas est celui de la Galaxie NGC 1199. Sur l’image, on aperçoit une galaxie centrale et une autre galaxie qui nous apparaît comme à l’avant de la première (donc plus proche). Or, en interprétant V selon l’effet Doppler, la galaxie du fond affiche une vitesse de fuite (V) de 2 700 km/s (distance = 125 millions d’a. l.), alors que la galaxie à l’avant aurait une vitesse de fuite de 13 300 km/s (distance = 619 millions d’a. l.). L’illogisme auquel cela nous conduit est le suivant : la galaxie à l’avant se trouverait, selon la loi de Hubble, plus éloignée de 500 millions d’années-lumière que la galaxie du fond !

Fig. 4 et 4bis. Galaxie NGC 1199

La conclusion est claire : la « loi » de Hubble est fausse puisqu’elle se base sur une relation (décalage spectral —> vitesse de fuite —> distance) qui n’avait pas été vérifiée, mais qui avait plutôt été proposée et immédiatement acceptée par la communauté scientifique. Or, une science plus avancée confirme désormais que cette vieille relation est invalide.

« Halton Arp de l’Institut d’Astrophysique de Garching, en Allemagne, a affirmé pendant plus de 25 ans que les quasars, objets que la plupart des astronomes croient exister aux extrémités de l’univers, sont en fait des compagnons de galaxies assez rapprochées. S’il a raison, les implications en seraient aussi révolutionnaires que celles des théories de Galilée, qui soutenaient l’idée selon laquelle la Terre tourne autour du soleil tout comme les lunes de Jupiter tournent autour d’elle. La règle astronomique, que l’on nomme «décalage vers le rouge»(redshift)et qui place les quasars et les galaxies à des distances très différentes, serait remise en question, tout comme les croyances de base des cosmologistes en ce qui a trait à l’univers. Les astronomes ont pour la plupart rejeté les théories d’Arp, mais il présente maintenant son étude la plus systématique jamais faite concernant le regroupement de quasars et de galaxies7

Une théorie de remplacement très productive

La lumière provenant d’un astre pourrait-elle perdre de l’énergie par un autre phénomène que l’effet Doppler ? Oui, par l’effet Compton. En 1927, Arthur Holly Compton a partagé le prix Nobel pour cette découverte. Ce phénomène se traduit par une perte d’énergie d’un photon lorsque celui-ci entre en collision avec un électron. Ainsi, la lumière peut voir sa longueur d’onde augmentée sans que la source lumineuse soit en mouvement. L’analyse du décalage spectral selon cette nouvelle interprétation est judicieuse. Elle permet notamment d’expliquer pourquoi la lumière du soleil décale vers le rouge (elle a perdu de l’énergie) alors que le soleil ne s’éloigne aucunement de nous. Les photons émis à partir du soleil doivent traverser une couche de gaz à la surface du soleil et heurter des électrons libres. Une partie de l’énergie des photons est transférée aux électrons qu’ils heurtent (effet Compton). Ainsi, la lumière du soleil présente un décalage vers le rouge sans que le soleil s’éloigne de nous.

De plus, il a été confirmé que la lumière émise sur la ligne tangente Soleil-Terre affiche un décalage vers le rouge plus prononcé. Cette observation concorde parfaitement avec l’hypothèse du décalage spectral par l’effet Compton, puisque la lumière émise de la tangente doit parcourir une plus grande distance à la surface du Soleil (là où les électrons libres sont concentrés).

L’effet Compton permet aussi de comprendre comment le décalage spectral de la lumière peut être significativement différent pour un système d’étoiles binaires. L’« étoile chaude » présente un décalage supérieur à 1’« étoile froide ». Puisque les deux étoiles « orbitent » l’une autour de l’autre, on aurait prédit un décalage identique (même distance, même vitesse) en se basant sur l’effet Doppler. Considérons maintenant l’effet Compton comme le phénomène produisant le décalage spectral de la lumière des astres.

Nous comprenons bien alors que l’étoile chaude a un nuage de gaz plus dense à sa surface, ce qui induit que les photons émis à partir de cette étoile heurtent davantage d’électrons libres que pour 1’« étoile froide ».

Bref, l’effet Compton s’impose comme le phénomène expliquant le mieux le décalage spectral des astres. Cette observation mène à une conclusion qui mettra du temps pour s’imposer : les astres sont peut-être immobiles (ou presque) et la loi de Hubble est entièrement erronée. Tout cela nous amène à constater que, finalement, l’âge populaire de l’univers ne repose sur aucun fondement scientifiquement confirmé !

En conclusion, il est clair que l’âge de l’Univers demeure inconnu. La raison en est simplement que les hypothèses qui servent de point de départ à nos calculs sont empreintes de spéculations reliées à nos croyances préalables. Par exemple, la croyance populaire au Big bang implique que la vitesse d’expansion de l’univers (H) a été relativement constante au cours du temps. Puisqu’il est impossible de confirmer cette hypothèse, la loi de Hubble n’a alors aucun sens pour déterminer l’âge de l’univers.

Il existe d’autres scénarios intéressants concernant l’âge de l’univers8. Un de ces scénarios impliquerait, pour sa part, que la vitesse d’expansion de l’Univers a été presque infinie au moment de la création et stabilisée par la suite. Cela pourrait expliquer un univers tout aussi vaste avec un âge relativement jeune.

Il siège au-dessus du globe [héb. חוגhoug] de la terre, dont les habitants sont pour Lui comme des sauterelles ; Il étend les cieux comme une étoffe légère, Il les déploie comme une tente, pour en faire sa demeure. (Is 40, 22)

Ainsi parle YHWH Dieu, qui a créé les cieux et qui les a déployés, qui a étendu la terre et ses productions, qui a donné la respiration à ceux qui la peuplent, et le souffle à ceux qui y marchent. (Is 42, 5)


1 Reproduction autorisée du site canadien : creationnisme.com, complété de 2 graphiques par Jean de Pontcharra. Sur cette question fondamentale, on se reportera utilement à deux articles de Jonathan HENRY : « Que savons-nous de l’âge de l’univers ? » (Le Cep n°28, p. 13 sq.) et « Que savons-nous de l’âge de la Terre ? » (Le Cep, n°29, p. 13 sq.).

2 B. Sc. en mathématiques, l’auteur est membre de l’ASCQ (Association de Science créationniste du Québec).

3 Un mégaparsec (Mpc) = 3,26 millions d’années-lumière. La constante H implique donc que, pour chaque Mpc de distance supplémentaire nous séparant d’un astre, la vitesse de fuite de cet astre augmente de 74 km/s.

4 Cette photo se trouve dans les deux publications suivantes : H. ARP,  « Quasars, Redshifts, and Controversies », Interstellar Media, 1987, p. 34, et H. ARP, G. BURBIDGE. & A. HEWITT, « More on the galaxy-quasar connection », Sky and Telescope75(8) : 9, 1995.

5 Une seule année-lumière (a. l.) correspond à 9 460 800 000 000 km.

6 Ndlr. Halton Arp est décédé le 28 décembre 2013 à Munich. Il est fort à parier que cette disparition ne sera pas regrettée par certains confrères.

7 SCHILLING & GOVERT, “Quasar pairs : A Redshift Puzzle ? ” Science, vol. 274 (Nov. 22), 1996, p. 1 305.

8 Ndlr. Plus modestement, on peut aussi considérer que ce n’est qu’à partir du septième Jour, lorsque Dieu cesse de créer et que l’univers est achevé, que la science, fondée sur l’action des seules causes secondes, peut entrer en jeu. Elle ferait donc mieux de rester muette concernant des origines qui sont hors de sa portée.

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