Partager la publication "L’ivraie et le bon grain, ou : L’homme descend d’un songe"
Par Michel VIENNE
L’homme descend du singe, mensonge darwinien
À longue portée. Balise mugissante
Aux abords des Sargasses évolutionnistes.
Mais, de quel singe est-il question ? Ici…
En ces confins de la Révélation
Seul le Singe de Dieu est à considérer,
Le diable, diviseur et menteur dès l’origine,
Cèlant le vrai sous les espèces du mensonge.
En Genèse, d’un seul descendent les hommes,
La parabole de l’ivraie et du bon grain, elle,
Évoque deux origines. Ce qui est inconciliable,
Sauf à s’élever au sens surnaturel.
Nous, les fils d’Adam, sommes invités
À devenir vrais fils de Dieu par grâce.
La grâce surélève la nature, opère
Au départ d’une sincère profession de foi.
Certains se détournent du divin projet,
L’homme descend du singe, proclament-ils !
Profession de foi, efficace à rebours
Des vrais fils du Singe de Dieu.
Ne serait-elle pas l’ivraie de la parabole
Cette descendance du Singe ? Non par nature,
Mais par anti-grâce de cet anti-Christ,
Le bon grain, lui, descend d’un songe…
Du Songe Divin.