Partager la publication "Quel destin pour la Hongrie ? (3ème partie) : Comment sortir de « l’antimagyarisme » ?"
Par Irène Döményi
« Si l’homme est libre de choisir ses idées, il n’est pas libre d’échapper aux conséquences des idées qu’il a choisies. » (Marcel François)
Résumé : Sous le poids des investissements étrangers et de nombreux colons tziganes, israéliens et chinois, un « antimagyarisme » actif imprègne les médias et la société, ce qui entraîne une réaction de plus en plus violente de la part des Hongrois dont le niveau de vie ne décolle pas. Plutôt qu’une nouvelle révolte, qui serait encore sans issue, la conversion et un retour aux vertus chrétiennes s’imposent comme seule vraie solution.
28. « L’anti-magyarisme » haineux, doublé de judéophilie ostentatoire, irrite les Magyars :
Ferenc Gyurcsàny, son épouse et la plupart des dirigeants exhibent leur judaïté avec arrogance. La réponse est l’anti-judaïsme viscéral du peuple.
Le discours du Premier ministre à Öszöd, prononcé fin mai 2006 et divulgué en septembre, au cours duquel il a avoué que lui-même et ses collaborateurs avaient menti au peuple tout au long de son « règne », c’est-à-dire pendant quatre ans, a mis le feu aux poudres. L’indignation générale a suscité des manifestations de rue par tout le pays (et même à l’étranger), pendant presque une année entière !
Le peuple hongrois a exigé le départ immédiat de Gyurcsàny et la démission de ses complices, mais sans succès, car ceux-ci étaient protégés, à l’insu de la nation, par des « Grands »3 dont l’intérêt était (et est toujours) de les maintenir à leurs postes.
D’abord pacifiques, ces protestations ont été par la suite « chauffées » par des « trublions » payés par le gouvernement qui a ordonné une réaction policière immédiate, brutale, souvent illégale, en envoyant « à la casse » des policiers inexpérimentés, des employés de bureau, qui ne comprenaient rien, et qui traitaient les manifestants comme de vulgaires voyous.
29. Il y a de gros problèmes dans la Police Nationale hongroise dus à la corruption à tous les niveaux :
Les policiers « de base » sont mal traités: leurs logements sont souvent de simples abris, des « ghettos » déprimants ; ou bien ils habitent loin de leurs postes, d’où fatigues journalières, pertes de temps et d’efficacité.
Au nom de « modernisations » jamais accomplies, diverses sociétés (ayant des intérêts à l’étranger) détournent à leur profit les subventions d’État destinées à améliorer les services, et cela avec la complicité de policiers haut placés.
Les véhicules de la Police sont vétustes, inutilisables. La Police nationale ne fait que protéger les participants des « raves ou drogue parties », tandis que la sécurité des personnages importants est confiée aux sociétés étrangères, (surtout à IN-KAL Security Kft., israélienne). Celles-ci reçoivent des contrats bien juteux, tandis que la Police hongroise manque de moyens d’action élémentaires.
Ces faits expliquent la récente formation du Syndicat des Policiers Hongrois Déterminés, (TMRSZ = Tettrekész Magyar Rendörök Szakszervezete), qui veut :
- Rétablir l’honnêteté dans l’Institution corrompue.
- Relever le niveau de compétence pour servir et protéger la population.
- Réaliser autour de lui l’unité du peuple magyar, actuellement très divisé.
30. Au sujet de la sécurité intérieure, il y a des questions troublantes sans réponse :
a) Que faisaient 200 soldats israéliens, il y a un an, à Budapest, à côté du Parlement dont l’accès fut interdit au peuple magyar?
b) Quel est le rôle du KRAV-MAGA, (une organisation israélienne para-militaire, experte en tactique urbaine, en système d’auto-défense et de combat corps-à-corps) en Hongrie? La direction comprend 5 Israéliens, 1 polonais et 1 suédois. Le chef en Hongrie est Péter Lakatos, diplômé de KRAV-MAGA. Les membres s’habillent en noir et sont souvent cagoulés.
Par réaction, une « Garde Hongroise » s’est également formée récemment. Au début, elle était composée d’une cinquantaine de personnes, actuellement environ 600. Les membres portent chemises blanches, pantalons et vestes noires.
Ils ne possèdent d’autres armes que leur amour patriotique et la volonté désormais d’appeler un chat un chat. C’est suffisant pour susciter des cris effarouchés des autres: « Ce sont des fascistes! »
31. On constate une intrusion israélienne importante dans la société hongroise :
Depuis sept ans le nombre des Juifs parlant hongrois a doublé. Les boutiques arborant des écriteaux en hébreux sont de plus en plus nombreuses, ainsi que les petites annonces dans les journaux offrant du travail aux employés qui parlent cette langue. Récemment on a remarqué la couleur jaune des tickets d’entrée de cinéma ornés de l’Étoile de David ! D’après l’hebdomadaire des israélites en Hongrie « Ùj `Èlet » (La Nouvelle Vie) il y a déjà eu environ 35 000 enfants israéliens qui ont passé leurs vacances en Hongrie. En Transdanubie (la partie ouest du pays), en septembre 2007, un nouveau centre de vacances somptueux pour les enfants d’Israël fut inauguré. (Nous n’avons pas entendu parler de pareils établissements en Israël destinés aux enfants hongrois).
La Turquie a fait savoir qu’elle ne désirait pas entrer, avec l’Union Européenne, dans un « club chrétien ». Pour lui faire plaisir, le chef de l’État français (J. Chirac) nia publiquement l’origine chrétienne des nations européennes. L’actuel Président n’a jamais rectifié ces allégations. Or, Israël et les États-Unis veulent une Europe mélangée pour pouvoir la dominer, en jouant l’arbitre entre des peuples antagonistes, affaiblis par les conflits inévitables entre chrétiens et musulmans.
Ceci explique peut-être pourquoi depuis 1989 tant d’Israéliens cherchent à obtenir la nationalité hongroise et un passeport. Car, si un jour la Turquie fait partie de l’Europe et si de nombreux Juifs sont solidement implantées au cœur de l’Europe, en Hongrie, il n’y aura plus d’argument valable pour refuser la candidature d’Israël.
32. L’invasion, l’occupation et la colonisation de la Hongrie par Israël sont des faits désormais avérés :
Déjà en 1970, le Grand Rabbin principal de Hongrie, M. Làszlò Salgò, avait déclaré :
« Les Juifs n’ont jamais eu un sort plus favorable qu’en Hongrie. C’est la première fois au cours de notre histoire que nous sentons que c’est notre pays. »
Où se trouve alors le pays des Hongrois ?
Admirons cette autre déclaration de Monsieur Simon Pérez, le 10 octobre 2007, à l’Assemblée Générale de l’Organisation des Bureaux Commerciaux à l’hôtel Hilton de Tel-Aviv : « Israël a obtenu des succès sans précédent : nous avons réalisé notre indépendance économique. Nous allons acheter [sic!] Manhattan, la Pologne et la Hongrie. De nos jours il est possible de créer des empires sans colonisation. » Ces paroles tranquillement cyniques et révoltantes se concrétisent en Hongrie tous les jours.
Évidemment, ceux qui protestent clairement sont immédiatement taxés d’ »antisémitisme ». Pourtant, cela n’a rien à voir avec l’antisémitisme.
D’une part parce que tous les Juifs ne sont pas d’origine sémite4, d’autre part parce que les Hongrois (peuple accueillant s’il en fut) n’ont rien contre les Juifs comme peuple. Les actions des Juifs, par contre, peuvent et doivent pouvoir être critiquées – au besoin – tout autant que celles de n’importe quel autre peuple. Or l’antimagyarisme actuel des Juifs en Hongrie dépasse toute mesure.
Même si tous n’en sont pas également responsables, ce sont eux qui induisent chez les autochtones un fort sentiment de judéophobie5.
Le désir d’ériger une société juste, avec des membres équilibrés psychiquement, physiquement et moralement, n’est pas nouveau en Hongrie.
Après 1945, les communistes prétendaient avoir le souci d’élever « le peuple », la paysannerie, en lui donnant les moyens de s’instruire. C’est pourquoi ils permirent à Zoltàn Kodàly (grand compositeur de musique, linguiste, musicologue, violoncelliste, professeur à l’Académie Ferenc Liszt) de faire une expérience. Il s’agissait « d’alourdir » le programme scolaire dans une centaine d’écoles primaires publiques, par une heure quotidienne d’initiation à la musique. Il y avait cours 6 fois par semaine mais seulement dans la matinée. Les enfants n’étaient pas sélectionnés. Après 4 ans de fonctionnement, les statistiques montrèrent que ces enfants avaient des résultats scolaires nettement supérieurs dans toutes les matières, qu’ils étaient plus disciplinés, curieux, éveillés et débrouillards, et en même temps plus calmes, serviables et attentifs que les autres. La musique bien enseignée a contribué à la résolution de certains conflits personnels ou sociaux. Elle a éveillé en eux les possibilités latentes de leur cerveau droit ce qui les rendit plus heureux.
Malgré ces bons résultats, la poursuite de ces expériences fut stoppée par le dictateur du moment : Ràkosi. Pourquoi?
Parce que ces enfants, pendant toutes ces années, ont développé un amour très fort envers leur patrie et leur culture, et parce que Zoltàn Kodàly était une personnalité très connue, qui avait le défaut majeur d’être catholique pratiquant…
Au vu de ces faits, il est clair que la disparition de la Hongrie comme Etat et comme peuple est programmée, et avec elle 1100 ans de civilisation, de culture et d’histoire européenne. Les pays artificiels formés de territoires hongrois amputés à la Hongrie y contribuent très fortement: destruction des monuments, interdiction de parler le hongrois dans les lieux publics, effacement des références et des noms hongrois dans les cimetières, falsification des faits historiques, insultes et attaques physiques, même meurtres, jamais punis. Les Serbes envisagent de faire transmigrer 100.000 de leurs ressortissants du Kosovo en Vajdasàg (Voïvodine) et des agents pénètrent désormais dans les maisons hongroises pour y faire l’inventaire des logements possibles pour les Serbes à venir, en délogeant les propriétaires ou habitants légitimes…
Mais comment pourrait-on empêcher cette disparition, sachant que les Tziganes, les Juifs et les récents immigrés chinois, etc., défendront le régime actuel car il leur assure des conditions de vie plus favorables que celles qu’ils avaient dans leurs propres pays ?
a) Par un soulèvement général ? Il y faudrait l’unité parmi les Hongrois, un chef accepté et suivi par tous ; des soldats entraînés, disciplinés, bien armés; des plans militaires et d’administration de la société civile nouvelle, avec des hommes prêts et capables. Tout cela n’est qu’un rêve pour le moment.
b) Par une « intimidation ethnique » comme on le voit faire au Kosovo, au Liban, au Tibet, en Birmanie, en Indonésie ou au Soudan (voire dans bien des quartiers urbains en Europe) ? Il y aurait des résistances et des pertes considérables des deux côtés.
c) Par un coup d’État pacifique ? Impossible, car – vu les projets et les investissements prévus – trop d’intérêts étrangers (américains, israéliens, russes, allemands, chinois) sont attachés à l’existence d’une Hongrie re-colonisée.
Même en cas de réussite totale mais sans changement profond de mentalité, la situation redeviendrait bientôt la même : c’est-à-dire : à la place d’hommes pécheurs régneraient d’autres hommes pécheurs, commettant bientôt les mêmes crimes ; car l’homme est faible et succombe aux mêmes tentations. Donc, humainement parlant, la cause semble perdue.
Cette situation ressemble à celle du peuple juif au temps de Jésus : occupation étrangère détestée, clergé riche et hautain, coupé du peuple, Temple profané par des tractations commerciales dans ses murs, partis ennemis, « collaborateurs-traîtres » hellénisants, peuple inculte et exploité. Les Juifs attendaient un Sauveur politique qui leur permettrait de délicieuses vengeances sur ces païens. Ils étaient prêts à se battre contre les ennemis extérieurs pour s’en libérer, mais ils ne voulaient pas comprendre que ces goïm, ces nations païennes, étaient le « fléau » envoyé par Dieu pour punir leurs nombreux péchés et manquements.
Les mêmes alternatives sont proposées au peuple hongrois de nos jours :
a) disparaître (sans se battre ou après des batailles perdues) ou,
b) comme Notre Seigneur Jésus le veut: que le peuple hongrois se soumette aux exigences divines en déposant son orgueil aux pieds du Sauveur, en regrettant ses péchés, en se repentant, en se convertissant et en expiant, afin de mériter d’être pardonné et aimé à nouveau du Seigneur. Alors le secours du Ciel ne lui sera pas refusé, même si la situation semble désespérée.
Mais cela demande une foi absolue en Jésus-Christ qui disait: « Sans Moi, vous ne pouvez rien faire »… « Venez à Moi, vous qui êtes fatigués et Je vous soulagerai. »
Une autre parole, si souvent mal interprétée, ridiculisée même, prend alors toute sa signification: « Si l’on vous frappe sur une joue, tendez l’autre ! » Ce n’est pas encourager la lâcheté ou la soumission peureuse à notre ennemi, bien au contraire! Il s’agit de vaincre le Mal par le Bien, par la force héroïque de la douceur. S’il y a au monde une victoire digne d’être louée, c’est bien celle-là!
Alors ? La Hongrie doit-elle mourir ? Non ! Elle doit vivre, car Dieu lui a donné une mission: le mouvement propitiatoire, initié en Hongrie, mais devant se répandre dans le monde entier, afin d’apaiser la juste colère du Seigneur et d’adoucir le châtiment mérité…Mais ceci est une autre histoire.
3 2004 : Ferenc Gyurcsàny devient Premier ministre, avec l’appui de Peter Mandelson, conseiller de Tony Blair
Juin 2004 : Rencontre du G8 à Sea Island. Suggestion de Mandelson: pour satisfaire les besoins énergétiques de l’Europe : construire en Hongrie un immense complexe de stockage de gaz et de pétrole et de développement d’énergie atomique. Préparation secrète et compliquée du plan. L’idée fut présentée à M. Gyurcsàny (déjà Premier ministre), enthousiasmé, car il espérait pouvoir colmater ainsi les brèches des Caisses de l’État causées par ses actions désastreuses.
L’Amérique a donné son accord car elle a reçu l’assurance de la loyauté de chaque participant.
La Russie : le fait de la participation dans l’investissement d’un État de l’OTAN ne la gêne pas.
L’Allemagne accepte le plan.
L’Italie s’y joint, un peu à contrecœur.
Avantages (aux yeux des protagonistes) :
a) la Hongrie n’a pas de puissance militaire.
b) l’opinion publique tient l’énergie atomique pour admissible.
c) la Hongrie et l’Ukraine ont des frontières communes (d’ailleurs cette dernière est déjà une colonie russe), et la mer Adriatique n’est pas loin.
Fin février 2006 : M. Poutine arrive en Hongrie. (Gyurcsàny réussit à être d’accord sur les détails avec les Russes.)
Mai 2006 : M. Gyurcsàny rencontre Henry Kissinger. À cette occasion les détails d’un grand contrat international sont clarifiés. Le Premier ministre hongrois présente à M. Kissinger la déclaration d’intention signée par lui et par M. Poutine.
21 mai 2006 : entretien à huis clos de Gyurcsàny avec Alexeï Miller, le maître de Gazprom.
22 mai 2006 : George W. Bush (en personne!) arrive à Budapest. Signature de l’accord entre les représentants des Grandes Puissances (les patrons de Gazprom et du Cabinet Bush.)
Poutine s’inquiète un peu de ces troubles en Hongrie. Gyurcsàny vole à Sotchi pour le rassurer. Après la rencontre M. Poutine déclare « qu’il n’y pas de raison de penser que le plan d’investissement sur le territoire hongrois ne se réalise pas, car cela assurera non seulement l’approvisionnement continuel en gaz en Hongrie, mais dans toute l’Europe. »
Les Allemands manifestaient, eux aussi, quelques inquiétudes, vu l’état d’ébullition prolongée de la nation hongroise depuis septembre 2006. Ils ne voulaient pas subir un blocage de l’approvisionnement en gaz à cause d’une crise gouvernementale en Hongrie
F. Gyurcsàny devait apaiser également Mme Angela Merkel à ce sujet.
L’avenir de la Hongrie et de l’Europe est donc décidé par les « Grands ». La masse d’argent mobilisée équivaut à trois fois le budget du Plan du Développement National de Hongrie.
Décision : les travaux de construction de la centrale commenceront en 2010. Les pipe-lines turcs et russes se rejoindront là. Il y aura également (en guise d’usine expérimentale) un réacteur nucléaire d’un type nouveau.
Évidemment, on n’en parle pas dans les journaux, pourtant cette amitié si soudaine entre des dirigeants mondiaux venant d’horizons si divers, ainsi qu’un si grand centre atomique au cœur-même de l’Europe devrait alerter et faire réfléchir les dirigeants des pays occidentaux
4 D’après Arthur Koestler (1905-1983), la majorité des juifs n’est pas d’origine palestinienne, mais caucasienne. Dans son livre La 13ème Tribu (1976, rééd. Tallandier 2008), il explique qu’entre 600 et 1000 après J.-C. existait l’empire puissant du peuple khazar (d’origine turque) au Sud de la Russie. Beaucoup de commerçants juifs vivaient parmi eux. En 740 ils persuadèrent l’empereur des Khazars de se convertir au judaïsme. L’Empire, qui a vécu jusqu’en l’an 800, sut arrêter l’expansion arabe sur la mer Noire. Ces « Ashkénazes », environ 11 millions d’individus, se répandirent en Europe de l’Est. Les Juifs d’origine khazare en Hongrie, qui parlent la langue magyare, se reconnaissent comme Juifs, mais ethniquement, sauf exceptions, ils ne sont pas sémites.
5 Si l’on ose parler de ces choses, on entend immédiatement: « Vous êtes anti-sémite »! Mais cette accusation est en soi scandaleuse, car elle ne concerne qu’un seul peuple que la loi privilégie. Alors pourquoi? Si l’antisémitisme est un crime, le « pro-sémitisme » est forcément obligatoire. Mais sur quelle base? Dieu aime toutes Ses créatures, sans exception. Certes, Il a montré une prédilection envers le petit peuple juif en l’honorant d’une sublime double mission. Mais Sa prédilection – qui demeure – n’excuse et ne justifie aucunement les infidélités et trahisons passées dont l’Ancien Testament est plein, ni la discrimination asymétrique qui guide leurs rapports avec les autres peuples. Cf. les œuvres de l’ex-rabbin Paul Drach et des frères Joseph et Augustin Lémann. Ernest Renan, dans son livre sur Le judaïsme comme race et religion (1883) écrivait: « Les Juifs du bassin du Danube, ou du sud de la Russie, descendent sans doute des Khazars. »