Les dinosaures d’Acambaro (1ère partie)

Par Dennis Swift, Ph.D.

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Les dessous de la préhistoire


Résumé : A partir de 1944 et durant plus de 10 ans, à Acambaro (Mexique), un quincaillier d’origine allemande et archéologue amateur, Julsrud, exhuma une fantastique collection de plus de 30 000 figurines de céramique. Ces pièces, toutes uniques, sont remarquables sur le plan artistique et signalent une antique civilisation précolombienne. Or plusieurs centaines de ces figurines représentent des dinosaures, notamment le brachiosaure (presque inconnu à l’époque), l’iguanodon (découvert en 1878) et des brontosaures à épines dorsales (connus en 1992). Il ne fait donc aucun doute que les artistes, qui ont modelé ces pièces (cuites à feu ouvert alors que les arbres sont rares aujourd’hui à Acambaro) avaient sous les yeux les animaux qu’ils reproduisaient. Aussi tous les experts officiels se refusèrent-ils à authentifier une découverte aussi dérangeante pour la théorie de l’évolution. Il fallut des journalistes et le célèbre géographe Charles Hapgood, pour briser la chape de silence qui recouvre cette collection toujours sous clés au musée d’Acambaro.

En juillet 1944, par un matin ensoleillé, Waldemar Julsrud, un quincaillier allemand d’Acambaro, au Mexique, se promenait à cheval au pied de la montagne El Toro. Soudain, il aperçut des pierres taillées partiellement découvertes, et un objet de céramique à demi enterré.

 Julsrud descendit de cheval, creusa, et dégagea les pierres taillées ainsi que des morceaux de céramique. Versé en archéologie, il comprit aussitôt que ces céramiques ne ressemblaient à rien de ce qu’il avait déjà vu.

Il connaissait les civilisations indiennes tarascane, aztèque, toltèque, maya, chupicauro, inca et pré-inca, mais les objets qu’il tenait dans sa main se distinguaient nettement de ces cultures indiennes connues.


Julsrud avait découvert, en 1923, avec Padre Fray José Maria Martinez, la culture chupicauro à seulement 12 kilomètres de là. Lorsque quelques fragments de céramique furent trouvés à Chupicauro, Julsrud avait lui-même engagé des terrassiers pour les déterrer. Cette découverte avait attiré l’attention des archéologues du monde entier, qui pensèrent d’abord que les statuettes étaient tarascanes; on les associa par la suite à une culture indienne toute nouvelle, les Chupicauro. La civilisation des Chupicauro est apparue environ 500 ans avant Jésus-Christ et s’est éteinte 500 ans après Jésus-Christ, soit près d’un millier d’années avant les Tarascans.

Et maintenant, Julsrud, à l’âge de 69 ans, était sur le point de faire une découverte archéologique, peut-être parmi les plus importantes de l’histoire de l’archéologie. Il engagea un paysan mexicain, Odilon Tinajero, pour fouiller le site où les figurines de céramique avaient été trouvées, et pour qu’il lui rapporte tout objet similaire. Peu après, Tinajero rapporta une brouette pleine de poterie de céramique provenant de la montagne El Toro.
Charles Hapgood raconte :«Julsrud était un homme d’affaires rusé et il conclut avec Tinajero une entente très importante dans cette histoire. Il dit à Tinajero qu’il lui donnerait un peso (environ 12 cents) pour chaque pièce complète qu’il rapporterait1
   Tinajero fouillait donc avec soin, en s’efforçant de ne pas briser les figurines. Il recollait les pièces brisées avant de les rapporter à Julsrud. 

Parmi les milliers d’objets trouvés, certains transformèrent le manoir de Julsrud en «un musée qui marqua les scientifiques». Les figurines modelées dans de l’argile de couleurs différentes représentaient des dinosaures, divers peuples (des esquimaux, des asiatiques, des africains, des blancs barbus, des Mongoliens, des Polynésiens) et des objets culturellement liés aux Égyptiens, aux Sumériens et à d’autres peuples.   Les objets étaient faits d’argile et de pierre, et leur taille variait considérablement. Certaines figures n’avaient que quelques pouces de long, certaines statues mesuraient trois pieds, et certaines figures de dinosaures avaient une taille de quatre ou cinq pieds.


La collection, qui comportait alors plus de 20 000 objets, ne contenait aucune réplique. Chaque figurine d’argile était unique, réalisée sans moule, modelée avec talent et décorée avec soin. Cette imposante collection comprenait des centaines de figurines de dinosaures qui furent scientifiquement identifiées comme représentant plusieurs espèces de dinosaures. 

Ces sculptures de dinosaures représentaient notamment le trachodon à pattes palmées, le gorgosaure, le monoclonius cornu, l’ornitholeste, le titanosaure, le tricératops, le stégosaure, le diplodocus, le podokosaure, le struthiomimus, le plésiosaure, le léviathan, le maiasaure, le rhamphorynchus, l’iguanodon, le brachiosaure, le ptéranodon, le dimétrodon, l’ichtyornis, le tyrannosaure, le rhynococéphale et d’autres espèces inconnues de dinosaures.

Brachiosore :

Ces fantastiques figurines de dinosaures menacent les idées admises et les échelles de temps de plusieurs champs d’étude. En 1955, Ivan T. Sanderson, Ph.D, fut étonné de découvrir dans cette collection une représentation précise de son dinosaure américain, le brachiosaure, qui était presque totalement inconnu du public à l’époque. Sanderson écrivit : « Cette figurine est une pièce très délicate; elle a l’air polie et est d’un noir de jais. Elle mesure environ 30 centimètres. Ce qui est fascinant, c’est qu’il s’agit d’une représentation absolument parfaite du brachiosaure, découvert uniquement en l’Afrique de l’Est et en Amérique du Nord. Il y a plusieurs représentations de squelettes dans la documentation publiée, mais je n’ai jamais vu qu’une reconstitution en chair. Cette figurine lui ressemble tout à fait


Dans les années 1940 et 1950, alors que la collection de Julsrud augmentait, l’État de Guanajuato, au Mexique, était très peu exploré au point de vue paléontologique et archéologique ; il ne l’est pas davantage aujourd’hui. Pourtant la fertile vallée d’Acambaro fut occupée au cours des 4000 dernières années par une ou plusieurs civilisations ayant une connaissance approfondie et directe des dinosaures.

En 1999, avec Don R. Patton, Ph. D., nous avons entrepris un voyage à Acambaro, à 180 miles environ au nord de Mexico, afin d’explorer nous-mêmes ses mystères.

Peu après notre arrivée à Acambaro, on nous apprit que la collection Julsrud était gardée sous clé et qu’elle n’était pas ouverte au public.

Après quelques jours de négociation avec le maire, le secrétaire du tourisme et le directeur du musée d’Acambaro, on nous donna la permission de voir une partie de la collection. L’endroit où l’on conservait les objets fut cérémonieusement ouvert par le maire. La faible lumière qui entrait par les stores nous permis de distinguer dans les pièces poussiéreuses les boîtes empilées jusqu’au plafond et des objets emballés dans du papier journal et placés précairement dans des cartons effrités.

Nous obtînmes la permission officielle d’observer les objets dans la salle de conférence de la ville, sous la surveillance de deux policiers armés de fusils AK-47 et de pistolets. Des employés de la ville faisaient la navette pour nous apporter les boîtes, pendant que je déballais les figurines de céramique et que Patton les photographiait de façon professionnelle.  La collection a compté jusqu’à 33 500 figurines, dont des instruments de musique, des masques, des idoles, des outils, des ustensiles, des statues, des visages de différentes nationalités et des dinosaures. Les figurines avaient finalement envahi les douze pièces du manoir de Julsrud, si bien qu’il dut dormir dans sa baignoire, puisque c’était le seul endroit où il restait de la place.

En six heures, nous fûmes capables de déballer un peu plus de 800 figurines de céramique.

Comme nous devions faire vite, nous avions étalé sur la table de la salle de conférence tout le contenu des quatorze boîtes ouvertes. Parmi ces articles figuraient 75 magnifiques statuettes de dinosaures. Et quel ne fut pas notre émerveillement lorsque nous déballâmes une figurine d’iguanodon.

Dans les années 1940 à 1950, l’iguanodon était encore tout à fait inconnu. Aucun faussaire n’aurait pu connaître ce dinosaure et encore moins le sculpter, car ce n’est qu’en 1978 et 1979 que des squelettes d’iguanodons adultes furent découverts avec leurs nids et leurs petits2.

Patton et moi-même devînmes du jour au lendemain des vedettes à Acambaro. Nous fûmes interviewés par la radio et les chaînes de télévision du Mexique. Trois journaux importants de l’État de Guanajuato nous mirent à la une. Je remis des t-shirts de dinosaures aux hommes politiques et suggérai que l’on fasse d’Acambaro une attraction touristique en imprimant des t-shirts représentant les dinosaures d’Acambaro, des cartes postales et un parc de dinosaures. Des gens viendraient du monde entier pour voir la collection d’Acambaro et ses dinosaures. 

Je causai accidentellement un scandale national lorsque je demandai : «Combien de boîtes avez-vous en stock ?». On me dit qu’il y en avait 64, et je murmurai : «Il y a déjà eu 33 500 figurines, et ici, il ne peut en rester seulement 5 000 ou 6 000». Un journaliste m’entendit, et la semaine suivante nous faisions encore la une des journaux puisqu’une enquête avait été ouverte au sujet des statuettes manquantes.

Julsrud avait lui aussi suscité la controverse sur sa collection, mais ce vent  semé sur un chapitre de l’histoire mit plusieurs années à se transformer en tempête dans la communauté scientifique. N’étant pas tenu par des obligations académiques ou par des idées préconçues, Julsrud se mit à réfléchir tandis que des milliers de figurines, toutes cuites à feu ouvert, étaient découvertes.

La caractéristique la plus époustouflante et sensationnelle de la collection était qu’elle représentait des êtres humains et des dinosaures vivant en étroite relation. Julsrud examina l’hypothèse très vraisemblable que ces objets pussent provenir d’une culture encore plus vieille que les Olmèques, les Mavans ou les Chupicauro.


La collection signalait une culture de grande antiquité. Les objets laissaient entendre que la région d’Acambaro était autrefois couverte de forêts, bien différente de la vallée sèche qu’elle forme aujourd’hui. Les géologues découvrirent que la vallée était autrefois occupée par un grand lac, il y a environ 5000 ou 6000 ans. Le site où l’on découvrit les poteries en céramique était autrefois au bord du lac. Les objets avaient originalement été enfouis dans le sable. La faune, les plantes, les arbres et les fleurs représentés dans l’art de cette civilisation inconnue étaient ceux de ses bois, lacs et forêts. Julsrud tenta d’attirer l’attention de la communauté scientifique, mais se heurta à l’indifférence et au silence des académies.

Comme les archéologues, paléontologues, historiens et anthropologues choisirent de l’ignorer, Julsrud décida de publier son propre ouvrage en espagnol : Enigmas del Pasado. Julsrud rédigea une théorie selon laquelle la colossale collection d’objets de céramique et de pierre avait été enfouie par un peuple en proie à une catastrophe. Il émit l’hypothèse qu’il y avait eu une période de cataclysmes qui changea le visage de la Terre, et que d’anciennes civilisations disparurent alors. Sa suggestion la plus radicale, qui fit violemment réagir l’élite scientifique, fut que les hommes et les dinosaures avaient vécu côte à côte.  Même s’il était évident que Julsrud venait de faire une déclaration d’une importance scientifique capitale, il fut ridiculisé par les autorités lorsque son livre parut. Y eut-il une civilisation à Acambaro durant l’époque glaciaire des géologues ? Il y a, dans la collection, des représentations sans équivoques d’un dromadaire américain de l’époque glaciaire, de chevaux de l’époque glaciaire, ainsi que de rhinocéros d’espèces éteintes. Il y a plusieurs figurines de singes géants, comme ceux qui ont existé en Amérique du Sud durant le pléistocène. Pendant les fouilles, quelques dents furent trouvées parmi les figurines. En 1955, ces dents furent amenées à George Gaylord Simpson, un éminent paléontologue américain de l’époque qui travaillait à l’American Museum of Natural History. Il les identifia comme dents de l’Equus Conversidans Owen, un cheval éteint qui avait vécu durant l’époque glacière. Nous retrouvons, dans la collection de Julsrud, deux figurines d’Equus Conversidans Owen. L’image de ce cheval est également gravée sur des pots de céramique de la collection.

 En 1947, après la publication de l’ouvrage de Julsrud, quelques journaux et magazines du Mexique mentionnèrent brièvement la découverte. Mais Julsrud ne put obtenir l’attention d’aucun scientifique ni d’aucune autorité pour venir enquêter sur les figurines. Finalement, en 1950, un journaliste américain, Lower Harmer, s’aventura en Acambaro pour inspecter la collection. Harmer se rendit au site de la montagne El Toro et photographia Julsrud avec ses excavations, alors que des figurines de dinosaures étaient ôtées d’un enchevêtrement de racines de Maguey.

Il écrivit : «N’importe qui croirait que ces grands sauriens n’ont pu être créés que par des artistes disparus depuis longtemps et qui les connaissaient bien3

 
L’élite scientifique continua d’agir comme si rien d’important (et qui aurait pu menacer le paradigme de l’évolution) ne s’était produit à Acambaro .

En dépit de leurs efforts pour minimiser et expliquer les découvertes de Julsrud en déclarant qu’il ne s’agissait que d’un plaisantin, l’information filtra peu à peu.

William W. Russell, un journaliste de Los Angeles vint sur la place. Il photographia lui-même les fouilles. Des trous fraîchement creusés laissaient voir plusieurs objets pris dans des racines.4 Les objets devaient avoir été sous terre depuis fort longtemps pour que des racines d’arbres poussent autour d’eux, à une profondeur de 5 ou 6 pieds.

Russell nota qu’à l’évidence les objets étaient très anciens. Les découvertes furent alors décrites dans une documentation accessible au grand public, tant et si bien que les scientifiques ne purent plus les couvrir par leur silence académique. Les archéologues professionnels durent donc composer avec le problème d’Acambaro. En 1952, Charles C. Dipeso de l’Amerind Foundation fut convaincu par les rapports populaires que présentaient des journaux et revues (comme Fate4) et commença l’examen de cette étrange collection. Des échantillons lui furent envoyés, mais les tests en laboratoire ne prouvèrent rien. Dipeso pensait que les tests démontraient que la collection n’était qu’un canular contemporain.


Mais les figurines ne pouvaient pas être des faux pour la seule raison qu’elles représentaient des reptiles du Mésozoïque. En juin 1952, Dipeso se rendit à Acambaro afin d’examiner la collection de Julsrud. En moins de quatre heures, il déclara avoir observé

32 000 articles dans le manoir. En fait, il certifia que son examen avait été très précis et approfondi, si bien qu’il avait pu observer que les dépressions des figurines formant les yeux, les écailles et la bouche étaient nettes et neuves. Aucune poussière n’était présente dans les crevasses5.

Dipeso dut être un archéologue bionique, maniant les objets à une vitesse dépassant celle de Superman. Pour accomplir cet exploit herculéen, il aurait fallu qu’il inspecte 133 objets par minute, sans s’arrêter.

En réalité, cela aurait pris plusieurs jours pour déballer la masse de pièces intactes, brisées ou réparées qui se trouvaient dans les boîtes.Une fois les morceaux déballés, démêlés et placés parmi les objets déjà exposés dans le manoir, il aurait fallu plusieurs jours pour effectuer un examen sommaire.

Charles Dipeso déclara qu’une enquête plus attentive avait révélé qu’une famille vivant dans la région d’Acambaro avait fabriqué les figurines pendant «les mois d’hiver, alors que les champs étaient au repos». Dipeso pensait que sa famille de farceurs s’était inspirée du cinéma, des bandes dessinées, des journaux et des livres de la bibliothèque locale.  Il semble cependant que Dipeso ne croyait pas réellement que la collection Julsrud fût fausse. Julsrud affirma qu’avant de retourner aux Etats-Unis afin d’écrire les articles qui dénonceraient la farce, «M. Dipeso m’a déclaré qu’il était tout à fait convaincu de l’authenticité de ma découverte. Il désirait acheter pour son musée un certain nombre de statuettes d’origine tarascane.»         Julsrud ne voulut vendre aucun de ses objets à Dipeso, mais il l’envoya à un homme qui vendait des antiquités.

Le marchand dit à Dipeso que les céramiques de Julsrud venaient d’un homme (Tinajero) qui vivait avec ses trois enfants à trente minutes du village, près de l’usine d’irrigation de Solis.  Julsrud note : «Pourquoi Dipeso n’est-il pas allé voir cet homme pour s’assurer de la vérité ? Un scientifique sérieux a l’obligation d’aller enquêter lui-même et de ne pas donner crédit à ce que le premier venu lui raconte».  En premier lieu, il aurait été contraire au code d’éthique archéologique et illégal de la part de Dipeso, de se procurer ces objets indiens et de les emporter hors du pays.

En second lieu, le marchand d’antiquités qui vendit au noir les objets à Dipeso avait des raisons évidentes de ne pas vouloir que Dipeso se procure des statuettes de Julsrud. Nous n’avons donc aucune difficulté à comprendre pourquoi le marchand a inventé l’histoire des faussaires. Francisco Aguitar Sanchaz, surintendant du réseau national d’irrigation de Solis déclara : «Depuis quatre ans, je connais personnellement les habitants de toute la région et ses activités archéologiques, et je nie positivement qu’il y ait eu une telle production de céramique ici

Le président municipal d’Acambaro, Juan Terrazaz Carranza, publia un document officiel (n° 1109) le 23 juillet 1952, dans lequel il réfutait les allégations de Dipeso : «La Présidence, sous ma direction, a ordonné qu’une enquête fût menée relativement à cette affaire, et elle en est venue à la conclusion que, dans ce municipe, il n’existe aucun individu fabriquant ce genre d’objet

De nombreux autres problèmes sont associés aux allégations fallacieuses de Dipeso. Il omit de mentionner que les objets de céramique, sculptés dans divers styles et variétés d’argile, avaient été fabriqués un par un, et non dans des moules. De plus, il n’y avait pas que des objets en céramique, mais aussi des objets en pierre.                                

Ankylosaure :


Cette collection est d’une beauté et d’une variété sans égales. Elle a suscité l’admiration de beaucoup d’artistes professionnels. Aucune famille de paysans ne pourrait fabriquer des milliers et des milliers de sculptures uniques avec tant de talent et de finesse.

(A suivre)


1 Charles Hapgood, MYSTERY IN ACAMBARO, An Account of the Ceramic Collection of the Late Waldemar Julsrud in Acambaro, QTU, Mexico. (Auto édition, 1972).

2 THE DINOSAUR ENCYCLOPEDIA, (Kingfisher Books, New York, N.Y., p.80).

3 Lowell Harmer. MEXICO FINDS GIVE HINT OF LOST WORLD, Los Angeles Times, (mars 25,1951).

4 William N. Russell « Did Man Tame the Dinosaurs? » Fate, (March, 1952), pp 2027; « Report on Acambaro,  » Fate (juin 1953), pp.31-35.

5 Charles C. Dipeso, « The Clay Figurines of Acambaro, » Guanajuato,

Mexico, American Antiquity, avril 1953, pp 388-389.

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