Accueil » RU 486, la pilule abortive diabolique ?

Par Clericus

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Résumé : Satan est homicide dès l’origine de l’humanité. Par le péché qu’il a fait commettre au premier couple, il a introduit la mort dans l’humanité. Par l’orgueil, Satan nous enchaîne et fait de nous un esclave destiné à accomplir son œuvre mortelle. Faut-il s’étonner de l’oeuvre de mort qui accompagne toute domination pour s’accomplir, les guerres comme les dictatures (nazisme et communisme) ?
Cette œuvre de mort se retrouve aussi dans le désir de maîtriser la vie, la fécondation et la reproduction humaine chez la femme, en particulier par l’avortement. Aussi, l’auteur de cet article s’est-il essayé à rechercher la signature de Satan dans la fameuse pilule abortive RU 486, guidé par la forme numérologique, 666, qui est le signe de la « Bête » (Ap 13,18).

« La lumière produit tout ce qui est bonté, justice et vérité…Ne prenez pas part aux activités des ténèbres…démasquez-les plutôt…mais quand ces choses sont démasquées, leur réalité apparaît grâce à la lumière.» (Saint Paul aux Ephésiens, 5, 9-13).

Spécialisé dans la recherche hormonale, le professeur Beaulieu découvre en 1981 une nouvelle molécule permettant de déclencher une interruption de grossesse sans chirurgie grâce à sa puissante action anti-progestérone.1 Cette nouvelle hormone fut appelée « miphépristone » et commercialisée en 1988 par le laboratoire pharmaceutique Roussel-Uclaf sous le nom de RU 486.

Mais devant l’opposition morale soulevée en France quant à la finalité de cette pilule abortive et au risque qui se dessinait d’un boycott des produits pharmaceutiques du laboratoire, Roussel-Uclaf décida de ne pas la commercialiser en France.

Jacques Évin, alors ministre de la Santé, intervint dans la polémique au nom des grands principes venimeux et libertaires qui font la « grandeur » du socialisme français pour demander au laboratoire de revenir sur sa position car « cette pilule abortive n’était-elle pas aussi la propriété morale des femmes ? ».

Ce souhait du ministre de la Santé, faisant appel à un principe moral pour exprimer la liberté de donner la mort à l’enfant à naître d’une manière aseptisée, sera exaucé car le laboratoire préféra se débarrasser de son « bébé » en gestation, non pas en le faisant mourir, ce qui aurait été dans la logique, mais en vendant les droits à un autre laboratoire. C’est ainsi que ce médicament a pu être commercialisé, son utilisation étant réservée à l’usage hospitalier français jusqu’en 2004, avant de passer en « médecine de ville » grâce à un assouplissement de la loi et sous un nouveau nom : la « Mifégyne ». Après le milieu aseptisé et froid de l’hôpital, ce médicament put ainsi poursuivre son œuvre de mort, sous contrôle médical, au cœur même du foyer.

En 1999, il en découlait déjà le triste bilan suivant : en France, 30% des avortements étaient réalisés par cette « technique » non chirurgicale et plus de 300.000 avortements ont été pratiqués par cette méthode en Europe, sans parler des pays en voie de développement, comme la Chine ou l’Inde (qui a pu ainsi faire des économies sur les postes radio à transistor2 ) où cette technique est largement utilisée. Trente ans après la légalisation de l’avortement, il se pratique encore en France plus de 220.000 IVG chirurgicales par an (contre 60.000 en 1974) que l’on espère remplacer par l’utilisation de cette sinistre pilule abortive3. Comme on le constate, l’affaire est juteuse. Satan peut être satisfait, car ce produit possède encore de sinistres jours devant lui pour accomplir ses méfaits.

Une signature diabolique sous-jacente ?

L’unique finalité du RU 486 n’est pas de soigner ou de guérir, mais de donner la mort, de tuer à la source une vie naissante.

Nous avons été intrigué par la dénomination peu coutumière du dit « médicament », outre sa parenté phonétique avec le mot Méphistophélès. L’appellation d’un médicament suit des règles qui permettent de reconnaître sa molécule active, son groupe chimique (type d’antibiotique, anti-inflammatoire, etc.). Pas dans ce cas.

RU 486 se décompose en RU (de Roussel-Uclaf) et de 486.

  1. R=18 (18ème lettre de l’alphabet) soit 6+6+6 ou 6.6.6
  2. U=21 soit 7+7+7 7 est le chiffre de la Création divine.
  3. RxU= 18×21 = 378 et 3+7+8=18 soit 6.6.6

1. 486 ou 4+8+6=18 ou 6.6.6

2. 4x8x6 =192 et 1x9x2 = 18 ou 6.6.6

Assemblons maintenant RU et 486

  1. R= 18 et U = 21 et 486. on peut faire :

(1+8) x (2+1) x (4+8+6) = 9 x 3x 18 = 486 ! ou 6.6.6 !

  1. On peut aussi faire : RxUx486 =18x21x486 = 183.708 que l’on décompose en deux groupes: 183 et 708 soit 1+8+3=11 et 7+0+8=15 et 11×15=180 soit 60.60.60, mais zéro étant le chiffre du néant, il reste 6.6.6.

Assemblons maintenant différemment 183.708 en 18 et 3708.

18 (6+6+6) déjà vu et 3+7+0+8 = 18 ou encore 6.6.6.

Aujourd’hui, la RU 486 est commercialisée par le laboratoire EXELGYN4 sous le nom de MIFEGYNE5.

Ce nouveau nom du RU486 provient de la contraction du nom de la molécule active, la miphépristone avec celui du laboratoire Exelgyn, ce qui est classique.

Réalisons la même approche numérique :

M – I – F – E – G – Y – N – E

13 – 9 – 6 – 5 – 7 – 25 – 14 – 5

Si nous multiplions tous les chiffres entre eux, nous obtenons :

13 x 9 x 6 x 5 x 7 x 25 x 14 x 5 = 42.997.500

Additionnons maintenant les chiffres du produit : 4+2+9+9+7+5=36 soit 6×6 ou 2×18 soit encore 6.6.6 et 6.6.6!

Si nous coupons le nom de ce médicament en deux : MIFE – GYNE et que nous multiplions la valeur numérique de chaque lettre, nous obtenons :

13 x9 x 6 x 5 =3510 et 7 x 25 x 14 x 5 = 12.250

Additionnons les chiffres de chaque produit :

3+5+1+0 = 9 1+2+2+5+0 = 10 9 x 10 = 90 ou 56] x (6+6+6)

Maintenant, reprenons encore les deux parties du nom du médicament tueur MIFE-GYNE (Mifé de Miphépristone et Gyne d’Exelgyn) comme nous l’avons fait pour R U et additionnons les valeurs numériques précédentes :

13+9+6+5 et 7+25+14+5

Nous obtenons : 33 + 51 ce qui donne déjà :

3+3= 6 et 5+1= 6 soit 6.6

Mais, si nous multiplions 33 x 51 = 1683, soit 1+6+8+3=18, soit encore 6+6+6 ou 6.6.6.

Comme on peut le constater, cette accumulation de 6.6.6 est troublante et s’accorde avec l’utilisation diabolique et mortifère de ce médicament.

Peut-on alors encore parler de hasard ?

1 La progestérone est une hormone nécessaire à la poursuite de la grossesse.

2 En effet, dans les années 1965-70, l’Inde décidait de donner en prime un transistor aux femmes qui acceptaient de se faire stériliser par ligature des trompes dans le cadre du contrôle des naissances.

3 Cette banalisation de l’avortement en début de grossesse engendre de plus le risque d’être utilisé comme mode de régulation des naissances pour remplacer le préservatif et la pilule contraceptive.

4 Précisons que la Mifégyne est le seul médicament commercialisé en France par le laboratoire Exelgyn !

5 Remarquons que si le Mifégyne s’était écrit Miphégyn pour conserver le PH de Miphépristone et enlever le E d’Exelgyn, le calcul n’aurait pas pu tomber juste.

6 Le chiffre cinq est celui de la création avant l’homme.

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