Partager la publication "Etes-vous des cobayes ou des robots ?"
Par Sylvie Simon
Résumé : Et si l’injection vaccinale n’était que le moyen technique d’implanter dans le corps des cristaux liquides qui, comme la puce, permettent le contrôle permanent de chaque individu ? La pression vaccinale des autorités est devenue telle qu’on est obligé de s’interroger sur les buts réels de la vaccination.
Il y a quelques années, certains scientifiques avaient suggéré qu’on pourrait, un jour, mettre au point plusieurs vaccins combinés qu’on injecterait au nouveau-né. En même temps, on introduirait dans son corps une puce électronique qui permettrait un suivi très précis de sa santé. Ils ont fait cette proposition avec le plus grand sérieux. Mais on peut se demander si ces scientifiques étaient conscients que leur suggestion dépassait de très loin tout ce qu’avaient imaginé Aldous Huxley dans le Meilleur des mondes, ou Georges Orwell dans 1984, ou d’autres écrivains de science-fiction.
Une invasion de puces
Or, depuis quelque temps, la réalité dépasse la fiction. Nous avons ainsi appris par la télévision que l’on commence à injecter des puces à des enfants ou à des vieillards atteints de la maladie d’Alzheimer, afin de pouvoir mieux les surveiller lorsqu’ils risquent de s’éloigner de la vue de leurs proches. Cette technique est déjà utilisée par la médecine vétérinaire pour identifier les animaux. Une multinationale, Texas Instruments, a mis au point des transpondeurs, c’est-à-dire des micro-ordinateurs qu’on a injectés à des milliers d’animaux à travers le globe. Jusqu’à présent, ces puces étaient utilisées pour retracer, contrôler et identifier toutes sortes d’animaux comme de produits manufacturés.
Le Dr de Brouwer (Vaccinations : erreur médicale du siècle, Louise Courteau, 1997) explique : « Ces transpondeurs, à partir d’une influence magnétique extérieure, permettent d’agir à l’échelle cellulaire, c’est-à-dire inconsciente, soit avec des émetteurs, soit des antennes télé, soit des satellites.
Si de tels transpondeurs étaient injectés à des humains, il serait possible d’agir sur les gens avec une antenne cellulaire qui court-circuite la conscience individuelle ».
Nous n’en sommes plus à l’heure de faire des suppositions mais à celle de nous inquiéter vivement pour une situation déjà établie et qui ne peut aller qu’en s’aggravant.
De son côté, le Dr José Delgado, pionnier de la stimulation électronique du cerveau et auteur du Contrôle physique de la pensée, paru en 1969, déclarait dans cet ouvrage : le développement des pensées et les expériences visuelles ». « Les transmetteurs cérébraux peuvent demeurer à vie dans le cerveau d’un sujet . L’énergie qui actionne le transmetteur est transmise par des fréquences radio. […] L’une des possibilités des transmetteurs cérébraux est d’influencer les gens afin qu’ils se conforment aux systèmes politiques. Les comportements individuels et sociaux, les réactions émotionnelles et mentales, peuvent être provoquées, maintenues, modifiées ou inhibées, chez les animaux comme chez l’homme, par la stimulation des structures cérébrales spécifiques. Le contrôle physique de plusieurs fonctions cérébrales est un fait établi. Il est même possible de suivre les intentions, le développement des pensées et les expériences visuelles. »
La réalité dépasse la fiction
Les premiers implants étaient petits, mais encore visibles, tandis que les nouvelles versions à cristaux liquides peuvent être directement injectées dans le sang pour se loger dans certaines régions du cerveau et influencer le comportement d’un individu. Si l’on se réfère à Tim Willard, éditeur du magazine américain Future Society, la technologie cachée derrière le nouveau Micro-Chip humain n’est pas très compliquée, et pourrait être appliquée dans une large gamme d’activités humaines.
Dans le Belleville News Democrat du 28 décembre 1997, Rod Hafemeister signalait que des puces allaient être utilisées sur des soldats. En effet, pour les immuniser contre l’anthrax avec les rappels nécessaires, il faut un suivi de plusieurs années. « Le Pentagone estime qu’il faudra près de six ans pour immuniser tous ceux qui portent l’uniforme. […] Ce programme n’aurait pas été possible il y a quelques années, mais la mise sur ordinateur du suivi médical et la puce qui peut le contenir, portée par le soldat, devrait tout changer. » Dans le même article, le journaliste signale que Paul Sullivan, directeur exécutif du National Gulf War Resource Center, accuse le Pentagone d’utiliser les troupes sans leur consentement pour tester des médicaments qui n’avaient pas l’approbation définitive de la FDA : « Le Pentagone a été sévèrement critiqué pour avoir commis la même faute en Bosnie », ajoute-t-il. Ces tests ne comportent pas l’injection de puces, mais se réfèrent à la même volonté de pouvoir sur les citoyens, otages d’un système corrompu qui relève plus du nazisme que de la démocratie.
Big Brother est là !
Récemment, le Pr. Kevin Warwick, de l’université de Reading, en Grande-Bretagne, s’est fait insérer sous l’épiderme un micro-processeur afin de démontrer les nombreux abus qui pourraient découler de l’utilisation de ce genre d’appareil capable d’allumer les lumières et de souhaiter la bienvenue d’une voix caverneuse. Introduit sous anesthésie locale, l’appareil contenait soixante-quatre informations sur le professeur de cybernétique que sa secrétaire pouvait suivre en permanence. « C’est vraiment Big Brother, ce n’est plus de la science-fiction… », a-t-il déclaré (Libération du 29 août 1998).
Ce genre de puce peut contenir toutes sortes d’informations les plus variées : numéro de Sécurité sociale, groupe sanguin, carnet de santé, convictions religieuses, qualifications professionnelles. En effet, Big Brother évoqué par Georges Orwell est à notre porte. Kevin Warwick dénonce : « L’être humain est menacé par l’ « ordinateur sapiens » dont l’intelligence ne tardera pas à dépasser celle de son créateur. » (Le Monde, 25 septembre 1998).
Carl W. Sanders est un ingénieur électronicien qui a passé plus de trente ans à mettre au point des puces électroniques pour IBM, General Electric, Honeywell et Teledyne, mais aussi pour diverses organisations gouvernementales. L’un des projets sur lequel il a travaillé s’appelait Phoenix et concernait les vétérans du Viêt-nam. Une puce électronique, appelée Rambo, permettait de faire monter leur taux d’adrénaline. Carl W. Sanders a déclaré au journal Nexus de juin-juillet 1994 que, lors des discussions sur le contrôle électronique avec la CIA auxquelles il a assistés, on parlait des citoyens comme d’un troupeau. « Lorsque la discussion parvint au stade de l’identification par puce ; ils précisèrent leurs objectifs : le nom et la photo, le numéro de sécurité sociale, l’empreinte digitale, la description physique, le contexte familial, le métier, les informations administratives, les impôts et le casier judiciaire. » A cette époque, il avait alors assisté à dix-sept réunions de ce genre ? « Récemment, ils ont abordé le Health Care Program, un suivi du « ventre maternel à la tombe ». Des projets ont été soumis au Congrès afin de permettre d’injecter une puce à votre enfant d ès la naissance. »
Et, évidemment, les vaccins !
En 1995, aux Etats-Unis, Donna Shalala, responsable du DHHS (Department of Health and Human Services) a suggéré de donner un numéro de Sécurité sociale dès la naissance, afin d’y inscrire l’état vaccinal de chacun. En 1996, le HIPPA (Health Insurance Portability and Accountability) émit le projet d’un numéro d’identification de soins de santé qui pourrait remplacer le numéro de Sécurité sociale et qui pourrait remplacer le numéro de sécurité sociale et qui serait attribué dès la naissance à chaque citoyen, relié à un moniteur électronique qui enregistrerait au fur et à mesure les soins médicaux et les vaccinations. En 1998, le CDC a commencé à mettre en œuvre un registre d’Etat des vaccinations, qui serait un premier pas vers le développement d’enregistrements électroniques sous le prétexte de suivre la santé des individus. Ces enregistrements comprendraient le nom, l’adresse, le numéro de téléphone, le numéro de sécurité sociale, la date de naissance, le sexe, la race, la langue principale, le nom de la mère et son nom de jeune fille, le nom du père, et les numéros de Sécurité sociale des deux parents (The Vaccine Reaction, publié par le NVIC, National Vaccine Information Center, numéro spécial de septembre 1998). Dans l’Etat du Texas, Prove, une association de parents conduite par Dawn Richardson, milite contre le fait que des enfants soient inscrits sur des registres de vaccination sans le consentement écrit de leurs parents. Sans doute font-ils partie d’une secte !
A la lecture de ces procédés dignes de la Gestapo, il est permis de se demander s’il s’agit, dans ce pays, seulement de la santé publique ou d’une forme de mise en carte de tous les citoyens.
Un journaliste canadien, Serge Monast, a mené une enquête sur les cristaux liquides, les vaccins et la médecine militaire expérimentale. En 1992, fut pratiquée au Québec une vaccination de masse contre la méningite, à la grande surprise des médecins qui savaient qu’aucune épidémie n’était en vue.
Québec : bizarre, bizarre…
A propos de la campagne de vaccination québécoise, un grand nombre de médecins et d’infirmières se sont demandé pourquoi ils devaient appliquer un protocole particulier pour cette injection. Serge Monast s’étonne surtout de l’inclinaison particulière qu’il fallait donner à la seringue et de la pression très forte qu’il fallait exercer pendant plusieurs secondes à cet endroit, ainsi que la recommandation de retirer la seringue très rapidement, « Ce fait est d’autant plus étrange dans l’administration d’un vaccin contre la méningite qu’il ressemble en tout point à la manière d’injecter un implant électronique servant à l’identification personnelle et fabriqué, entre autre, par la Texas Instrument. Cette méthode est aussi utilisée pour l’injection de cristaux liquides, afin d’empêcher leur retour dans la seringue. Nous n’affirmons aucunement que ce fut le cas lors de l’injection de ce vaccin, mais nous ne pouvons pas passer sous silence la ressemblance frappante existant entre ce protocole et celui servant à l’injection d’implants électroniques destinés à l’identification des sujets injectés, à leur repérage par satellite et au contrôle direct de l’individu pour des fins politiques. » (Vaccination, médecine expérimentale et cristaux liquides , parSerge Monast, CP 177, Magog, Québec, JIX3W8 Canada).
Cette décision avait été prise par des fonctionnaires du gouvernement à l’encontre de l’avis de la plupart des membres du corps médical.
Le Dr Christiane Laberge déclara alors aux médias que sa fille de cinq ans courait autant de risques d’attraper la méningite que de se faire heurter par un train.. Le Dr Gilles Delage évoqua, lui aussi officiellement, les risques encourus par les nourrissons vaccinés à cause de la réduction appréciable de tolérance immunitaire chez ces enfants. Des spécialistes du monde médical firent connaître leurs préoccupations à ce sujet dans un article paru dans Le Journal de la presse du mardi 4 février 1992, mais le gouvernement passa outre. Serge Monast fit alors ressortir que, dans certaines régions, les vaccins étaient différents de celui que recevaient les enfants d’autres régions à la même époque.
Cristaux liquides : contrôle des individus
Dans une conférence-débat du 10 février 1996, près de Périgueux, qui réunissait des médecins et des biologistes remettant en question notre médecine de troupeau, le Dr Guy Londechamp, auteur de l’Homme vibratoire, paru en 1993 et réédité en 1998, attira l’attention, lui aussi, sur les cristaux liquides et posa la question : « N’est-ce pas l’installation d’une antenne à l’intérieur de notre organisme, programmable de l’extérieur, malléable ?[…] Ce peut être de la science-fiction, à moins que la science-fiction ne soit déjà très en dessous de la réalité ! »
Et, commentant la campagne de vaccination canadienne avec protocole particulier, il poursuivit : « s’il s’agit d’une vaccination si anodine, pourquoi a-t-on demandé à ces centres d’avoir des conditions si rigoureuses, ces mesures de sécurité et d’observation exceptionnelles ? Il faut signaler, par ailleurs, que l’on a vacciné de force contre l’hépatite B des populations entières au Nord Canada, sans explication, sans même l’autorisation des parents. Il y a eu un certain nombre de morts parmi les enfants, mais on n’a fourni aucune explication… Viols délibérés de la liberté individuelle, atteintes corporelles avec des décès, mais aucune justification des besoins ni explications. […]
Alors, n’est-on pas en train d’injecter aux gens – avec le vaccin contre l’hépatite B – non seulement les protéines de la capsule du virus, mais aussi d’autres informations, probablement des cristaux liquides (boucles d’ADN de synthèse), permettant de programmer toutes les personnes de l’extérieur, à un moment donné, pas forcément tout de suite ? Mais le dispositif serait en place… Le problème est de savoir si les avancées technologiques sont suffisantes pour avoir une connaissance précise du modèle ADN à injecter, afin de contrôler les consciences. Il est bien difficile de savoir exactement ce qu’il y a dans ces vaccins. »
Pure science-fiction ? Certains, plus avertis des manipulations pseudo-scientifiques dont nous sommes victimes et de tous ce que l’on nous cache, ne s’en étonnent pas. Les pressions vaccinales sur les populations sont devenues telles que nous sommes obligés de nous interroger sur les buts réels de la vaccination. S’il ne s’agissait que de santé, la contrainte n’aurait pas lieu d’être, la persécution des non-vaccinés serait dénoncée comme toute violation des droits fondamentaux ; enfin les campagnes vaccinales systématiques apparaîtraient comme une aberration.
Plutôt que de santé, ne pourrait-il être question de contrôle mondial de la population ?L’identification des chiens et des chats grâce à ce procédé a été mise en place en France par un arrêté du 1er octobre 1997. Il semble qu’il soit désormais possible d’injecter, par le biais d’un vaccin, un implant électronique servant à l’identification personnelle. Ce serait la normalisation à outrance des conduites par le truchement des vaccinations.
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