Société vaccinée : danger

Par le Pr Louis-Claude Vincent

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SOCIETE

« Il a plu à Dieu qu’on ne pût faire aucun bien aux hommes qu’en les aimant. » (P. Le Prévost)

Résumé : Le 7 mai 1977, au 8ème congrès de la Fédération Nationale des Syndicats de Défense de la Culture Biologique et de Protection de la Santé des Sols, le Pr Louis-Claude Vincent, l’inventeur de la bio-électronique, proposait aux congressistes de voter une résolution demandant la liberté des vaccinations.
Cette résolution fut votée à l’unanimité et transmise au Gouvernement. Elle concernait les troupeaux conduits en agriculture biologique, les éleveurs considérant que la vaccination détruisait les équilibres physiologiques restaurés par une alimentation naturelle. Elle concernait aussi les hommes, les statistiques rétrospectives ayant réfuté la prétention que le vaccin constituait une efficace prophylaxie collective. Son métier l’ayant amené à mesurer l’influence de la qualité de l’eau potable sur la santé collective, le Pr Vincent disposait d’une importante documentation internationale sur cette question sur laquelle le Gouvernent lui avait reconnu, l’année précédente, la qualité « d’éminente autorité scientifique ».
Son propre fils Roger ayant été frappé d’une poliomyélite quelques jours après sa vaccination par le BCG, on excusera le ton parfois polémique de cet exposé, fait devant un auditoire d’éleveurs « bio » confrontés chaque année à une obligation légale qu’ils savaient d’expérience contraire à la santé de leurs animaux. Presque 30 ans ont passé ; les épidémies du bétail demeurent, et la question garde toujours la même brûlante actualité.

L’imposture pasteurienne :

L’imposture de Pasteur a consisté dans le fait d’avoir ajouté secrètement du bichromate de potassium – poison violent – au vaccin contre le Charbon du mouton (peste ovine), préparé à l’occasion de la fameuse expérience de Pouilly-le-Fort, en juillet 1881.

En même temps, il exposait au monde savant une belle théorie vaccinale selon laquelle « les vaccins étaient le résultat d’une culture, atténuée par l’air et la chaleur, de microbes spécifiques de la maladie ».

Cette culture, injectée aux individus sains, produisait une forme légère de la maladie et préservait alors – « immunisait » – de la maladie infectieuse grave et dangereuse.

C’était là, pourtant, une théorie aussi dangereuse qu’incompréhensible, violant gravement le sens commun. Comment « se garantir contre une maladie microbienne en s’infectant par une culture atténuée des dits microbes » ?

Aussi, les oppositions contre pareille théorie délirante, furent-elles aussi violentes que déchaînées. Mais Pasteur, inébranlable et provocant, clamait d’attendre les résultats de l’expérience projetée, qu’une Commission officielle, comprenant de farouches adversaires des théories pasteuriennes, devait contrôler en toutes ses étapes, sauf – curieusement – dans la préparation du vaccin.

La « fameuse expérience » eut bien lieu : 50 moutons furent d’abord vaccinés – autrement dit « immunisés » – par le vaccin miracle ; quelques jours plus tard, ils reçurent une injection de culture virulente, ainsi que 50 autres moutons-témoins.

Les témoins moururent rapidement ; tandis que les premiers « immunisés », présentèrent de légers troubles, mais finalement résistèrent tous.

Ce fut, alors, non pas un succès, mais plutôt un triomphe délirant qui pulvérisait tous les contestataires et assurait désormais à Pasteur une gloire universelle. Ce fut, d’office, l’ouverture de toutes les Académies, l’honneur incroyable d’être l’invité du Parlement anglais, etc. Pasteur, par sa science ! son génie unique ! était soudainement devenu l’égal de Dieu : l’homme qui avait vaincu la mort, et donné au monde le secret de la santé !

Pasteur ne venait-il pas d’ouvrir une ère nouvelle et inégalable de bonheur à l’humanité ? Sa gloire était à jamais assise, incontestable, immuable pour l’Eternité. Et la France, sa patrie, devait, en même temps, bénéficier d’un prestige unique, incomparable, aussitôt proclamé par la planète entière.

Hélas, pareil enthousiasme devait bientôt se révéler usurpé. Fondée sur de faux principes, une expérience truquée, un mépris total de la science et un incontestable abus de confiance à l’égard du monde savant et de la vérité scientifique, cette imposture allait ravaler aussitôt le génial Pasteur au niveau des charlatans les plus ignobles, puisqu’il avait osé tricher avec les problèmes de Santé publique qui sont, de très loin, les plus graves et les plus nobles dans toute société qui respecte le devenir humain.

Tout cela devait se révéler au cours des quelques mois qui suivirent les délires d’un enthousiasme collectif, né d’une monstrueuse mystification. En effet, les pays qui voulurent vérifier l’expérience de Pouilly-le-Fort (Italie, Allemagne, Russie, Argentine, etc.) en la reproduisant sur la base même de la « théorie exposée par Pasteur » au sujet des « cultures microbiennes atténuées » conduisant à un « vaccin immunisant », aboutirent tous à un échec total. Les troupeaux vaccinés furent tous foudroyés par le vaccin : il y manquait le « fameux produit chimique », seul efficace, ajouté secrètement – le bichromate de potassium – poison oxydant violent détruisant les microbes ; mais préparant  à longue échéance les dégénérescences, point capital que le mystificateur Pasteur n’avait point prévu ni même soupçonné.

L’imposture avouée, mais… tenue secrète !

La vérité sur cette affaire ne fut connue qu’après deux années de protestations, de mises en demeures, de discussions, souvent injurieuses, entre les milieux scientifiques étrangers et Pasteur : ainsi l’Académie de Turin se moquant de « Sa Seigneurie Pasteur » devant le massacre produit par l’inoculation du vaccin aux troupeaux italiens en expérience.

En 1883 seulement, Pasteur fit formuler à la tribune de l’Académie des Sciences, par ses collaborateurs Roux et Chamberland, l’aveu que les vaccins recevaient un  « activateur » sous la forme « d’une solution de bichromate de potassium au 1/2000e ». Ce poison acide-oxydant puissant, qui seul est actif, détruit les microbes pesteux alcalins-réducteurs, mais prédispose aux désordres cancéreux futurs, essentiellement liés aux milieux oxydants et alcalins, lorsque les acides, dégénérant avec le temps, deviennent alcalins par perte de protons.

En dépit de l’aveu de 1883, qui ne fut connu que de quelques académiciens seulement, – toute publicité ayant été étouffée – malgré cette imposture expliquée, sinon justifiée, par des considérations pseudo-scientifiques, Pasteur demeurait immuable, drapé dans sa gloire universelle.

Ainsi donc, l’expérience de Pouilly-le-Fort attribuait aux vaccins un caractère miraculeux. Elle fut la base de leur utilisation mondiale.

Elle est à l’origine des stérilisations pasteuriennes en tous domaines. Cet ensemble de principes erronés devint le fondement d’une nouvelle médecine qui devait, en moins d’un siècle, conduire les populations civilisées aux dégénérescences du corps et de l’esprit : thromboses, cancers, troubles neurologiques, déficiences mentales, malformations congénitales toujours plus monstrueuses aboutissant finalement – par excès d’oxydation – à la drogue, aux violences, au besoin d’autodestruction des sociétés, alors que celles-ci demeurent paisibles et équilibrées lorsqu’elles possèdent la vraie santé.

Une grande découverte délaissée :

En toute équité, si Pasteur fut un imposteur à Pouilly-le-Fort, il s’était cependant révélé un vrai et très grand savant, à 26 ans         – bien avant sa congestion cérébrale – en découvrant la loi capitale sur la caractéristique essentielle de la matière vivante, à savoir : « la propriété scientifique de la constitution dissymétrique de cette matière, conduisant à l’existence d’un pouvoir rotatoire, vis-à-vis de l’action de la lumière polarisée ».

Si cette découverte, aussi prodigieuse que géniale, est restée sans influence marquante sur Pasteur (puisque, par la suite, il devait non seulement la délaisser mais franchement la violer), elle fut aussi incomprise de ses disciples qui n’en mesurèrent pas les immenses conséquences pour l’humanité. Elle fut vite abandonnée au profit des « tripatouillages » chimiques de cultures bactériennes.

Pourtant, il devait revenir au Professeur Pasteur Vallery–Radot – son petit-fils par alliance – de signaler en 1970, au cours de sa dernière intervention à la télévision, quelques semaines avant sa mort, combien son « illustre grand-père » et le monde savant avec lui, avaient eu grand tort de méconnaître l’importance princeps de la découverte précitée sur le « racémique » et le « pouvoir rotatoire » : cette découverte « dépassant de plus de cent coudées en importance toutes les autres, y compris les questions de vaccins sur lesquelles ses disciples avaient beaucoup abusé du nom de Pasteur ».

Il se trouve que cette découverte méconnue de tous, a été reprise, dès 1956, par le Soussigné dans le but de démontrer, à partir des lois électromagnétiques de Faraday, que cet étonnant pouvoir rotatoire de la lumière polarisée, réservé exclusivement aux tissus dissymétriques des êtres vivants, correspondait tout simplement à la manifestation d’un champ magnétique inné propre à de tels tissus. Aucun produit chimique de synthèse ne saurait posséder un tel champ magnétique, puisque, par construction, il correspond à des formations moléculaires symétriques.

Ce fait a été précisé par le Dr Jeanne Rousseau dans une  Etude du Sol, préfacée par le Soussigné, et publiée en janvier 1959 à Rennes par la revue  Le Pharmacien de l’Ouest . Cette  étude  exposait pour la première fois, et justifiait, avec mesures bio-électroniques à l’appui, les principes de base de la culture biologique intégrale.

Cette agriculture exclut à la fois :

-en culture, l’emploi de tous les produits chimiques de synthèse. Ils n’ont rien de commun avec le « vivant », et ne sauraient posséder le moindre champ magnétique ;

-en élevage, la pratique des vaccinations. Cette désastreuse pollution « in intima » par vaccins microbiens, conduit les éleveurs à tous les désastres futurs, contaminant les animaux et neutralisant leur champ magnétique. Elle en fait des animaux morts-vivants.

Les causes de la baisse de mortalité : Vaccins ? ou  bien eau et hygiène ?

La baisse continue de la mortalité, formellement enregistrée depuis 1890 dans toutes les villes et agglomérations de France, n’est nullement due aux vaccinations.

En effet, l’époque des vaccinations obligatoires n’a commencé qu’en 1920. Celles-ci ont d’ailleurs provoqué instantanément la montée en flèche des décès par troubles circulatoires et cancers.

De même avant le B.C.G. la baisse de la tuberculose était constante et ininterrompue. Mais la remontée de cette maladie fut immédiate dès l’application du dit B.C.G. ! A Clermont-Ferrand notamment et dans de nombreuses villes.

En réalité, il fallut attendre l’occupation allemande pour voir soudain baisser, avec une incroyable rapidité, les mortalités de tous ordres. Malgré les restrictions, ou plus exactement à cause d’elles – le pain blanc et les hydrates de carbone ayant été notamment remplacés par le rutabaga – la tuberculose, les maladies du système circulatoire, les cancers, etc. régressèrent dans la plupart des grandes villes. Pour tous ces cas, les graphiques de mortalité accusent une tendance spectaculaire « vers la baisse », dès l’Occupation et durant toute la période des restrictions jusque vers 1950. A cette date, les courbes remontent aussitôt pour atteindre les niveaux de 1939.

En fait, les baisses de mortalité observées dans le monde entier au cours des 80 dernières années, se révèlent objectivement dues aux progrès de l’hygiène, en particulier de celle de l’eau, à l’amélioration de l’habitat, à l’aménagement de l’environnement (égouts) et au conditionnement des aliments.

Il faut en exclure toutes les mesures abusives de stérilisation des eaux, rendues ainsi hautement thrombogènes et cancérigènes, par des produits super-oxydants (composés chlorés, ozonés, etc.). En fabriquant des cadavres de microbes, puis des virus, ces additifs chimiques jouent, en réalité, le rôle de facteurs anti-vie.

En conséquence, il est aussi faux que néfaste à la Santé publique, présente et surtout future, d’attribuer aux vaccinations un mérite quelconque dans la baisse continue des mortalités générales, constatées partout depuis 80 ans.

En effet, les recherches personnelles du Soussigné portant sur divers continents et les chiffres officiels recueillis sur place, démontrent, de façon péremptoire, que les pays les moins vaccinés – sans obligation vaccinale – sont ceux qui possèdent la plus faible mortalité, pour autant que les habitants disposent d’une eau pure naturelle. Ainsi :

 -l’Islande – eau de neige – possède la mortalité la plus faible d’Europe avec 7 pour 1.000 habitants.

-les Pays-Bas – eau de dunes – ont une mortalité de 8 pour 1.000.

-les U.S.A. où les vaccinations, laissées libres, sont peu pratiquées, enregistrent une mortalité de 9,5 pour 1.000. Pourtant on y compte 15 millions d’anormaux mentaux : ce sont là les effets du chlore, fluor et autres produits chimiques ajoutés à l’eau « potable », en général affreusement chlorée par terreur maladive des microbes.

-le Canada : mortalité 7,4 pour 1.000. Vaccinations libres et (en général) eaux pures. Au Québec, la tribu indienne Chicoutimis, non vaccinée, disposant de sources pures, pratiquant une hygiène traditionnelle, présente une mortalité particulièrement faible de 6,1 pour 1.000.

-la France, enfin, pays le plus vacciné au monde, et ainsi le plus empoisonné par les vaccins, atteint, ô surprise, une mortalité de 10,4 en 1974, soit par rapport au taux de l’Islande, un excès de décès, représentant 400 Français offerts chaque jour en holocauste aux impostures du charlatan Pasteur !

L’effet patent des vaccins est, ainsi, de favoriser la mort !

Grands crimes vaccinaux :

Considérant, que trois personnalités éminentes de France furent victimes des injections vaccinales :

Le Général de Gaulle, mort foudroyé par une crise cardiaque,

Le Président Pompidou, décédé après quatre années d’un douloureux martyre.

André Malraux, enfin, qui ayant accordé foi à l’effet miraculeux des vaccins de la grippe, succomba de la peste vaccinale. Son corps, rapidement devenu noir, (comme ceux des victimes de la fameuse « Peste noire » (1355), qui devait détruire les deux tiers de la population d’Europe !), dut être mis en bière de toute urgence.

Les vaccinations réglementaires furent imposées aux deux hommes d’Etat avant leurs voyages officiels en Amérique, Afrique et Asie. Pourtant, le Soussigné les avait avertis, en temps opportun, des désastres de santé qu’ils devaient attendre de l’inoculation de ces poisons vaccinaux.

Rien ne pouvait y faire. L’immense prestige de l’imposteur de Pouilly-le-Fort, les conseils des Grands-Prêtres vaccinaux, persuadèrent les plus grands de se jeter au feu.

L’eau : deux à trois fois plus de mortalité :

Les courbes de mortalité des 30 principales villes de l’Hexagone, patiemment établies par le Soussigné à partir de 1890, révèlent entre elles des différences énormes, allant du simple au triple,  soit de 5,5 à 16 pour 1000 ces dernières années.

Ces différences entre les taux de mortalité démontrent formellement :

l’inefficacité totale des vaccinations, inaptes à uniformiser  les conditions de santé entre les groupements humains : par suite, ne possédant aucun pouvoir de redressement ou d’atténuation des maladies.

l’incapacité des vaccinocrates à fournir la moindre explication valable sur de pareilles divergences. Comment justifieraient-ils, d’ailleurs, que dans certaines villes françaises, l’on puisse mourir 2 à 3 fois plus que d’autres ? alors que ces écarts, aussi indiscutables que scandaleux, résultent de chiffres officiels !

la valeur scientifique de la Bioélectronique qui, par des mesures – quantifiées et qualifiées – explique totalement ces écarts, imputables aux natures très différentes des eaux distribuées aux populations :

-eau relativement pure sans minéraux solubilisés,

-ou alors, eau de rivière polluée, puis chlorée : d’autant plus dangereuse qu’elle est minéralisée (par des carbonates ou des sulfates), telles les eaux minérales supercancérigènes de Vittel et de Contrexéville, ou à un degré moindre, certaines autres eaux en bouteille : Perrier, Evian, etc.…

Une publicité délirante et mensongère, tolérée par des Pouvoirs Publics indifférents, impose ces eaux aux foules, ignorantes victimes sans répit sacrifiées.

Tuberculinations et paralysies à Bornholm :

L’épidémie survenue dans l’Ile de Bornholm (Danemark), de 1930 à 1932, fut la conséquence des premiers essais de tuberculination (B.C.G.) sur des enfants de 7 à 12 ans. Elle fit 8.600 victimes, dont 4.700 paralysés.

Les dits enfants, ainsi hautement contaminés par le test vaccinal de la tuberculine, devaient aussitôt contaminer leurs parents et entourage : des adultes, certains âgés de 80 ans, se trouvèrent soudainement paralysés.

En réalité cette épidémie foudroyante résultait des premiers essais effectués par les promoteurs du B.C.G. et devait aussitôt demeurer rigoureusement secrète dans le monde entier, sous la pression de consignes formelles données par les imposteurs vaccinaux : instituts et fabricants de vaccins.

L’épidémie de Bornholm et la complicité des Facultés :

Ces consignes et ce silence d’infamie perdurent encore aujourd’hui, dans le monde entier, car il n’existe aucun ouvrage dans une quelconque Faculté de Médecine du globe, qui révèle l’origine véritable de l’épidémie explosive et tragique de Bornholm !

Si l’existence de cette foudroyante épidémie est bien partout mentionnée (et pour cause : 8.600 victimes et 4.700 paralysés !), il n’est nullement précisé qu’il s’agissait « d’essais de test tuberculinique ».

On a prétendu qu’on se trouvait en présence « d’une infectation à partir d’un certain semi-virus, une rickettsie  » (ni microbe, ni virus, mais pure invention de l’arsenal microbien des imposteurs pastoriens) dont on ignorait, d’ailleurs, d’où il venait : ce qui constitue une monstruosité.

La vérité sur la cause réelle de ce drame ne fut découverte qu’en septembre 1968, à la suite d’une enquête faite sur place par le Soussigné, enquête facilitée par le Ministère danois de la Santé publique, lequel ignorait lui-même totalement la véritable cause de cette désastreuse épidémie subie par son pays, et croyait à une épidémie accidentelle d’origine inconnue.

Ce fait suffit, à lui seul, pour démontrer à l’opinion publique mondiale la « bonne foi » des Instituts et fabricants de vaccins, alors qu’ils sont les vrais responsables d’une armée de paralysés, à la suite d’essais, pratiqués sur des humains, d’inoculation de frottis de cultures de bacilles tuberculeux d’origine bovine.

Les épidémies bidon : précipiter aux vaccins les moutons de Panurge

Les vaccinocrates, à la première occasion, ne manquent jamais d’annoncer des épidémies mythiques, afin de justifier les vaccins et de relancer commercialement leur utilisation. A cet effet, ils créent une psychose collective de peur devant les dangers encourus par les maladies contagieuses.

Le soussigné dut affronter directement ces maladies au Moyen-Orient en 1952-53, dans des zones et à des périodes de virulences épidémiques maximales. Des villages druzes de 1.000 à 2.000 personnes entassées dans des taudis, sans la moindre hygiène, utilisaient des eaux ultra-polluées, vraies émanations de fosses d’aisance. Circulant au milieu des fiévreux et des mourants, le Soussigné, n’a jamais été victime de la moindre indisposition. Bien mieux, il a su faire disparaître totalement l’épidémie en faisant creuser, en dehors de l’agglomération, en un point choisi par lui, un puits d’eau saine qui fut aussitôt distribuée hygiéniquement aux habitants. Ce succès rapide fut obtenu sans recourir à aucun médicament et, a fortiori, à aucun vaccin ni sérum, alors que, malgré tous leurs vaccins et antibiotiques, les équipes médicales américaines, après des semaines de piqûres, avaient échoué.

Et pourtant les foules moutonnières, savamment ameutées et manœuvrées, continuent à accourir en longues queues, aux lieux de vaccination, centres de fabrication des troubles futurs dont elles seront les infortunées victimes !

Déplorons que, dans cette entreprise de pollutions vaccinales, certains journaux se sont particulièrement spécialisés dans l’affolement des populations (ainsi L’Aurore).

Il est facile de dénoncer des épidémies-bidon. Dès, qu’aux horizons d’Afrique ou d’Extrême-Orient, se déclarent quelques coliques, on parle aussitôt de peste ! de choléra ! de la nécessité de protections urgentes, de vaccins par tombereaux ! On ne nous épargne pas les super-mises en garde grotesques, accompagnées parfois de textes grand-guignolesques : ainsi Paris-Match, dans un article du 15 avril 1977 sur « la menace de l’Arme bactériologique », n’hésitait pas à affirmer « qu’une arme biologique peut affecter irrémédiablement 100.000 km2 et tuer 60 millions de personnes » !

Réalité de la malfaisance des vaccins ou la course aux cancers :

Si de semblables menaces sont aussi ignobles que ridicules, en revanche la réalité de la malfaisance des vaccins, à tous les stades de la vie et dans toutes les maladies, est d’une évidence indiscutable.

Et c’est bien Pasteur qui, par ses vaccins truqués à l’aide de dangereux produits chimiques, a intoxiqué les foules du monde entier. Actuellement, nombre de vaccins reçoivent des sels de mercure. Or, ce sont de semblables sels – poisons violents – qui, à Minamata (Japon), devaient provoquer d’effroyables maladies, par leur présence à doses minimes dans les eaux.

Pasteur a donc ouvert, fabuleusement, l’ère des dégénérescences, dites « maladies de civilisation » alors qu’elles sont des « maladies irréversibles du pasteurisme ».

Ces maladies, aggravées par la fausse hygiène des stérilisations outrageantes des eaux – traitement par l’eau de Javel, le fluor, l’ozone, l’ammoniaque, etc. – représentent aux U.S.A. les trois quart des maladies seulement en thromboses et cancers ; le quart restant revenant aux maladies mentales.

Les 15 millions d’inadaptés mentaux représentent, à eux seuls, la charge énorme de 20 milliards de dollars par année.

Traitement millénaire de la rage par l’eau acide :

On sait heureusement comment, dans de nombreux pays, soigner efficacement et rapidement la rage sans aucune séquelle, par certaines eaux acides et réductrices : on combat l’hydrophobie par l’obligation de boire au minimum 10 litres d’eau en trois jours.

Cela se pratique, depuis 5 millénaires, dans la région d’Alep (Syrie) avec l’eau du puits dit « de la rage » situé sur la route de Bagdad. Nous avons vu nous-mêmes, sur place, appliquer ces soins avec une réussite rapide et totale. Cette « médecine qui élimine » par l’eau, est en opposition radicale avec l’injection « in intima » de poisons polluants tels les vaccins de M. Pasteur qui souvent tuent, comme de nombreux cas récents l’ont montré.

Aux Antilles françaises, la guérison de la rage est également obtenue, depuis toujours, par « l’absorption d’un jus de plante dont l’effet est immédiat et définitif » (Dr M. de V., natif de la Guadeloupe).

Le « médecin acide » de l’âge d’or : le refus du chimique et de l’anti-magnétique

Rappelons qu’il existe partout dans le monde des moyens traditionnels, souvent très antiques, naturels et à réaction acide (asclepias acida1 = médecin acide), qui guérissent les maladies infectieuses, sans qu’il soit nécessaire de recourir aux cultures mortelles microbiennes du pasteurisme.

Et déplorons que la France, possédant le super-record de mortalité, le doive à ses lois vaccinales, votées par des parlementaires aussi ignorants qu’inconscients. Les multiples obligations vaccinales imposées aux humains et aux animaux, vouent le peuple et l’élevage de l’Hexagone, chaque jour davantage, à de multiples dégénérescences somatiques et psychiques.

Elles conduisent notre pays aux désastres et à la ruine : 160.000 nouveaux cancers par an, les soins annuels du traitement de chacun d’eux revenant à  49.000 F ( Le Carnet du Cancer , de G. Mathé). Par comparaison, au Danemark, la mortalité n’est que de 7,7 pour 1 000 habitants. Dans ce pays, la liberté des vaccinations est totale pour les humains, tandis que toute vaccination est formellement interdite pour les animaux, en raison du risque de contamination que les bêtes vaccinées représentent pour celles qui ne le sont point. Cette contamination est à l’image des enfants vaccinés à Bornholm, de 1930 à 1932, qui contaminèrent leurs parents et voisinage, parce qu’ils étaient devenus de dangereux porteurs de germes.

Toutefois la libre vaccination, pour ceux qui la désirent, devrait n’être pratiquée que sous réserve de leur mise en quarantaine, afin que ces vaccinophiles, devenus contaminés dangereux, ne puissent polluer les autres ! Ce qui a été confirmé par de nombreuses observations faites, depuis 10 ans, par les médecins allemands pratiquant la Bioélectronique.

Pour le bétail, par contre, toutes les vaccinations microbiennes doivent être rigoureusement interdites, à l’exemple du Danemark : leur poursuite ne pouvant conduire qu’à la ruine des éleveurs français.

Si les cultures sont authentiquement biologiques et organiques, les bâtiments sains, l’eau pure et acide, alors les maladies régresseront, ainsi que le démontrent de nombreuses exploitations d’Auvergne qui, remplissant ces conditions et n’utilisant aucun vaccin, ignorent la maladie.

Dans cette optique, le vétérinaire ne doit plus être celui qui vaccine et injecte des poisons aux animaux, mais « l’homme de l’art », chargé de maintenir et de contrôler la santé vraie dans les élevages :

  • en éliminant les causes de contamination ;
  • en déconseillant, de concert avec l’agronome, les engrais chimiques de synthèse qui n’ont aucun rôle à jouer dans les cultures destinées, directement ou indirectement, aux besoins des humains ;
  • en préconisant les techniques de fermentation douce des engrais organiques, les seules capables de donner le maximum de « magnétisme » (celui du vrai savant Pasteur) et par suite d’apporter aux cultures le plus grand « potentiel vivant » nécessaire à l’obtention du meilleur profit qualitatif et quantitatif.

L’ermite de Chazeyras a écrit : « l’élevage, c’est foutu. Avec toutes leurs vaccinations, leurs contrôles, « ils » nous transforment nos vaches en colis de produits chimiques.»2

Refus formel des vaccins de la mort lente :

Considérant, dès lors, la gravité de la situation d’ensemble de l’état sanitaire des Français, ainsi que de l’Agriculture et de l’Elevage français.

Considérant l’état très profond des dégénérescences toujours plus accentuées, dans tous les domaines. Par exemple, parmi ces désordres intenses, l’oligospermie, fléau de la stérilité française, en augmentation continue, qui est provoquée par les super-oxydations des vaccinations, stérilisations et antibiotiques en tous genres, ainsi que les travaux de Bioélectronique l’ont démontré.

Considérant que les dangereuses mesures précitées, profondément perturbantes, conduisent le « terrain organique » à l’opposé des conditions princeps qui ont présidé à la création de la vie, qui n’a pu exister, à l’aurore des temps, et ne peut, actuellement, se construire, se conserver et se renouveler, que dans un milieu acide et réducteur (donateur de protons et d’électrons), créateurs ensemble de champs électromagnétiques ;

Tandis qu’au contraire les fondements des dégénérescences se trouvent profondément implantés dans les états alcalins (anti-protons) et oxydants (anti-électrons) : en particulier, les vaccins qui, de ce fait, scientifiquement, se révèlent être :

  • non des ferments de vie,
  • mais bien des agents super-actifs de dégradation, de souffrances et de morts : véritables « fabricants » de cancers.

Considérant enfin que les obligations vaccinales françaises compromettent gravement le devenir du Capital humain du pays, qui représente, de très loin, le plus noble et le plus précieux de tous.

Considérant que le dit « intérêt public » constitue, en réalité, la loi suprême, bien que non écrite, de notre République ; qu’elle doit être respectée, par priorité absolue et en toutes circonstances, par tous les citoyens, par la force et le sang s’il le faut.

Considérant que, d’autre part, les lois obligatoires de pollutions vaccinales ont été votées à la sauvette par des Parlementaires aussi incompétents que tenus mal informés des conséquences réelles et criminelles de ces vaccinations : qu’en vertu d’un abominable paradoxe, on a fait croire aux législateurs comme aux assujettis, que l’injection de pourritures microbiennes  et chimiques, imposée à toute une Nation, devait lui assurer une véritable Santé publique, ce qui procède d’une incroyable logique d’abomination.

Considérant qu’en définitive, les effets criminels d’un pasteurisme démentiel étant désormais connus et confirmés, tant par les faits précités que par les innombrables mesures bioélectroniques effectuées.

Il importe d’en tirer concrètement toutes les conséquences pratiques dans l’intérêt de la France et aussi celui des pays qui voudront bien entendre et comprendre, après avoir été bernés par l’imposture pasteurienne.

En faisant ainsi disparaître les fléaux des thromboses, cancers et troubles neuro-cérébraux, préfabriqués puis entretenus par les vaccinations, stérilisations et autres pratiques pasteuriennes dangereuses, renouvelées chaque jour dans l’alimentation, on pourrait contribuer à la bonne exécution du Plan Barre en économisant 50 milliards de francs par an sur le monstrueux budget actuel de 100 milliards dépensés en frais de maladie.

Le culte d’Hygéa ou « la vraie santé » :

Considérant que c’est au culte d’Hygéa (Hygie, déesse à la robe blanche immaculée qui, au temple d’Epidaure, trônait à côté d’Esculape, dieu de la médecine, en sa qualité de gardienne souveraine de la vraie santé), qu’il faut désormais nous consacrer. Ainsi, pourra s’ouvrir l’expérience de la « longue et heureuse vieillesse des Patriarches sans maladie, qui, paisibles, quittaient un jour ce monde comme on s’endort », selon la relation d’Hésiode sur l’Age d’Or de l’humanité.

C’est donc à cet antique culte, que nous pratiquons depuis 40 ans, et dont la Bioélectronique a, depuis longtemps démontré la fabuleuse validité, qu’il nous faut revenir d’urgence, en renonçant, pour toujours, aux dégradations et stérilisations d’un Imposteur : mais en appliquant, par contre et sans cesse, la magistrale découverte d’un grand savant appelé Pasteur qui, en révélant le « magnétisme » du vivant, a découvert la suprême loi de la vie. Alors que le cancer, qui correspond à l’anti-magnétisme et à la débâcle biologique, ouvre largement, avant la « mort-délivrance », les portes maudites de la souffrance.

Le vaccin anti-grippe ou l’injection de la peste :

Rappelons-nous les paroles d’André Malraux : « Ce qu’il faut craindre, ce n’est point tant la mort, que la souffrance ». C’est pour cela que, soucieux de lui échapper, l’auteur de La Condition humaine, s’était fait injecter au début de ses derniers automnes, le vaccin contre la grippe !

A la suite de la première injection, il fut aussitôt paralysé, bientôt tenu pour mort, puis doucement reprit vie. Très amoindri, il écrivit son ultime ouvrage  Lazare , exposant, à la fois, ses souffrances et ses pensées durant la période de semi-conscience qu’il avait vécue.

A l’automne 1976, la deuxième injection du vaccin anti-grippal, lui fut fatale. Elle devait bien vite le gratifier de la « dépouille mortelle recroquevillée et toute noire » d’un pestiféré.

Le malheureux n’avait pas compris et, surtout, n’avait rien retenu de ses réflexions durant sa demi-mort, provoquée, à l’évidence, et sans que son esprit s’en doute un seul instant, par le vaccin contre la grippe.

Paix aux cendres d’un écrivain illustre qui fut victime, lui aussi, de sa croyance au caractère miraculeux des vaccins de l’imposture ! Avec eux, espérant éloigner la souffrance, il ne pouvait que rencontrer la mort !

Résolution :

Les 250 Congressistes,

  • réunis, en ce 7 mai 1977, à la Mairie de Tours, à l’occasion du VIIIe Congrès de la Fédération nationale de Défense de la Culture biologique et de Protection de la Santé des Sols,
  • sous la présidence de Monsieur René Ménard, Président de la Fédération,
  • après avoir entendu, en sa conférence sur  L’imposture pasteurienne , le Professeur Louis-Claude Vincent, puis le résumé de celle-ci, joint à la présente résolution,

Ont délibéré et décidé à l’unanimité, d’après le vote suivant :

Pour : 250 voix

Contre : néant

Abstentions : néant

De l’approuver entièrement, en toutes ses conclusions, basées sur la science bioélectronique, l’expérimentation et des faits indiscutables ;

Demandent :

Que le Gouvernement français, officiellement saisi de la présente résolution et du résumé joint de la Conférence du Pr Louis-Claude Vincent, veuille bien étudier, de toute urgence, l’abolition des lois d’obligations vaccinales, véritable fléau national, découlant de l’imposture de Pasteur ; lois auxquelles sont condamnés les Français, au détriment de leur santé, de celle de leur famille, de leurs troupeaux et de leur avenir, comme au grand dommage de l’Economie nationale tout entière, et spécialement de la Sécurité Sociale dont l’équilibre est compromis davantage chaque année.

Aux fins de cet examen, le Professeur L.-Cl. Vincent ouvrira ses dossiers et les exposera aux Autorités responsables concernées, en particulier au Ministre de la Santé Publique, et cela, en sa qualité « d’éminente Autorité scientifique »3 reconnue par le Gouvernement français, lors du Congrès de Bio-électronique réuni le 14 février 1976 à Konigstein (Allemagne Fédérale), qui, à cette occasion, a tenu à le faire féliciter pour « ses travaux bio-électroniques  qui n’ont d’autres soucis que l’amélioration de la vie humaine, l’adoucissement des souffrances et la guérison des maux . »


1 La plante d’Asclépios (le dieu de la médecine, en Grèce antique), vulgairement appelée « dompte-venin ».

2 Delaigues, Les Auvergnats sont incroyables, Ed. Source d’Or, 63200 Marsat.

3 En 1955, le Pr L.-Cl. Vincent avait également été nommé Professeur à l’Ecole d’Anthropologie de Paris par Louis Marin, ancien Ministre de la Santé Publique. Son souci permanent, dans tous les pays où il fut appelé, avait toujours été d’alerter les autorités et de les associer aux mesures de salubrité et de médecine préventive qu’il préconisait. La démarche faite envers le Gouvernement français à l’issue de ce Congrès d’agriculteurs et d’éleveurs en agriculture biologique, avec le vote d’une résolution, rend témoignage de son souci constant de la santé collective, nécessaire complément à l’action individuelle propre au médecin traitant. On rapprochera cette démarche de l’Appel de Paris, lancé en 2003 par diverses personnalités du monde médical, en particulier par le Pr Dominique Belpomme (Université Paris V). Concernant l’impossibilité de lutter contre le cancer et les maladies de dégénérescence sans agir sur l’environnement, relire l’article de ce Chargé de mission pour la mise en œuvre du Plan Cancer dans Le Cep n°30: Notre siècle sera écologique ou nous ne serons plus, p.62.

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