christ

S’appuyant d’une part sur une étude attentive des plaies du Crucifié (telles que nous les connaissons par le Linceul de Turin et le récit des Evangiles), et d’autre part sur les connaissances scientifiques actuelles (notamment médico-légales), le Dr Clercq tente une reconstitution des phases successives de cette mort lente que constitua la Passion : hématridose (sueur de sang), tétanie, acidose, déshydratation, ictère, etc., s’achevant par la perforation du poumon et du coeur.