L’Univers Électrique

Par:Wallace Thornhill

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« Les rationalistes fuient le mystère pour se précipiter dans l’incohérence » (Bossuet)

L’Univers Électrique[1]

Wallace Thornhill[2]

Résumé : La théorie du big bang joue en astrophysique le rôle de la théorie de l’évolution en biologie : celui d’une tentative d’explication des origines. Elle bute cependant sur nombre de difficultés, obligeant à inventer des causes virtuelles telles qu’une « matière noire » invisible mais dix fois plus massive que la matière visible ! L’univers électrique offre une alternative simple et concrète pour expliquer ces anomalies, avec l’avantage supplémentaire que les phénomènes électriques sur lesquels il s’appuie sont réels et reproductibles en laboratoire. Ainsi en est-il du plasma, état de la matière connu sur terre et dont la présence agissante dans l’espace stellaire rend compte à la fois des formes observées pour les galaxies et de forces motrices très supérieures aux forces gravitationnelles. Mais le plasma était inconnu des physiciens lorsque les artifices mathématiques de la Relativité et du Big bang furent inventés. Il est désormais grand temps de prendre en compte la composante électrique omniprésente dans l’univers !

« A chaque génération certains pensent que la leur est celle qui  voit enfin tout clairement, que leurs idées expriment la vérité, la réponse finale. Et pourtant, les découvertes scientifiques continuent et la vérité d’aujourd’hui deviendra l’anecdote de demain. » (Gerrit L. Verschuur, Interstellar Matters)

Retenir l’attention du public pour un modèle électrique simple de l’univers pose un problème, car les média sont attachés à la science fiction du big bang. Le célèbre astronome, Fred Hoyle, écrivait prophétiquement dans Of Men and Galaxies (1964) : 

« De plus en plus les professions vont verser dans le divertissement. Ceux d’entre nous qui ne sont pas employés directement par l’industrie réaliseront que ce dans quoi nous sommes réellement est le show biz. » Bien auparavant, Georg Christoph Lichtenberg (1742-1799) eut encore plus de préscience : « Un homme ne peut trop fortement interroger le Ciel: s’il veut bien lui laisser découvrir quelque chose, puisse cela être quelque chose qui fait un bang. Il retentira dans l’éternité. »

Pour l’amour de la science, j’espère que non ! Le big bang n’a pas été « découvert » mais inventé par les mathématiciens adoptant la proposition d’un prêtre astronome, Georges Lemaître, attribuant l’origine de l’univers à un « atome primitif » ou « œuf cosmique » explosant au moment de la création.
La théorie défie les principes de la physique ; elle est irréaliste, exigeant que la majeure partie de la matière de l’univers soit invisible (pas seulement noire) avec une mystérieuse « énergie noire »
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Même les galaxies doivent avoir des fictions mathématiques (les « trous noirs ») dans leur cœur pour expliquer quelques uns de leurs traits. Hoyle croyait qu’une seule observation, généralement simple, pouvait détrôner une idée préconçue fortement établie, telle que le big bang. Mais lorsque vous croyez dans une théorie comme le big bang, la logique n’a plus d’empire sur vous et toute observation peut être conciliée avec la théorie.

L’Univers Électrique repose sur la cosmologie du plasma, discipline reconnue chez les ingénieurs électriciens par l’Institute for Electrical and Electronic Engineers (IEEE). Des articles révisés sur la cosmologie du plasma sont publiés dans la IEEE Transactions on Plasma Science. La libre discussion dans ce journal rappelle les journaux scientifiques d’il y a plus d’un siècle et non la monoculture du big bang d’aujourd’hui. Mon article sur la nature électrique  des supernovae et des étoiles y fut publié en 2007. (Il est curieux que les astronomes marquent les couleurs et la luminosité des étoiles – le diagramme de Hertzsprung-Russell – comme « Alice de l’autre côté du miroir. » Droite et gauche sont inversés, ce qui rend difficile de voir la connexion évidente entre la puissance électrique parvenant à une étoile et la couleur, la taille et la luminosité de l’étoile.) A la différence de la cosmologie du big bang, la cosmologie du plasma est soumise aux expériences de laboratoire et suit la tradition expérimentale de Lichtenberg. Tous les « bangs » qu’elle créée sont réels et bruyants. La cosmologie du plasma peut démontrer par de simples principes physiques la formation électrique et le comportement des galaxies en spirales et des étoiles sans recourir à une matière noire et à des trous noirs hypothétiques.

La quasi-totalité de l’univers visible est composée de plasma, un gaz dont certains atomes ont perdu un électron ou deux. Cependant, à la différence des gaz qui nous sont familiers sur terre, le plasma réagit fortement à la présence de champs électromagnétiques et il est meilleur conducteur que le cuivre. Son comportement a été décrit comme complexe et « quasi-vivant ».
     Ceci devrait être un indice! L’univers est principalement un phénomène de plasma électrique.[3]

L’électricité existe dans l’espace. Les champs magnétiques détectés dans l’espace ne peuvent être générés que par des courants électriques. Les radiotélescopes font couramment des cartes des champs magnétiques galactiques et leur aspect  correspond  aux expériences faites  en cosmologie du plasma. Si la science était la recherche officiellement proclamée de la vérité, on devrait s’attendre à voir les cosmologues du big bang se ruer sur les laboratoires du plasma. Absolument rien de cela. Ce sont principalement des mathématiciens théoriciens. Nous nous heurtons à la barrière artificielle moderne du spécialisme. L’historien de la culture, Jacques Barzun, définit ainsi le spécialisme:

« Une clause de convenance qui décrète qu’aucun spécialiste ne se souciera des affaires d’un autre, sauf si celui-ci impose ses idées et qu’on puisse montrer que c’est un ignorant. Le spécialisme est né de ce que le philosophe Arthur Balfour a appelé « la pernicieuse doctrine selon laquelle une connaissance superficielle est pire que pas de connaissance du tout. »  Le spécialisme endémique, un mal arbitraire et purement social, n’est pas reconnu pour l’esprit de clan désagréable qu’il est, et peu sont assez hardis pour dire que de se tailler un petit domaine et d’épuiser son sol  donne autant de chance d’irresponsabilité protégée que de profondeur scientifique. »

                    (Science: the glorious entertainment).

Le cosmologue du plasma Eric Lerner, auteur de The Big Bang never Happened [Le Big Bang n’a jamais eu lieu], écrit:

« …l’un des traits les plus dévastateurs de la méthodologie du big bang est de donner l’idée que seuls les gens compétents en mathématiques extrêmement compliquées peuvent comprendre l’univers…

Ceci est évidemment l’argument  des nouveaux habits de l’empereur. Si vous ne pouvez pas voir les nouveaux habits de l’empereur, vous devez être soit stupide soit incompétent. »

Les ingénieurs ne sont ni stupides ni incompétents. Bien des succès de la science portés aux nues au cours du dernier siècle peuvent être attribués à des ingénieurs. Et ce sont les ingénieurs qui ont tendance à préférer la simplicité du monde réel de l’univers électrique à la métaphysique du big bang et des trous noirs.

L’univers électrique est simple.

La signature d’une bonne théorie est sa simplicité. L’un des participants à une réunion à Londres conclut: Je crois que l’univers électrique est vraiment très simple.

« Essentiellement tout dépend de savoir si oui ou non l’électricité existe dans l’espace. La vue conventionnelle dit que non, nous affirmons que oui. Tout le reste vient de là.

Ce que nous essayons de faire est une révolution scientifique; la Révolution Électrique. Cette révolution aura des conséquences aussi profondes que la révolution de Copernic, laquelle était aussi basée sur une idée simple : est-ce la terre ou le soleil qui est au centre ?

Comme la révolution copernicienne, les données peuvent être interprétées de deux façons; Copernic n’a pas exprimé l’argument que le soleil était au centre; il se contenta de suggérer qu’il était beaucoup plus facile d’interpréter les données si, du seul point du vue du calcul, on prétendait qu’il l’était. De même, je crois qu’essentiellement nous suggérons qu’il est beaucoup plus facile d’expliquer le comportement observé de l’univers si l’on admet que l’électricité joue un rôle.

Certes, vous pouvez développer un modèle ne reposant que sur la gravité et qui donne les bonnes réponses, mais, de devoir vivre avec 96 % d’un univers noir et donc inobservable, n’est pas mieux que d’avoir de multiples niveaux d’épicycles pour expliquer le mouvement des planètes autour de la terre. [4] C’est pourquoi c’est si simple.

Supposez simplement que l’électricité est là et tout devient énormément plus facile. » (Bob Johnson).

L’Histoire montrera que notre cosmologie du big bang est un malheureux accident de synchronisation. Les fondements du big bang ont été établis au début du 20ème siècle. A la même époque, les lumières électriques commençaient tout juste et l’étude des décharges électriques dans les gaz était dans son enfance. Le résultat fut que la nouvelle théorie géométrique ésotérique de la gravité d’Einstein, laquelle traite l’espace vide comme un « objet » susceptible d’être courbé, fut combinée avec une curieuse interprétation du décalage vers le rouge [redshift] de faibles objets extragalactiques (que Hubble lui-même ne tenait pas pour physiquement probable) pour arriver à la notion d’un univers en expansion. Le fait que ceci défiait un principe de physique en créant de la matière à partir de rien au commencement, ou big bang, ne semble pas avoir troublé les théoriciens. Ils auraient dû l’être. Invoquer le « suprême cadeau » n’est pas de la science. Pour sa part, fondé sur l’observation, l’Univers Électrique n’attribue à l’univers ni âge ni extension.

« Quelle espèce vraiment sommes nous pour oser poser des questions aussi formidables sur l’origine de l’univers et avec une arrogance exceptionnelle croire que nous pouvons avoir la bonne réponse dans les microsecondes. »

(Gerrit L. Verschuur: Interstellar Matters).

L’orgueil intellectuel des théoriciens du big bang est choquant lorsque l’on sait que la science ne sait pas expliquer les phénomènes les plus simples de la matière. La masse, la gravité, le magnétisme et la lumière restent un mystère. Nous avons des équations qui décrivent ce qui se produit lorsqu’une particule chargée est accélérée; lorsque vous laissez tomber quelque chose d’une certaine hauteur; lorsqu’un courant passe dans un fil; et lorsque la lumière frappe une surface. Mais les descriptions mathématiques ne constituent pas une explication physique.

Cependant, le siècle dernier a vu de grands progrès dans la compréhension des phénomènes de l’électricité dans des tubes à vide, lampes à arc, soudeuses à arc, machines industrielles de décharge électrique et expériences à ultra-hautes fréquences dans les Los Alamos National Laboratories et Sandia Laboratories. Les ingénieurs électriciens furent les premiers à voir les parallèles frappants avec les phénomènes astronomiques, à commencer par les aurores boréales.

Le norvégien Kristian Birkeland, (1867-1917), au début des années 1900, monta un observatoire électromagnétique à l’intérieur du cercle polaire. Il associa les effets magnétiques des aurores aux courants électriques circulant entre le soleil et la terre. Ses expériences électriques avec sa « Terrella » ou « petite terre » permirent de reproduire les caractéristiques des aurores boréales, des taches solaires, des comètes, etc. LA GRANDE LEÇON des expériences avec la Terrella est qu’elles exigeaient UNE ÉNERGIE ELECTRIQUE EXTERNE ENGENDRÉE A QUELQUE DISTANCE. Dans les années récentes son nom a été donné aux courants électriques découverts dans l’espace, les « courants de Birkeland. »

Les ingénieurs n’ont aucun mal à éclairer nos villes avec une énergie électrique générée à quelque distance de la ville. Il ne vient jamais à l’idée des astronomes que la Nature utilise la même méthode simple pour éclairer les galaxies. Ils n’ont jamais considéré que les étoiles pourraient être un phénomène électrique cosmique, comme des lampadaires suivant le cours des lignes électriques. Ce fut le Dr. Charles Bruce (1902-1979), membre de l’Institute of Electrical Engineers ainsi que de la Royal Astronomical Society, dont les travaux sur la foudre lui permirent d’identifier l’activité électrique sur le soleil, les étoiles et dans les galaxies.

Le Prix Nobel Hannes Alfvén (1908-1995) reçut une formation d’ingénieur électricien, mais il est à l’origine d’une grande partie des bases théoriques du comportement électrique de l’Univers Électrique. Un article portant le titre « L’Univers Électrique d’Alfvén » fut publié dans le Boston Globe du lundi 20 Mars 1989.

Alfvén insistait sur l’extrême importance de comprendre les circuits cosmiques. Mais les astronomes l’ignorèrent.

Ainsi les découvertes concernant la foudre et les aurores boréales continuent de surprendre les physiciens, même en cet âge spatial. Il y a peut-être une bonne raison à cela. Notre expérience sur terre porte sur les solides, les liquides et les gaz. La région que nous habitons, entre l’ionosphère quelque 80 kms au-dessus de nous, et la surface de la terre, est un des environnements le plus rare dans l’univers. Nous habitons une partie de 0,001 % ou moins de l’univers, où le plasma ne se trouve pas à l’état naturel, sauf dans les éclairs et les aurores occasionnelles. Le plasma a été qualifié de « quatrième état de la matière », mais en raison de son omniprésence il vaudrait mieux l’appeler « l’état fondamental de la matière. »

C’est un état où des atomes neutres sont mêlés à des particules chargées, positives ou négatives. Ces particules peuvent être aussi petites que des électrons et des protons ou elles peuvent aller jusqu’à la taille de molécules ou de poussières. Dans un plasma gazeux, tel qu’on le trouve dans tout l’univers, les particules chargées réagissent plus fortement aux forces électromagnétiques qu’aux forces mécaniques ou gravitationnelles. Une des choses que nous voyons dans la foudre est l’étranglement des courants électriques pour former de longs filaments. La nature filamentaire du plasma dans l’espace est abondamment prouvée. Aucune matière noire, disséminée là où il faut pour sauver une théorie, n’est nécessaire. L’Univers Électrique pense que la Nature ne cache pas délibérément ses secrets. La complexité que nous observons dans l’univers provient de principes électriques très simples, dont certains peuvent être testés avec des appareils très simples. La science est ouverte à tous. L’univers visible est un phénomène électrique, depuis la structure des particules subatomiques jusqu’aux superamas de galaxies de l’espace profond.

Le modèle de l’Univers Électrique est assez simple pour pouvoir être enseigné à des enfants, mais à la condition que la cosmologie soit incluse dans les programmes de sciences et traitée avec une importance raisonnable.

Pour les élèves plus avancés, le programme scientifique devrait inclure l’étude du comportement de l’électricité dans les gaz. Tout le monde est familier avec les éclairs. La plupart ont vu des lumières fluorescentes et au néon. Les filaments « quasi vivants » qui se tortillent dans le gadget de la « boule de plasma » sont un amusement favori des enfants.         

Boule de plasma et nébuleuse planétaire NGC 6751

Enfant jouant avec un aimant et un tube de décharge de plasma.


    
Mais la familiarité avec les éclairs et les tubes au néon ne signifie pas leur compréhension. Les éclairs et le comportement du plasma à l’intérieur de ces tubes et boules de verre sont un mystère pour presque tout le monde. Et pourtant l’environnement à l’intérieur de ces objets est fort semblable à celui du reste de l’univers.

La Présidente sortante de l’International Astronomical Union (IAU), Catherine Cesarsky, a dit récemment:

« Je crois que les jeunes scientifiques devraient se protéger contre le lavage de cerveau. Ils devraient regarder au-delà des chemins tracés, même si nous y mettons le meilleur de ce que nous savons. Egalement ils devraient résister à trop se  spécialiser, au prix de la vue d’ensemble. Le meilleur moyen d’échapper à l’effet de Panurge est de regarder les choses à distance, d’associer des idées différentes. » Le temps est venu pour une autre idée en astronomie. L’Univers Électrique est une nouvelle « vue d’ensemble » de l’univers qui « regarde les choses à distance et associe des idées différentes ». Si la science est devenue un showbiz, le large panorama de l’Univers Électrique est adapté à un spectacle pour théâtre Imax[5] sans équivalent auparavant. L’Univers Électrique nous libère du carcan de la métaphysique du big bang et nous propulse dans l’univers réel. Notre avenir en dépend. Les avancées scientifiques, technologiques et culturelles possibles seront, comme Arthur C. Clarke[6] l’a si bien dit, « indiscernables de la mag


[1] Source: The Simple Electric Universe, 6 Septembre 2009. Traduction Claude Eon

[2] Né à Melbourne (Australie) en 1942, WT obtint son diplôme de sciences physique et électronique à l’Université de Melbourne. Il poursuivit ses études au sein du groupe de recherche sur la haute atmosphère du Professeur Victor Hopper. Avant son entrée à l’université il avait trouvé son inspiration dans le livre, très controversé d’Emmanuel Velikovsky, Mondes en collision [Stock]. Il eut alors l’expérience de l’indifférence, voire l’hostilité, envers ce défi radical à la science officielle. Il comprit qu’il n’y avait pas d’avenir académique pour un jeune hérétique.

Il travailla pendant 11 ans chez IBM Australie, notamment dans le prestigieux IBM Systems Development Institute de Canberra. Dans cette ville, il rejoignit le ministère des Affaires Étrangères où il travailla au développement de la sécurité des communications, à l’analyse des messages et à l’automatisation des procédures. Il consacrait son temps libre à l’étude de la physique et de l’astronomie, participant régulièrement aux séminaires de la Research School of Astronomy and Astrophysics de l‘Australian National University.

En 1974, il fut invité à un symposium international à Hamilton, Ontario, traitant des œuvres de Velikovsky. Ce fut là qu’il rencontra ce dernier ainsi que l’organisateur de la conférence, David Talbott, dont il suivit attentivement les travaux pendant les années suivantes. Ils devaient se retrouver en 1994 et 1996 lors des conférences internationales de Portland, Oregon. Ce fut le départ d’une collaboration consacrée à une vision nouvelle de l’univers et de l’histoire planétaire.

WT est membre actif de la UK Society for Interdisciplinary Studies. Il a fait de nombreuses conférences aux USA et en Europe sur la nature électrique du cosmos. Il a publié de très nombreux articles que l’on peut consulter sur le site www.holoscience.com.au . Il est le co-auteur, avec David Talbott, du livre The Electric Universe [Mikamar Publishing, Portland, Oregon, 122p. 2002/2007].

[3] Au cours des années 1920, Irving Langmuir, étudiant divers types de décharges de vapeur de mercure, nota des similitudes entre leurs structures, aussi bien près des lisières que dans le corps de la décharge. Comme il n’y avait pas de nom pour désigner la matière quasi neutre emplissant la presque totalité de la décharge, il décida d’appeler « plasma » ce gaz ionisé. [N d T]

[4] [N.d.T.] Cette comparaison avec la « révolution » de Copernic est malheureuse. Le système de Copernic était loin d’être plus simple que celui de Ptolémée ; de plus il ne décrivait pas correctement la réalité – il faudra attendre Kepler–. Ensuite, alors que Copernic n’avançait aucune preuve pour son système, l’univers électrique fait l’objet de nombreuses expériences de laboratoire confirmant les observations astronomiques, ce que ne peut d’ailleurs pas faire une cosmologie ne reposant que sur la gravité.

[5] IMAX est l’abréviation de Image Maximum. C’est un format de pellicule créé par la société canadienne IMAX donnant des images pour un écran de 22m de long par 16 m de haut.

[6]  Auteur anglais de science-fiction (1917-2008).

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