Partager la publication "L’innocence du Carbone ou Comment implanter une idée (2ième partie)"
Par Duchêne Christian
SCIENCE ET TECHNIQUE
« Les rationalistes fuient le mystère pour se précipiter dans l’incohérence. »
(Bossuet)
L’innocence du carbone ou Comment implanter une idée (2de partie)
Christian Duchesne
Résumé : Dans une première partie, l’auteur avait montré comment la thèse actuelle d’un réchauffement climatique dû à l’activité humaine est peu fondée scientifiquement et néglige les phénomènes catastrophiques qui se produisent régulièrement au cours des siècles. La « carbonophobie » ambiante semble donc irrationnelle. On y verra une vaste opération de propagande en direction des masses visant à favoriser l’avortement, l’euthanasie et tout ce qui peut alléger le « fardeau » que l’homme représenterait pour le globe terrestre, le tout implanté dans les esprits grâce à des procédés évoquant les régimes totalitaires. Il s’agit aussi, avec la « taxe carbone », d’une sorte de « coup d’État » (putsch), d’une mainmise éhontée, échappant aux gouvernements et aux nations, sur un élément essentiel pour toute vie.
L’actuelle tyrannie tranquille… cessera-t-elle d’être tranquille ?
De toute évidence, l’impact sociologique de l’incessant martèlement anti CO2, quand ce n’est pas simplement contre le vital carbone, n’est pas sans conséquence. Si nous avons présenté dans la première partie l’événement majeur survenu en 1938, comme une projection fictive dans un proche avenir, c’était pour attirer l’attention sur la puissance que peut avoir un mantra répété jour après jour sur la psyché des peuples et des autorités (morales, scientifiques et élues).
On sait qu’en mercatique (marketing) une publicité télévisuelle, avant d’avoir un impact, doit être vue au moins quatre fois pour commencer à être « enregistrée » dans l’esprit des téléspectateurs. Dans le cas de la peur irrationnelle contre le CO2, qui est le gaz permettant toute l’alimentation mondiale, la propagande carbonophobe est administrée des centaines de fois en moins d’un an à toute la population occidentale, y compris aux enfants d’âge préscolaire…
Comment pourrait-on croire que la répétition continuelle de l’argument de survie de la planète n’aura pas, par effet multiplicateur, solidement implanté et même enfoncé dans les cerveaux cette idée carbonophobe de manière à la fois théorique, militante et bientôt agressive ? Qui n’aurait pas cette réaction en voyant ainsi sa propre « maison » et, qui plus est, la seule que nous ayons, la Terre, menacée de destruction ? On constatera douloureusement dans les photos suivantes l’extraordinaire et redoutable potentiel d’amplification des émotions que possèdent les médias de masse et la pression des autorités (Milgram 1963)1. Lors de la tragédie de 1994 au Rwanda, les dizaines de milliers de radios portatives, distribuées gratuitement (avec piles à volonté)2, ont permis aux stations radio de Kigali de déverser un tsunami de haine contre les populations tutsie et hutue modérées (25% des morts furent des Hutus)… entendez par « modérée » : chrétienne et principalement catholique3. Tout comme il nous est permis de douter des intentions du président Truman et de l’État-major américain lorsqu’ils larguèrent deux bombes atomiques sur les villes du Japon qui n’étaient pas véritablement des objectifs militaires : Hiroshima et Nagasaki.

C’est un avertissement que je lance ici face à la montée de la haine contre ceux qui s’opposent à la mainmise totale et imminente des « banksters » sur l’élément essentiel à toute vie.

« Sauvez la planète. Suicidez-vous! »
Source : http://thomasdietz.com/html/climatology.html
Ces images montrent les extraordinaires capacités hypnotiques non seulement des médias de masse et des ONG environnementalistes – dont on se demande comment elles sont si opulentes –, mais aussi de ces élans de haine contre l’humain, sans précédent dans l’histoire.Certes, l’idéologie cathare représentait une volonté d’autodestruction collective que l’Église dut réprimer à l’exigence des peuples et des autorités civiles, le catharisme prônant le suicide comme « sacrement » (endura) ; mais ce que nous voyons aujourd’hui est incomparablement plus alarmant, car la haine vise intrinsèquement l’Homme dans sa structure biologique, et ni les peuples ni les autorités ne semblent s’inquiéter de cette dérive absolutiste…

« Sauvez la Terre : avortez un enfant. »
Source : https://quicktake.wordpress.com/category/global-finance/
Lorsqu’on en vient à légitimer le suicide ou l’avortement comme moyen de sauver une Terre, qui a pourtant « encaissé » l’impact de gigantesques météorites, les explosions répétées de super volcans (Inde, Yellowstone, Aira près du Japon, etc.), plusieurs extinctions massives selon les paléontologistes, sans compter plus de 2 080 explosions nucléaires4 depuis 19455, on peut imaginer la suite des événements.
Depuis quelques années déjà, on a même constaté une augmentation des situations anormales où, par exemple, des parents inquiets ont rapporté que leurs enfants entre 5 ans et 15 ans se sentaient coupables d’expirer de l’air, car celui-ci contenait une « énorme » quantité de CO26.
Certains professeurs ont poussé la chose jusqu’à donner comme devoir à leurs élèves de sonder l’opinion de leurs parents sur la question du réchauffement ; subtil moyen d’intrusion idéologique dans les familles, transformant potentiellement les enfants en mouchards7.
Cette utilisation des enfants par des autorités extra-familiales ne rappelle-t-elle pas ad nauseam les stratégies employées par Staline avec les jeunesses communistes, puis celles d’Hitler ; jeunesses qui étaient autant d’yeux et d’oreilles au cœur même des foyers et qui permirent la désintégration des familles réticentes à l’enrôlement dans les idéologies, communiste et nazie ?
Ainsi, des familles intègres, dans leurs valeurs morales, ont-elles été sacrifiées au nom de l’idéologie matérialiste communiste, dans le premier cas, et au mythe de la race supérieure, dans le second : communisme et nazisme, deux idéologies mortifères rejetons du darwinisme…8 ?! La nationalisation des enfants par les technocrates est déjà bien en marche…

« Et pourtant, il avait raison ». Image prise lors d’un défilé nazi…
Les protecteurs du CO2 nourricier sont-ils des exemples vivants de ces deux hommes (cerclés de gris et de rouge sur la photo) qui refusèrent de faire le salut nazi, signe de soumission à l’idéologie raciste hitlérienne ?
Conclusion
On n’engendre pas, en moins de 10 ans, une névrose aussi avilissante dans quelque 5 ou 6 milliards d’âmes, sans une finalité politique bien établie, fût-elle discrètement cachée.
Nous savons maintenant que lorsqu’un organisme parle avec autorité de « réchauffement », ou de « changements climatiques », les populations y associent automatiquement le « terrible » CO2. C’est devenu une sorte d’instinct qui, nous pouvons le constater avec tristesse, est activé uniquement par la peur, le mensonge et maintenant par la ségrégation, pour ne pas dire l’apartheid. Or, qui dit instinct dit aussi pulsion, animosité, surtout lorsque les termes « survie de l’Humanité » ou « destruction de la planète » y sont accolés et servis à toutes les sauces. Une telle menace ne peut que produire une réaction opposée équivalente, donc hautement mortifère.
Or, le catalyseur de cette menace dans les peuples – menace qui n’est pas scientifique, les livres de F. Gervais et O. P. Vinay le démontrent – est essentiellement émotionnel et fait ressurgir dans les populations des peurs ancestrales dont la principale est celle de la mort qui, on le sait, est génératrice des pires violences. L’exemple du Rwanda nous l’a montré, les rumeurs et l’émotivité dirigées par la peur ne peuvent qu’engendrer une terrible réaction en chaîne. Dans le cas du Rwanda, cette peur n’était pas aussi poussée que celle de l’extinction de l’humanité. Alors, imaginez si tel avait été le cas !
Une autre conséquence que peut provoquer la peur viscérale fut, par exemple, la grande panique qui éclata aux États-Unis en 1938 dans le New Jersey, lorsqu’Orson Welles diffusa à la radio sa fiction apocalyptique d’une invasion terrestre par des martiens assoiffés de sang : « La guerre des mondes ». La panique qui s’ensuivit provoqua des embouteillages monstres avec leurs lots d’accidents.
Les circuits téléphoniques ne dérougirent pas de la nuit, car des milliers de gens voulurent rendre témoignage des atterrissages d’OVNI qu’ils avaient vus… alors que rien ne s’était passé. D’après Jung9, cette émission radiophonique avait touché, chez les auditeurs, l’émotion endormie que provoquerait l’imminence d’une guerre ou d’une mort proche. Dans un tel contexte de rumeur de « destruction planétaire », et à travers les exemples suicidaires cités plus haut, comment ne pas voir, à travers l’amplification de cette peur carbonique, les signes d’événement plus graves encore ? Ainsi, est-il possible (après avoir malicieusement employé le mot de « négationniste » contre les climatosceptiques) que le prochain terme, utilisé contre ceux qui savent que le CO2 est le gaz de la vie, soit celui de « cafard » ! Est-il possible que la diabolisation du gaz essentiel à toute vie végétale représente une manipulation politique des consciences ? que la haine dirigée contre le CO2 soit une gravissime aliénation de la dignité humaine ?
Finalement, est-il possible qu’en fait la carbonophobie actuelle ne soit qu’une « peau de mouton » recouvrant des loups en réalité carbonophiles (car ils veulent se l’approprier) ? Au fait, pourquoi diantre appelle-t-on cela : « La bourse du carbone10» ? Puisque le « méchant vilain » est le gaz carbonique (CO2), pourquoi donc cette sorte de normalisation mondiale d’une falsification linguistique ? Mal nommer les choses, comme disait Albert Camus, n’est-il pas ajouter aux malheurs du monde ?
La perversion de la cité ne commence-t-elle pas par la falsification des mots ? (Platon). Travestir les mots n’est-il pas le pire des maux11 ?
Même si le tort des falsificateurs des mots est absolu – et cette méthode à la Babel12 fait école aujourd’hui dans tous les domaines où il est possible d’inverser, voire de détruire les valeurs traditionnelles multimillénaires –, comment ne pas voir du point de vue juridique une fracture totale ?
Comment est-il possible de croire qu’un élément chimique essentiel à la vie, le carbone, qui doit rester la propriété de tous, soit remis entre les mains d’une dizaine d’individus sans que cela provoque une aversion entre l’humain et la matière qui lui permet de survivre et d’être libre ?
Comment ne pas entrevoir, par la création de la « bourse du 6e élément », une abolition subtile du droit à la propriété privée, y compris à la propriété des productions de nos neurones (qui sont faits de carbone) ? Comment ne pas entrevoir que la prochaine monnaie mondiale sera constituée par des crédits numériques carbone ? Si ce que je pressens est vrai, soyez assurés que la mainmise sur le carbone mondial sera le plus gigantesque coup d’État de l’Histoire humaine, sans précédent par son ampleur, par sa puissance et donc par ses conséquences.
Bref, je subodore que la « bourse » du carbone sera l’équivalent d’un brevet mondial piraté sur l’élément fondamental à toute vie, qui sera remis entre les mains d’une dizaine d’individus tout au plus. Ce pouvoir dépasse, et de loin, tout ce que les dictateurs les plus fous ont rêvé d’obtenir depuis que le monde existe. Un pouvoir absolu que les révolutionnaires anarchistes ont toujours dénoncé, mais qu’ils enfantent par leurs actions violentes et par leur soumission aveugle aux diktats des Voltaire de ce monde… bref, les idiots utiles de Lénine ou, si vous préférez, les jeunes Robespierre manipulés par la Révolution, générateurs de chaos, qui, finalement, ont tous été liquidés par ceux-là même qui s’étaient habilement servis d’eux. Est-il possible que la « bourse » du carbone (un avatar de la peur du carbone) soit un stratagème de terreur destiné à contourner l’illégalité qu’il y aurait à breveter cet élément fondamental essentiel à toute vie ? Est-il possible que, dorénavant, l’élément carbone se retrouve entièrement entre les mains des puissants de ce monde, ceux-là mêmes que le Pape dénonce dans son encyclique ? Le Figaro a raison lorsqu’il affirme que le geste de l’Église est sans précédent13.
Mais, malgré tout cela, je pressens que le pape François imite le Christ dans son immense solitude, lorsque notre Sauveur offrit son Corps – fait de carbone – à celui qui convoite tout, même et surtout nos âmes.
Comprenons qu’avec le viol de la nature par les OGM et les chimères, la bourse mondiale du carbone exerce sur le monde le potentiel du plus formidable acte de piraterie de l’histoire ; acte dont les conséquences ne tarderont pas à submerger l’Humanité.
____________________________
Annexe 1.
Pour compléter cette conclusion, je tiens à préciser que l’augmentation du CO2 dans l’atmosphère n’est pas sans impact (car le carbone modifie la résistance électrique de l’atmosphère : dans les faits, il la diminue, le carbone étant partiellement conducteur, beaucoup plus que l’atmosphère elle-même). Par conséquent, il convient d’évaluer cet impact dans les recherches futures, recherches qui devront aussi tenir compte du fait que des carottages en Antarctique ont permis de découvrir des taux de CO2 d’un certain passé, qui oscillaient entre 2 000 et près de 8 000 ppm, 3 000 ppm étant une certitude.
Évidemment, si la différence de potentiel électrique provient aussi de l’espace (outre celui de la Terre), il est clair que cette immense source d’énergie cosmique pourrait augmenter le nombre des orages (à condition qu’il y ait plus de nuages). Cependant, produira-t-elle une augmentation de la puissance des éclairs (tout en diminuant leur fréquence) ou bien augmentera-t-elle simplement leur fréquence (avec des puissances plus faibles ou mieux réparties dans le temps et dans l’espace) ?
Cette source d’énergie modifiera-t-elle les paramètres de la « gravité », dont la fonction mathématique est bel et bien la même que celle utilisée pour l’électricité, ce que la communauté scientifique considère comme le pur fruit du hasard !? Petite parenthèse :
Examinons l’expression (formule) de la force d’interaction électrostatique :

Regardons maintenant celle de l’attraction gravitationnelle :

Toute personne connaissant un tant soit peu les mathématiques sait qu’il s’agit d’une seule et même formule. Et toute personne possédant une solide culture générale des sciences sait que cela ne peut être aucunement le fruit d’un hasard […] (Extrait de mon livre à paraître intitulé : La Relativité).
Bien que de simples expériences en laboratoires nous permettent déjà de répondre à ces questions, il n’en demeure pas moins que jamais aucun laboratoire ne pourra reproduire réellement tous les paramètres de l’atmosphère terrestre et de l’ionosphère. Mais une chose est certaine, dans le cas actuel d’une augmentation du taux de CO2 de 396 ppm à 400 ppm (soit 1 % d’augmentation selon les plus récents chiffres du GIEC), le changement de résistance électrique (l’inverse de la conductivité) n’aura que très peu d’impact sur les orages, et cela même si nous intégrons aux calculs la découverte faite en 1997 par le physicien Pierre-Marie Robitaille14. Car peu importe le pouvoir transformant du carbone, l’atmosphère terrestre n’est pas assez dense pour retenir les infrarouges (la chaleur), ce que François Gervais a démontré sans l’ombre d’un doute.
Depuis la découverte des « lutins rouges » (redsprites15 en anglais) au-dessus des cumulo-nimbus d’orage, maints chercheurs pensent maintenant non seulement que le climat est régulé par le Soleil (et les rayons cosmiques), mais que la simple météo, même locale, pourrait être fortement régulée par l’activité géo-héliomagnétique (et lunaire).
Malheureusement, puisqu’une telle hypothèse tend à donner de l’importance à ceux qui découvrent des faits en faveur de la théorie de l’Univers électrique (une théorie qui s’oppose à l’actuelle conception réductrice de l’Univers), il est par conséquent notoire que ces thèses ne seront pas exposées de manière impartiale aux autorités, qui réservent les deniers de la recherche aux chercheurs qualifiés de « sérieux » ; et puisque pour être sérieux il faut nécessairement adopter les points de vue de l’establishment, le scientifique est à nouveau enfermé dans une série de raisonnements circulaires dont les ramifications et les buts sont ici clairement politiques.
______________________________
Annexe 2 : « Réchauffement climatique : une étude invalide la thèse officielle »
14/11/2016 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : ce qui n’était qu’une hypothèse vient d’être validé par un important groupe de scientifiques. L’éditeur scientifique Elsevier B.V. a publié le 26 octobre dernier un article attribuant la majeure partie du réchauffement climatique à l’activité solaire16. La thèse a été confirmée par les pairs examinateurs du comité de lecture de l’Annual Reviews in Control, une des sept revues scientifiques de l’IFAC, fédération internationale regroupant des milliers d’experts en contrôle, automatique et identification des systèmes complexes.
Comment les thèses du GIEC sont-elles invalidées ? Par l’approche scientifique. La période observée par l’auteur de l’étude porte sur mille ans, quand celle du GIEC ne porte que sur les 150 dernières années. Ce qui élimine les événements millénaires de la période chaude médiévale et du petit âge glaciaire, notoirement corrélés à l’activité solaire. La seconde erreur du GIEC consiste en la confusion entre cause et effet, à propos des courants océanographiques de type El Niño. D’après le scientifique, il s’agit « d’une erreur méthodologique lourde, évidente aux yeux de n’importe quel expert en science des systèmes ».
Comment expliquer la persistance de la cause humaine comme fondement de toute explication du dérèglement climatique ? Dénoncer l’activité humaine comme l’alpha et l’oméga du réchauffement est bien commode pour les mondialistes. Cela valide leur politique malthusienne de régulation de la population mondiale, véritable fondement des grands rendez‑vous, du type COP 21 en 2015 à Paris et COP 22 à Marrakech en novembre 2016. L’homme étant un parasite pour la planète, il serait donc légitime de réduire les effectifs, par la promotion de l’avortement, ou encore par des campagnes de stérilisation des femmes, notamment en Afrique. Il est regrettable que le pape François se soit fait le relais, dans son encyclique Laudato Si’, de ces thèses du GIEC démenties depuis, donc thèses à considérer désormais comme fausses.
1 https://fr.wikipedia.org/wiki/Stanley_Milgram
2 Et ses machettes à 9 cents (en US $) l’unité.
3 1 100 000 morts lors du génocide « rwandais ». Et non plus 800 000.
4 Pour la plupart souterraines.
5 https://youtube.com/watch?v=LLCF7vPanrY
6 http://wattsupwiththat.com/2015/07/28/a-co-founder-of-greenpeace-tells-the-truth-on-co2/
7 Et pourtant, pendant ce temps, on ne parle pas de ces petites bulles qui chatouillent le palais et qui sont artificiellement injectées dans les boissons gazeuses (ajoutons les bières et le champagne) et qui depuis 1950 représentent 500 millions de tonnes de CO2. dans l’atmosphère.
8 Réf : Pardonne-moi Natacha (Paris, Éd. du Triomphe, 2006) : auto- biographie posthume de l’officier de la marine soviétique Sergeï KOURDAKOV (du KGB), transfuge au Canada le 4 septembre 1971 et converti au christianisme. Un livre extraordinaire, dans lequel on apprend que le Canada et le Québec furent de fantastiques incubateurs communistes athées, et que la querelle séparatiste était une stratégie commune des deux camps, les libéraux de P. E. Trudeau et les péquistes (et les felquistes), pour assimiler religieusement le peuple québécois.
9 C. G. JUNG, Un Mythe moderne, coll. « Idées », Paris, Gallimard, 1961. https://cgjung.net/oeuvre/mythe_moderne.htm
10 http://solidariteetprogres.org/actualites-001/huit-traders-de-la-deutsche-bank.html
11 Ce que l’on constate de plus en plus avec la falsification du mot « mariage » dont le but politique est évidemment de renforcer la nationalisation de tous les enfants et de faire perdre le sens de la « filiation ». Par ex., au Canada, en fin de juin 2005, l’assemblée du Parlement d’Ottawa adopta le « mariage homosexuel », justifiant ainsi le retrait du mot « parents » de tous les textes juridiques et codes civils des provinces. La falsification du mot « mariage » a donc nécessité de remplacer le mot « parent » par celui de « parent légal », remettant ainsi toute filiation entre les mains d’une magistrocratie non élue, donc non démocratique. Ce changement révolutionnaire inédit a une portée juridique que la majorité des gens ne percevront que lorsque tous ces changements légaux seront appliqués avec toute la rigueur et la sauvagerie qu’ils renferment.
12 L’événement de la dispersion des concepteurs de la Tour de Babel avait pour but de conserver la cristallisation du sens des mots dans toutes les langues de la terre (qui sont essentiellement des codes pour raconter le texte original de la Genèse). Les sectateurs de la Tour voulaient justement éliminer ce code original. Aujourd’hui, toutes les langues du monde racontent la Genèse biblique, y compris le chinois avec ses pictogrammes.
13 Sources : http://lemonde.fr/religions/article/2015/06/18/encyclique-du-pape-sur-le-climat-la-france-salue-le-geste-sans-precedent-de-l-eglise_4657495_1653130.html
14 Le carbone (corps noir) ne serait pas l’absorbeur parfait postulé par la loi de Kirchhoff.
15 https://pinterest.com/jimjordan/sprites-and-elves/
16 Philippe de LARMINAT, « Earth climate identification vs anthropic global warming attribution », in Annual Reviews in Control, vol. 42, 2016, p. 114–125.