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Par le Dr. Andy Mc Intosh
Regard sur la création
« Car, depuis la création du monde, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l’œil nu quand on Le considère dans ses ouvrages. » (Romains, 1 : 20)
La merveille du vol des oiseaux… et autres objets identifiés1
Dr. Andy Mc Intosh2
Résumé : Le vol des oiseaux donne une magnifique démonstration d’intelligence créatrice. Il réfute toute prétention à une évolution progressive des espèces. Puisque tout l’animal (ailes, mais aussi glandes, squelette, cœur, poumons) est conçu pour cette fin bien déterminée. On ne voit pas comment des organismes seulement à demi fonctionnels pourraient subsister. Le colibri, avec son vol sur place, son bec fin et sa langue pompant le nectar 13 fois par seconde en donne la démonstration achevée. De plus les insectes volants et les chauve-souris sont munis de techniques de vol bien différentes mais tout aussi fonctionnelles. Quel dommage de voir tant de gens intelligents continuer de croire au processus cosmique d’une évolution sans but !..
Le vol est l’un des plus remarquables exemples de complexité technique. La mécanique du vol est si complexe que son étude sérieuse dans le monde de la nature incite beaucoup d’observateurs à conclure qu’il suppose un projet (design) intelligent. Malgré des années d’esquisses et de tests, l’avion reste moins polyvalent que le moineau ! Alors, est-il vraiment scientifique de croire que les « machines » de la nature ne sont pas le fruit d’un dessein ? Ce n’est certainement pas le raisonnement scientifique, comme tel, qui conduit certains savants à nier la main du Créateur dans de tels chefs-d’œuvre d’ingénierie aéronautique de la nature.
Mais les esprits sont tellement enjôlés par les hypothèses athées et humanistes, qu’ils sont forcés de rejeter la main divine à l’œuvre derrière toute la beauté et l’adresse acrobatique que nous voyons chaque jour dans le ciel.
Le postulat religieux du matérialisme (seule existe la matière dans le monde qui nous entoure), tel est le fondement non prouvé de la théorie de l’évolution.
Le vol du plus lourd que l’air, requiert quatre exigences fondamentales: 1) une forme correcte de l’aile assurant une moindre pression de l’air sur la face supérieure; 2) une aile assez grande pour supporter le poids; 3) un moyen de propulsion ou de glisse; 4) des surfaces supplémentaires, ou un moyen de modifier la surface principale de l’aile afin de changer la direction et la vitesse.
Le vol se manifeste dans de nombreuses branches du monde vivant: a) les oiseaux; b) les insectes: mouches, abeilles, guêpes, papillons, phalènes; c) les mammifères: chauve-souris; d) les reptiles: le ptérodactyle, disparu3.
Chaque classe de créatures est anatomiquement différente sans aucune liaison entre elles, même pour le plus ardent évolutionniste. Une fragile connexion a été tentée entre les reptiles (dinosaures) et les oiseaux: on a sérieusement proposé qu’un dinosaure proto-oiseau « battît des écailles » – sur ses bras – pour attraper les insectes, puis changea ses écailles en plumes afin de pouvoir voler vers ses proies. Même si l’on accepte le monde des fossiles comme preuve du changement sur des millions d’années, on n’y trouve pas le moindre « proto-oiseau ». Pour l’évolutionniste, le scénario de l’évolution du vol doit s’être produit au moins trois fois de façon indépendante ! Les ailes des trois principaux types de créatures volantes aujourd’hui sont très différentes: les ailes des oiseaux sont faites de plumes, celles des insectes d’écailles et celles des chauves-souris de peau déployée sur un squelette. L’évolutionniste n’a donc pas seulement à affronter l’obstacle d’un reptile qui ait fait pousser des plumes et se soit mis à voler, mais deux autres difficultés.
Une première évolution lorsque quelque rongeur (souris ? musaraigne ?) fit pousser de la peau sur ses pattes antérieures pour devenir «chauve-souris »; puis, de façon tout à fait indépendante, lorsque quelques insectes ont fait pousser de très minces écailles pour devenir des mouches, des abeilles et des papillons !..
Les oiseaux :
Les ailes d’un oiseau sont faites de plumes. La plume est une merveille de légèreté technique. Bien que légère elle est très résistante au vent, grâce au système ingénieux de barbes et de barbules1. Chaque barbe de la plume est visible à l’œil nu et part de la tige. Mais ce que l’on ignore généralement c’est que de chaque côté de la barbe se trouvent de minuscules barbules vues seulement au microscope.
Celles-ci sont de deux sortes selon qu’elles sont d’un côté ou de l’autre de la barbe. D’un côté les barbules se terminent en une sorte de crosse, et de l’autre en crochet. Ainsi les crochets d’une barbe s’attacheront aux crosses de direction opposée sur la barbe voisine. Les crochets et les crosses se comportent comme du « velcro », mais vont au-delà car les crosses permettent une articulation souple réalisant ainsi un mécanisme ingénieux pour une surface flexible et cependant intacte. La prochaine fois que vous verrez une plume par terre, souvenez- vous qu’il s’agit d’une merveille d’ingénierie légère, flexible et aérodynamique. Les écailles des reptiles ne suggèrent aucunement la complexité d’un tel mécanisme. Stahl 2 l’a reconnu : « aucune structure fossile transitoire entre l’écaille et la plume n’est connue, et les chercheurs récents ne veulent pas fonder une théorie sur une pure spéculation« .
Les écailles du reptile ne contiennent aucune information génétique permettant de réaliser le mécanisme unique de l’articulation souple de la plume.
La route tortueuse suggérée par certains : de petites « mutations avantageuses » des écailles, conduit à des structures pataudes, qui sont, en fait, un désavantage pour l’animal.
Tant que toute la structure des crosses et des crochets n’est pas en place, il n’existe aucun avantage, même comme barbe, pour attraper les insectes !
A moins d’invoquer quelque planning « d’anticipation », il n’y a aucune chance que des mutations aléatoires aient pu produire l' »idée » du croisement des barbules pour réaliser un treillis. Même si par hasard une mutation de crosse en crochet se produit pour deux barbules, il n’existe aucun mécanisme pour transmettre cet « avantage » au reste de la structure. Ceci est un exemple classique de complexité irréductible, incompatible avec de lents changements évolutifs, mais tout à fait cohérente avec la notion d’intention intelligente.
Mais ce n’est pas tout. Même avec la plume, le délicat treillis serait bien vite usé s’il ne se trouvait pas d’huile pour lubrifier l’articulation souple des crochets sur les barbules.
La plupart d’entre nous savent que lorsque les barbes d’une plume ont été séparées, il est difficile de les assembler à nouveau. La plume s’abîme facilement en l’absence de l’huile que l’oiseau tire d’une glande à la base de sa queue. Un peu de cette huile est mise sur son bec et étalée sur toutes les plumes, ce qui, pour les oiseaux aquatiques procure aussi l’imperméabilisation, (l’eau glisse ainsi sur le dos du canard). Sans l’huile, les plumes ne servent à rien et si un dinosaure terrien avait réussi à se faire pousser une aile, au bout de quelques heures elle aurait cessé de lui être utile.
Mais l’histoire ne s’arrête pas là, car l’oiseau ne peut voler que parce que sa structure osseuse est extrêmement légère : ses os sont creux. De nombreux oiseaux maintiennent la rigidité de leur squelette par des entretoises à l’intérieur des os creux. Au milieu du siècle dernier un tel système, connu sous le nom de poutre Warren, commença d’être utilisé pour les ailes d’avion. S’il y avait eu quelque stade intermédiaire dans l’évolution supposée de leur squelette, et que leurs entretoises ne fussent pas encore « développées » dans leurs os, les grands oiseaux tels que l’aigle ou le vautour, se seraient tout simplement disloqués en plein vol.
D’autre part les oiseaux respirent autrement. Le système respiratoire de l’oiseau envoie l’oxygène tout droit dans des poches d’air connectées directement au cœur, aux poumons et à l’estomac. Le système ignore également l’exigence normale chez les mammifères d’expirer du dioxyde de carbone avant d’inspirer une nouvelle bouffée d’oxygène.
Les hommes respirent environ 12 fois par minute, alors que de petits oiseaux peuvent respirer jusqu’à 250 fois par minute. Ce système est donc parfait pour le métabolisme élevé chez les oiseaux (qui consomment l’énergie très rapidement). En vol rapide particulièrement, les oiseaux ne pourraient pas maintenir leur expiration contre le flux d’air venant en sens inverse. Remarquez aussi que les oiseaux sont des animaux à sang chaud, ce qui constitue un bel obstacle biologique pour ceux qui veulent donner aux oiseaux un ancêtre reptilien à sang froid.
Considérons maintenant le battement d’ailes de l’oiseau.
Ce mouvement exige de puissants muscles avec une articulation du coude avant permettant le repliement de l’aile, très utilisé par de nombreuses espèces dans leur mouvement ascensionnel ou dans le plongeon des oiseaux de proie. La mobilité de la rotule à la base de l’aile, jointe à l’articulation du coude sur l’aile elle-même, et la surface lisse des plumes recouvrant le tout, donnent une grande flexibilité à l’aérodynamisme de l’aile. La portance et la traînée peuvent être équilibrées par des mouvements instantanés, alors que sur un avion elles demandent une manœuvre relativement fastidieuse des volets et des ailerons. Supposons que nous ayons un « presque » oiseau avec toutes les structures précédentes: plumes, glande à huile, os creux, respiration directe, sang chaud, rotule et articulation avant du coude, mais pas de queue ! Le vol contrôlé serait encore impossible. La stabilité longitudinale ne peut être obtenue que par une structure de queue, ce que comprennent vite tous les petits garçons lorsqu’ils font des avions en papier ! Mais quels avantages tout ce qui précède peut-il apporter à un « presque » oiseau reposant sur le sol ? Une telle créature serait une proie facile pour tout animal en chasse. Dans la liste des mécanismes (plumes, glande à huile, os creux, etc.) tous sont nécessaires. Si un seul manque, tout le projet s’effondre !
La queue est indispensable, et avec elle, il faut un autre muscle pour manœuvrer la surface, petite, variable mais essentielle de l’empennage: par exemple pour maintenir le plumage étalé et orienté vers le bas à l’atterrissage.
En d’autres mots la queue ne sert à rien si elle n’est qu’un « accessoire » statique; elle doit avoir la possibilité de modifier sa forme en vol. Tous ces mécanismes sont contrôlés par un système nerveux connecté à l’ordinateur de bord dans le cerveau de l’oiseau, pré-programmé pour coordonner une grande variété de manœuvres aérodynamiques complexes.
L’oiseau-mouche (Colibri) :
L’une des plus merveilleuses démonstrations réunissant tous les principes qui viennent d’être décrits, est celle de l’oiseau-mouche.
Ce petit oiseau peut battre des ailes jusqu’à 80 fois par seconde, et, c’est bien connu, faire du vol stationnaire, voler en arrière, en avant et de côté, facilement.3 Une vitesse de 80 km/h est courante pour cette merveille volante. Le plein de carburant doit être refait fréquemment à cause de la grande dépense d’énergie. Par conséquent sa nourriture doit pouvoir être assimilée rapidement. Le colibri y parvient en se nourrissant du nectar des fleurs, ce qui requiert le vol stationnaire et un long bec fin pour pénétrer dans la fleur (par exemple un fuchsia pour le colibri roux). Il a également une langue spéciale munie de deux sillons lui permettant de stocker le nectar sur la langue. Cette longue langue va et vient dans le bec à la cadence incroyable de 13 fois par seconde et, lorsqu’elle est rétractée, s’enroule à l’arrière de la tête. Imaginons le curieux scénario du colibri supposé à moitié évolué, ayant soit la possibilité du vol stationnaire mais avec un bec de moineau, incapable de se nourrir; ou encore avec un long bec mais pas de vol stationnaire et volant dans la fleur sans pouvoir s’y arrêter !… Toutes les conditions doivent être remplies dès le début. L’extraordinaire capacité de manœuvre de l’oiseau-mouche est due à sa possibilité de faire pivoter ses ailes selon un angle beaucoup plus ouvert que les autres oiseaux. Ainsi le colibri peut-il se propulser par ses battements d’aile aussi bien vers le haut que vers le bas. Le mouvement de la pointe de l’aile d’un colibri en vol décrit alors un 8: l’articulation pivote d’abord de quelque 90 degrés dans un sens, puis de 90 degrés environ dans l’autre sens. Une rotation plus ample est possible, permettant à l’aile de donner une impulsion dans n’importe quelle direction, de petites asymétries permettant même des déplacements latéraux. Le vol ne peut s’expliquer par une prétendue évolution. Les tentatives pour trouver des formes transitoires ont toutes échoué. On a prouvé que l’Archæoptéryx avait des plumes normales pour voler (ce n’était pas un demi-oiseau), alors que l’on a trouvé des oiseaux fossilisés dans des couches inférieures. On n’a jamais trouvé d’autres créatures prétendues « proto-oiseaux » : moitié reptile, moitié oiseau.
Tout prouve que les oiseaux ont toujours été des oiseaux, ce qui est entièrement conforme à leur création à l’aube du Cinquième Jour, comme le dit la Bible. Il n’est pas scientifique de dire que le Boeing 747 est le fruit évident d’un plan, puis de rejeter un tel plan pour le vol beaucoup plus riche de possibilités d’un aigle, d’un faucon ou de l’extraordinaire colibri. Les cerveaux contemporains dans les media font preuve d’une dualité de pensée non scientifique en se glorifiant des grands progrès créatifs de l’humanité pour ses machines techniquement complexes, alors qu’ils présentent la complexité du monde qui nous entoure, – toujours beaucoup plus ingénieuse que les machines humaines – comme le résultat d’une gigantesque expérience cosmique sans plan et sans Créateur.
Les insectes volants :
Les insectes volants n’ont absolument aucun rapport avec les oiseaux, et pourtant leur aptitude au vol est achevée dans tous les fossiles de mouches, phalènes et papillons. Il n’existe aucun candidat pour une forme intermédiaire quelconque. Les ailes de ces créatures faites d’écailles sont extrêmement fragiles. Beaucoup de ces insectes passent par un stade de nymphe pendant lequel ils se nourrissent avec des substances qui ne permettraient pas à l’adulte de survivre.
Le meilleur exemple est celui de la libellule qui débute comme nymphe sous l’eau, tirant son oxygène de l’eau, alors qu’aucune libellule adulte ne pourrait vivre dans ce milieu. Il est très banal pour la libellule d’atteindre la vitesse de 48 km/h, mais il n’existe aucun fossile intermédiaire. Les preuves existent de libellules autrefois beaucoup plus grandes, ayant une envergure de 60 à 90 centimètres, indiquant plutôt une régression qu’un progrès4. Sa parente, la demoiselle, a la capacité remarquable de faire du vol stationnaire.
L’aérodynamique sophistiquée de ses 4 ailes agissant de manière asymétrique inspira l’esquisse des premiers hélicoptères.
La complexité du cycle de vie de créatures telles que le papillon (chenille, puis chrysalide, puis papillon), la libellule (nymphe aquatique, puis libellule), et la perfection de leurs ailes d’adultes, indiquent un plan très élaboré qui ne peut s’expliquer par une suite de petits changements. La survie de chaque espèce dépend de la présence de tous les mécanismes dès l’origine.
Papillons migrateurs :
Le papillon Grand Monarque d’Amérique du Nord migre sur 3200 km depuis la Californie ou l’Ontario jusqu’à son séjour hivernal au Mexique central.
Mais il y a encore plus étonnant: quelques adultes effectuant le voyage de retour sont à pleine maturité, et certaines femelles pondent leurs œufs et meurent sur la route vers le nord. Cette progéniture, au terme du cycle chenille / chrysalide, poursuit alors sa migration au nord. Plus extraordinaire encore, tous ne parviennent pas jusqu’au nord-est de l’Amérique et c’est la troisième génération qui termine alors le voyage, accomplissant ainsi le vœu de la grand-mère ! Ceci signifie évidemment qu’un remarquable système d’information est soudé au code génétique de chaque papillon, si bien qu’il « sait » à quel stade en est le groupe dans son cycle migratoire, information transmise à chaque génération. Un mécanisme aussi délicat hurle l’intention intelligente.
De plus, on a trouvé de la magnétite dans le corps du papillon Grand monarque (ainsi que chez les abeilles), ce qui indique qu’il est capable de s’orienter en détectant le champ magnétique terrestre. En outre, ses yeux sont sensibles à la lumière polarisée du soleil, lui donnant à nouveau une indication de direction. Les deux yeux, loin d’être simples, sont composés chacun de 6.000 lentilles distinctes ! On ne trouve aucun papillon à demi formé dans les fossiles. Les papillons fossiles sont semblables à ceux d’aujourd’hui : achevés et prêts à voler !
Mammifères volants : les chauves-souris
Les chauves-souris diffèrent complètement des oiseaux et des insectes, avec des ailes faites de peau et un système radar extrêmement précis permettant à la chauve-souris de capturer son insecte proie avec une incroyable précision. Aucune demi-chauve-souris fossile n’à jamais été découverte et il serait difficile d’imaginer comment une telle demi-créature pourrait survivre. Le vol n’est possible qu’avec des ailes complètement constituées. Ceci ajouté au radar sophistiqué est un nouvel exemple de complexité irréductible.
Cohérence avec la Bible :
Comme scientifique considérant les mécanismes de la nature, je ne vois rien pour ne pas accorder une totale foi en l’Écriture. Il existe beaucoup d’autres mécanismes plus finement agencés que ceux décrits ici et qui témoignent irrévocablement en faveur d’une main Créatrice.
Beaucoup refusent de reconnaître l’évidence d’une l’intention intelligente dans la nature, parce qu’ils font l’hypothèse invérifiable de l’athéisme. Si quelqu’un doutait qu’un avion eut été conçu, cette personne pourrait être convaincue en la présentant aux équipes d’ingénieurs. De même, le préjugé contre l’intention intelligente dans la création ne peut être surmonté que par un radical changement d’avis en rencontrant l’Auteur de tout, personnellement. C’est parce que les hommes ne veulent pas être redevables à un Dieu Créateur, qu’ils s’entêtent dans une théorie possédant si peu de preuves en sa faveur.
1 Aimablement traduit de l’anglais par Claude Eon. Texte original diffusé par C.S.M., P.O. Box 888, Portsmouth P06 2YD (Pamphlet n°322).
2 Andy C. McIntosh, mathématicien, enseigne la théorie de la combustion à l’Université de Leeds (GB).
3 Ndlr. Telle est du moins la thèse admise, mais divers témoignages convergents permettent d’affirmer que des ptérodactyles vivent encore (à suivre).
1 Cf. Le Cep n° 21, p.84 sq: « La plume : merveille de la Création ».
2 « Vertebrate History: Problems in Evolution« , McGraw Hill, N.Y. 1974,
p. 349
3 La plupart de notre information provient d’un excellent article de Denis Dreves dans Creation Ex Nihilo,14 (1),1992,10-12.
4 Cf. « Discovering Life on Earth » pp.60-61, de David Attenborough, BBC, Londres