Partager la publication "L’avortement vu par un exorciste"
Par Christian de la Vierge ofm Fr.
Résumé : Les lecteurs du CEP, bien informés des liens irréfutables entre théories de l’évolution et culture de mort seront intéressés par ce fascicule de 24 pages écrit par un prêtre franciscain, ancien exorciste du diocèse de Marseille, puis d’Avignon.
Sous une forme très concise, l’auteur nous montre la gravité de l’avortement, homicide, meurtre d’un innocent, mais plus grave encore, outrage envers la paternité de Dieu.
Il donne en même temps les voies de guérison pour ces pauvres mères, atteintes dans les profondeurs de leur âme, quelle que soit leur réaction ou non-réaction apparente.
L’avortement est une conséquence directe de la mentalité contraceptive, fruit du rejet de l’encyclique Humanae Vitae de Paul VI par la majorité du clergé et du peuple catholiques en Occident. L’avortement est un véritable sacrifice humain à Lucifer. Ce n’est pas un hasard si Notre-Dame de Guadalupe, apparue enceinte à l’Indien Juan Diego en 1531 à Mexico, est la patronne des enfants à naître.
Elle qui mit fin au massacre des sacrifices humains aztèques, mettra aussi fin à la culture de mort au XXIe siècle.
Sachant qu’en France, un bébé sur quatre est sacrifié par avortement, nous sommes tous plus ou moins éclaboussés par ce génocide. Ce fascicule est à offrir à toute femme confrontée à ce drame. Nous reproduisons ci-après la 4e de couverture :
« Satan ne pouvant rien contre la Femme primordiale, la Vierge Mère, va s’en prendre alors à ses images vivantes que sont toutes les femmes enceintes afin de « dévorer » l’enfant à naître, avant même sa naissance, non pas parce qu’ « il » aurait la prescience de ce que sera cet enfant, mais tout simplement parce que cet enfant sera un « sujet » du Royaume du Christ.
L’avortement n’est pas seulement un homicide (conscient ou inconscient) contre une vie humaine, mais aussi un grave outrage envers la paternité de DIEU, qui est l’Auteur et la Source unique et première de toute œuvre de génération, paternité ou maternité physique ou spirituelle.
Par ce non à l’enfant à naître, on refuse de donner un (nouvel) enfant à Dieu, le Père de cet enfant, et un frère en humanité au Fils, l’Éternel Engendré.
Il faut retrouver le sens de Dieu pour trouver ou retrouver le sens et le respect de l’homme dans son unité de corps et d’âme, dans sa dignité depuis sa conception jusqu’à sa mort naturelle et dans son droit inaliénable à la vie.
Ce que ne peuvent ni l’aide médicale, ni l’assistance psychologique, l’Enfant Jésus, né de la Vierge-Mère, le peut au-delà de toute espérance. »
Disponible sur : http://www.choisirlavie.org/soutenir.php ou à commander par courriel : choisirlavie.isere@laposte.net (3 € franco de port)