Partager la publication "L’affaire Pythagore ou l’effondrement de la « science officielle » Part.1"
Par Sanchez, Francis
Résumé : Dans Le Cep n°97, l’auteur nous avait annoncé que le télescope spatial James Webb, lancé le 24 décembre dernier, allait « mettre à l’épreuve la science officielle » et, en particulier, que la théorie du Big bang serait définitivement réfutée. Huit mois plus tard, c’est déjà chose faite car les clichés des galaxies lointaines, aux limites de l’univers observable, nous les montrent en tout semblables aux galaxies proches : parfaitement formées, alors que, selon la théorie et vu la lenteur de la vitesse de la lumière (plafonnée d’office par Einstein), nous ne devrions apercevoir que des « bébés-galaxies » en début de formation, telles qu’elles étaient il y a des milliards d’années…
En réalité, ce n’est pas la seule astrophysique, mais toute la physique moderne qu’il faut reprendre aux fondements, et quelques articles dans Le Cep n’y suffiraient jamais. Francis Sanchez s’est donc attelé à un véritable livre, aujourd’hui en relecture auprès de l’équipe qui l’accompagne depuis de nombreuses années. Ce livre destiné à un large public, il importait déjà de l’annoncer à nos lecteurs, et tout d’abord son titre : Anthropocosmos ou Le retour du bon sens en physique. Anthropocosmos, car l’homme se révèle central dans les paramètres de l’univers – ce que la tradition médiévale avait retenu, l’homme se trouvant au carrefour entre le macrocosme et le microcosme –, et aussi retour au bon sens, car ce sont des nombres entiers qui régissent l’univers selon l’intuition de Pythagore, et ces nombres familiers nous donnent des repères simples, bien loin des multiples décimales indéterminées où, au nom d’une précision parfois futile, se perdaient les physiciens et les astronomes.
La Science rend, pour chacun, l’invisible transparent.
(juillet 1987)
Une œuvre d’art n’est supérieure que si elle est,
en même temps, un symbole et l’expression exacte d’une réalité.Guy de Maupassant, La Morte
Cet ouvrage s’adresse au grand public. Aucune compétence particulière n’est requise, à part celle de savoir manipuler la calculette de son téléphone portable pour vérifier les incroyables corrélations numériques1. Il se veut donc didactique, afin que chacun puisse apprécier l’ampleur de la révolution qui s’annonce. On y rappelle des notions de base fondamentales en Physique et, de manière générale, en Science et en Philosophie.
Certaines de nos présentations pourront surprendre, comme étant contraire au consensus de la majorité des scientifiques, donc des manuels scolaires, mais il faut juger l’arbre à ses fruits : en l’occurrence le déblocage de la Cosmologie et de la Physique théorique, rien de moins. En effet, ces domaines sont dans des impasses – que nous détaillerons – si graves et si profondes que d’aucuns appellent de leurs vœux un « Nouvel Einstein ». Mais nous récusons absolument une telle appellation, car ce n’est pas un bon exemple de probité scientifique. De plus, contrairement à l’approche très mathématique d’Einstein, nos arguments sont tout à fait ordinaires et pleins du bon sens populaire qu’on est en droit d’attendre d’une théorie de portée cosmique et universelle.
L’histoire relatée dans ces pages dépasse l’entendement et tout ce que les auteurs de science-fiction auraient pu imaginer de plus fantastique et de plus inouï. Mais ces faits incroyables sont vérifiables en tous points, d’une part, grâce à la vigilance sourcilleuse de l’éditeur quant aux sources, et, d’autre part, grâce au lecteur lui-même, s’il a la curiosité et la patience de vérifier les corrélations obtenues, qui atteignent parfois le milliardième, soit 25 fois plus improbables que de gagner au loto.
Ce livre raconte l’histoire d’un esthète isolé, engagé dans un combat inégal contre la puissante institution du Système scientifique mondial, forte d’une armée impressionnante de mathématiciens de haute volée, dotés des moyens les plus performants en informatique, en ressources financières et humaines. Leurs Universités et Grandes Écoles dominent la sphère économico-politico-médiatique, recouvrant le globe de bibliothèques savantes, d’instituts prestigieux, d’observatoires performants pesant des milliers de tonnes, et garnissant l’Espace d’une cohorte de satellites bourdonnants.
Oui, le combat était inégal… Ils n’avaient aucune chance.
En effet, des raisonnements d’une simplicité biblique, vérifiables par tous, échappent complètement à cette caste de mathématiciens – les anti-pythagoriciens bouffis de suffisance – qui a pris le commandement de la Science. Ce sont les initiateurs des « maths modernes », une spécialité française, qui a débouché en 2019 sur un classement international en éducation scientifique à l’avant-dernière place mondiale2 !
On comprend mieux ce qui se passe quand on examine la phrase suivante d’Étienne Klein : « Je crois que la science physique « complique la raison », comme disait Gaston Bachelard. Et elle la déplace. Elle le fait d’une part en remettant radicalement en cause, surtout dans les domaines de la physique atomique, de la physique des particules ou de l’astrophysique, les idées et les intuitions réputées les plus solides, d’autre part en faisant ressortir l’efficacité de théories qui contreviennent constamment aux principes auparavant considérés comme les plus fermes, donc les plus intangibles3. »
Étienne Klein, ce représentant très médiatisé de la science officielle, s’il mentionne à juste titre les succès des théories physiques modernes, oublie de rappeler que leurs deux piliers, la gravitation et la quantique, sont mutuellement incompatibles ! Et c’est justement en revenant à la logique la plus élémentaire – celle que Klein se permet de réprouver – que l’on résout élégamment cette crise de la Physique, par un élémentaire « calcul 3 minutes », comme chacun pourra le vérifier dans cet ouvrage.
Allant encore plus loin dans la critique du bon sens, Eric Temple Bell, célèbre mathématicien, auteur du très influent ouvrage Les Grands Mathématiciens, osait écrire : « Si seulement les pythagoriciens avaient rejeté le mysticisme du nombre hérité d’Orient quand ils en eurent l’opportunité, les puérilités de la numérologie médiévale et moderne, et autres divagations futiles des pseudo-mathématiques n’auraient sans doute pas survécu jusqu’à ce jour pour polluer les esprits de scientifiques éthérés et de philosophes ahuris4. »
On reste confondu devant un tel contre-sens, car c’est l’absence de pythagorisme qui avait bloqué la science orientale, comme l’explique Bertrand Russell : « La combinaison des mathématiques et de la théologie, qui a commencé avec Pythagore, caractérise la philosophie religieuse en Grèce, au Moyen Âge, et à notre époque jusqu’à Kant. Chez Platon, saint Augustin, saint Thomas d’Aquin, Descartes, Spinoza et Leibniz, il existe une union intime de la religion et du raisonnement, de l’aspiration morale et de l’admiration logique de ce qui est éternel, qui provient de Pythagore et distingue la théologie européenne de la spiritualité orientale5. »
De plus, pour un pythagoricien, abandonner les nombres serait se récuser soi-même. Il semble qu’une pathologie du « formalisme à outrance » ait envahi les cerveaux de ces anti-pythagoriciens modernes. Certes, ils sont brillants dans leur domaine abstrait, mais cela ne mène à rien : ils tournent en rond. C’est ainsi le cas d’Alexandre Grothendieck, qui a bouleversé les mathématiques, mais qui n’a produit aucune avancée en Physique, déclarant même dans son ouvrage Récoltes et Semailles que la Physique était secondaire. Une autre sommité mathématique, Alain Connes, dans ses conférences, se défend de faire quelque calcul numérique que ce soit, afin – dit-il – de « ne pas se salir les mains » ! Le malheur est qu’il veut se mêler de Physique, et nous avons été obligé de le reprendre dans ses cours au Collège de France, en rappelant à tous la célèbre phrase d’Einstein : « Dieu ne joue pas aux dés. » L’encadré n° 1 va préciser ce que nous entendons par « pythagorisme ».
Encadré n° 1 :
a) Le Pythagorisme contre la Science officielle
- Principe de Pythagore : Tout est Nombre Entier. Tout est régi par l’Arithmétique, la reine des Mathématiques.
- Permanence : le Monde s’appuie sur des lois intangibles, comme l’Arithmétique.
- Principe de Génération : le Un n’est pas un nombre mais le générateur de tous les nombres, comme le Temps, dont chaque instant dépend du précédent.
- Principe d’Harmonie : les petits nombres entiers de l’harmonie musicale sont essentiels pour expliquer l’apparition des grands nombres qui gouvernent le Monde.
- La Tétrade (ou Tétraktys) : c’est la somme 10 des quatre premiers nombres, formant un triangle fondamental (Fig. 0.1).
- Quantification Générale : Toute grandeur physique peut se compter et, donc, comporte une plus petite quantité, ou « quantum ».
- Unicité : Le Cosmos est Unique, ainsi que l’Univers, sa partie visible.
- Finitude : Le Cosmos doit être numérique, donc ne peut être infini.
- Non-séparabilité : Tout est lié dans le Cosmos.
- Holisme : c’est le Grand qui explique le Petit, contrairement au Réductionnisme officiel. La Cosmologie doit donc être le domaine scientifique le plus simple.
- Intelligibilité, ou « rasoir d’Ockham » : Privilégier le plus simple, donc le plus beau, en arasant toute complication inutile.
- Vérifiabilité. La Science est ainsi la plus simple réfutation du hasard, car basée sur du numérique, facilement vérifiable par tous.
b) L’anti-pythagorisme officiel
- Contingence : Le hasard joue un rôle central dans la Nature, en particulier dans l’apparition de la Vie.
- Évolutionnisme : Tout change dans le Monde.
- Anthropisme : La Vie est partout dans l’Univers.
- Continuisme : Toute grandeur physique est continue, c’est-à-dire basée sur l’infiniment petit.
- Infinitisme : Le Cosmos peut être infiniment grand.
- Multiplicité : Il y a une multiplicité d’univers (Multivers).
- Séparabilité : Les objets proches n’influencent pas les objets lointains (et réciproquement).
- Réductionnisme : l’Univers n’est qu’un ensemble de particules en interaction (définition officielle au lycée).
- La Cosmologie doit donc être le domaine scientifique le plus complexe.
- Hermétisme : la compréhension du Monde est réservée aux seuls mathématiciens de pointe.
Malgré l’incohérence actuelle de la physique – où les deux piliers, gravitation et quantique, sont inconciliables – et la faillite de la cosmologie, dans laquelle 95 % du contenu de l’Univers sont déclarés inconnus, les « officiels », pris dans le tourbillon des diplômes, carrières, médailles et autres honneurs, ont oublié comment d’autres crises avaient été résolues dans les siècles précédents : en utilisant le fondement même de la Science, née, selon la légende, sur les rivages de l’île de Samos. Autrefois nommée « philosophie naturelle », son slogan était le célèbre « Tout est Nombre Entier » de Pythagore. En liant deux approches, l’Astronomie et la Musique6, les pythagoriciens avaient cherché dans le ciel la trace de la « Musique des sphères ». C’est encore ainsi que la Science est réapparue en Europe après une longue éclipse, comme un filet d’eau perdu qui a longtemps erré dans les gouffres profonds et qui, à l’émerveillement de tous, émerge enfin en source nourricière. Voici comment sa premièrre apparition, dans la Grèce antique, est décrite avec emphase par Arthur Koestler dans Les Somnambules : « Ce spectacle du VIe siècle évoque celui d’un orchestre avant le concert, quand chaque musicien accorde son instrument sans entendre le miaulement des autres. Puis un silence émouvant : le chef paraît, frappe trois coups, lève son bâton, et l’harmonie émerge du chaos, c’est Pythagore de Samos7. »
Chez les Anciens, l’Astronomie jouait un grand rôle : le ciel montrait des planètes, qu’on pouvait compter, et aussi des étoiles, qu’on ne pouvait dénombrer, mais dont les groupements – les constellations – reliaient l’arithmétique et la géométrie. D’après nous, c’est le fondement des « nombres figurés », dont le plus célèbre est la Tétraktys, une figure triangulaire composée de 10 points formant la somme 10 = 1 + 2 + 3 + 4, représentatifs du point, de la ligne, du plan, du volume ainsi que des 4 points cardinaux. Mais aussi, car tout nombre pair est la somme de deux nombres indivisibles8 : 10 = 3 + 7 = 2 × 5, utilisant le quartet des quatre plus petits nombres indivisibles 2, 3, 5, 7.

Fig. 1. Triangle de la Tétrade, ou Tétraktys (à droite). Représentation du nombre triangulaire d’ordre 4 : 10 = 4 × 5 / 2, c’est-à-dire la somme 10 des 4 premiers nombres. C’est le plus grand nombre triangulaire du carré de 4 × 4 = 16 éléments dessiné ci-dessus : 10 = 16 – 6.
Il se décompose en 10 = 3 + 7, qui sont des « nombres de Mersenne », c’est-à-dire des nombres indivisibles (« premiers ») de type 2n – 1. En effet, 3 = 22 – 1 et 7 = 23 – 1.
Or tout triangulaire d’un nombre de Mersenne définit un « nombre parfait ». Le triangulaire de 3 est 3 × 4 / 2 = 6, le plus petit nombre parfait, celui des jours dans la semaine ouvrée.
Le triangulaire de 7 est 7 × 8 / 2 = 28, le deuxième nombre parfait, celui des jours d’une lunaison, de la période de rotation du soleil et du cycle féminin. Leur somme est 34 qui, multipliée par le nombre initial 4, donne 136 = 16 × 17 / 2, le nombre triangulaire du carré 16 de départ.
C’est une unité de moins que la « Grande Tétraktys » 137, la somme des trois premiers nombres de Mersenne associés l’un à l’autre : 137 = (22 – 1) + (23 – 1) + (27 – 1), qui joue un rôle central en Physique (cf. Encadré n°2) et qui s’écrit 137 = 60 x (1+1/2+1/3+1/4+1/5), soit la somme des 5 plus grands diviseurs de 60 : 137 = 60 + 30 + 20 + 15 + 12. Ainsi le nombre indivisible 137 s’appuie sur le nombre le plus divisible 60, introduit pour cette raison par les Babyloniens9, égal au produit 6 × 10 des deux nombres triangulaires du carré de la Figure. Le terme suivant, le quatrième de cette série (donc une puissance de puissance de puissance de puissance), qui part du plus petit nombre 2, est l’énorme nombre premier de Lucas 2127 – 1, le plus célèbre des mathématiques. C’est sur ce nombre à 38 chiffres décimaux qu’est basé l’Univers visible, ce qui explique son énormité. En remplaçant le 2 par le 3, on obtient le nombre 3127, à 60 chiffres décimaux, qui définit le rapport encore plus grand entre l’Univers et le Cosmos, dont le volume est lié à 137137, nombre à 300 chiffres décimaux.
Encadré n° 2 :
- Présence du 137 dans l’atome d’hydrogène
- Rapport de la vitesse de la lumière sur celle de l’électron
- Rapport du rayon atomique sur la longueur d’onde de l’électron
- Rapport de la longueur d’onde de l’électron sur le rayon classique de l’électron
- Inverse du rendement dans la réaction nucléaire d’une étoile :
- la fusion Hydrogène → Hélium10
LA FORCE ENTRE DEUX CHARGES ÉLÉMENTAIRES DISTANTES DE l EST11 :
Fee = ħ c /a l2, oùa≈ 137,03599921 ≈ √(1372 +π2)
AVERTISSEMENT : Au lieu de se baser sur le paramètre électrique a (si étonnamment proche de 137) et pour des raisons historiques mais inexcusables, les unités électriques officielles introduisent des convertisseurs d’unités qu’ils affublent de termes ronflants comme « permittivité » ou « perméabilité » du vide, qui plongent étudiants et enseignants dans la plus profonde perplexité. Et, comble du ridicule, la physique des particules utilise une unité de masse complètement farfelue, l’électron-volt. Mais quand on prend l’unité naturelle, la masse de l’électron, certaines relations entre les masses des particules deviennent évidentes12. Au lieu de cela, les officiels se débattent avec une vingtaine de paramètres dits « libres » : c’est l’effondrement de la physique des particules, liée à celui de la Cosmologie du Big Bang Initial, que le nouveau télescope spatial Webb va précipiter.
Aussi bizarre que cela puisse paraître, dès que ce nombre 137 est apparu en physique, les physiciens ont été pris de court, car l’Histoire officielle avait oublié que ce nombre était connu des Anciens, comme l’atteste sa présence multiple (4 fois) dans la Bible (Encadré n°3). Ils ont vainement cherché une propriété mathématique particulière de ce nombre 137, pourtant si connu des Égyptiens (cf. chapitre 5), ce qui confirme que Pythagore a été oublié, et même ostracisé.
Encadré n° 3
Présence du 137 dans la Bible :
- Genèse 25, 17 : Ismaël vécut 137 ans.
- Exode 6, 16 : Lévi vécut 137 ans.
- Exode 6, 20 : Amram vécut 137 ans.
- 1 Maccabées 1, 10 : Antiochus devint roi l’an 137 de la royauté des Grecs.
REMARQUE : Si l’on ajoute à 137 les quatre diviseurs de 60 : 6, 5, 3 et 2, dont la somme est 16, on obtient 153 = 17×18/2, le 17e nombre triangulaire, le fameux nombre biblique présent dans le Nouveau comme dans l’Ancien Testament, qui est la douzième partie (nombre des 12 Tribus d’Israël et des 12 Apôtres) de 1 836, le nombre entier le plus proche du rapport de masse proton/électron, relation dont nous montrerons l’importance extrême en Physique et en Théorie des Nombres. Il semble que des savoirs anciens ont été perdus depuis des lustres, au profit des divagations éthérées et stériles des théoriciens modernes, oublieux du fondement même : l’Arithmétique.
Le blocage actuel de la science officielle est comparable à la Crise de l’Atome, qui s’échelonne sur 2 600 ans de questionnements. Pendant le XIXe siècle, l’on a ainsi vu s’opposer les partisans pythagoriciens de l’Atome aux tenants algébristes du Continu, appelés « énergétistes », dont le chef de file était Berthollet. Les pythagoriciens s’appuyaient sur Proust, Dalton et Raoult, qui avaient montré que les réactions chimiques – et même électro-chimiques, car l’électricité est elle-même quantifiée – impliquaient des nombres entiers, dans la pure tradition du Maître de Samos.
En fait, Pythagore a dû puiser son inspiration en Égypte où il aurait séjourné plus de 20 ans. Cela est cohérent avec le fait que l’unité internationale de longueur, le mètre, était connu des Égyptiens13, en relation avec le rayon terrestre par un nombre remarquable, lié à la Proportion d’or, qui revêt une importance centrale en Physique et en Cosmologie14. Nous montrerons que la Nature utilise aussi notre kilogramme comme unité de masse. Des esprits chagrins vont signaler qu’on ne trouve nulle trace du 137 dans les hiéroglyphes égyptiens, mais c’est méconnaître le fait que les prêtres égyptiens, jaloux de leur savoir, tenaient ces choses secrètes. En effet, ce n’est qu’après de longues années que les nouveaux initiés accédaient à ces connaissances sublimes les distinguant du commun. Selon la légende, Pythagore aurait imposé ce long processus d’initiation à ses adeptes, d’où le qualificatif péjoratif de « secte » associé au Pythagorisme.
La Figure 1 illustre l’importance extrême des nombres parfaits 6 (la somme des trois premiers nombres, en incluant l’unité génératrice) et 28 (la somme des 7 premiers nombres en incluant l’unité génératrice), reliés aux nombres de Mersenne 3 et 7, de type 2n – 1 et indivisibles (nombres dits « premiers »). Personne n’a réalisé que dans la Tétraktys, 3 et 7 sont deux nombres de Mersenne associés, puisque 3 = 22 – 1 et 7 = 23 – 1. Dans cette série, le terme suivant est donc 27 – 1 = 127, ce qui fait que :
La Grande Tétraktys est 3 + 7 + 127 = 137
C’est le 33e nombre premier (indivisible), une unité de plus que 136, le triangulaire de 16, lié aux nombres précédents (Fig. 1.). Et le terme suivant fait apparaître le grand nombre le plus célèbre des mathématiques, le « grand nombre premier de Lucas ».
Encadré n° 4
- Le grand nombre premier de Lucas : 2127 – 1, justification de la grandeur de l’Univers
- La généralisation de l’addition est la multiplication
- La généralisation de la multiplication est la puissance
- La généralisation ultime est la puissance étagée « tétradique »
EXPLICATION : Le terme suivant, le quatrième de cette série étagée de Catalan-Mersenne15 (d’où l’adjectif « tétradique »), le dernier de la Hiérarchie Combinatoire de Cambridge16, est donc 2127– 1, le grand nombre premier (c’est-à-dire indivisible) de Lucas, le nombre premier le plus célèbre des mathématiques, un nombre énorme à 38 chiffres décimaux. Seuls les ordinateurs modernes ont pu faire mieux et produire de tels grands nombres premiers, indispensables en cryptologie pour assurer la sécurité bancaire. Or c’est précisément cet ordre de grandeur qui caractérise l’énormité de l’Univers : il est apparu dans la célèbre double corrélation des grands nombres, liant le rapport des forces électrique et gravitationnelles dans l’atome d’Hydrogène avec le rapport du rayon de l’Univers sur le rayon du noyau atomique. De plus, ce grand nombre est voisin aussi de la racine carrée du nombre d’atomes dans l’Univers, et voisin aussi de 3^(3^4), le cube tétradique de 3, qui est lié au Cosmos.
Encadré n° 5
Principe d’Approche Esthétique : la Science a cette caractéristique humaine qu’on peut progresser dans la connaissance par approximations successives, sans disposer de la théorie ultime.Ce Principe d’Approche s’applique aussi dans les Arts, où l’Esquisse est essentielle. Il précise le principe pythagoricien d’Intelligibilité du Monde.
AVERTISSEMENT. Ce Principe essentiel n’est pas reconnu par les « officiels » ; c’est pourquoi ils ont négligé le message pressant ci-dessus, celui des grands nombres. De plus, ils considèrent que les mesures très précises des masses des particules principales, qui atteignent le milliardième, sont sans signification arithmétique. Le « calcul trois minutes », décrit ci-après, montrera que ces masses sont des indices précieux pour résoudre la crise actuelle en Cosmologie et en Physique.
Aussi incroyable que cela puisse paraître, l’interprétation logique par Eddington, le plus grand physicien de l’époque, de ce message numérique du grand nombre à 38 chiffres, a été rejetée par la communauté scientifique. Car Eddington (1882-1944) soutenait que cela éliminait le Big Bang Initial17, et prévoyait le caractère « critique » de l’Univers, c’est-à-dire que son rayon R et sa masse M sont reliés par la relation classique impliquant G, la constante de gravitation de Newton, qui donne la vitesse de libération à la surface d’une boule de rayon R et de masse M : la racine carrée de 2GM/R, dans ce cas égale à la vitesse-lumière c, soit 300 000 km/s (alors que cette vitesse de libération est seulement de 11 km/s à la surface terrestre). Cette condition critique a été effectivement confirmée par les mesures les plus récentes, et les théoriciens l’ont, à tort, interprétée comme résultant d’une inflation cosmique, une nouvelle monstruosité : un Bang à deux étages. De plus, Eddington avait prévu le rayon R de l’Univers ainsi que son nombre d’atomes. Pour accorder les deux approches a été introduit un facteur 3/10, à la fois typique d’une boule homogène et de la Tétrade, confirmé par la cosmologie officielle – qui interprète son complément de Tétrade, 7/10, par une mystérieuse « énergie sombre », complètement inutile.
Le contraste entre les constellations, figures fixes, et les planètes « errantes », voyageant sur la ligne inclinée de l’écliptique (Fig. 2), a introduit l’art très populaire de l’astrologie. Sur cette pseudo-science s’appuyait le prestige des savants auprès des puissants pour tenter de prédire l’avenir, en particulier les éventuelles catastrophes climatiques pouvant affecter l’agriculture18..Mais c’est dans l’art musical que les petits nombres entiers s’expriment de la manière la plus directe : c’est en pinçant une corde vibrante selon des rapports simples de petits nombres entiers que l’on produit une série de notes harmonieuses entre elles, ce qui constitue une gamme musicale.
Le pythagoricien Johannes Kepler s’est acharné à trouver les nombres entiers cachés dans la danse linéaire, mais mouvementée, des planètes (à certains moments, Mars semble faire demi-tour, avant de reprendre sa marche). Nous rappellerons comment, après avoir déduit d’abord deux lois du mouvement, Kepler19 triompha dans sa troisième loi (en 1619), où seuls les nombres 2 et 3 interviennent, les nombres de base de l’harmonie musicale. En effet, le carré des périodes de révolution est le cube des distances au soleil.
Kepler avait donc découvert la «Vraie Musique des Sphères ».
Newton, 50 ans plus tard, a interprété ces lois et en déduisit la gravitation universelle, où tous les corps s’attirent entre eux, proportionnellement à leur masse et en raison inverse du carré de leur distance. Mais il a raté la conséquence pythagoricienne des lois de Kepler20, qui introduisait le monde quantique, discontinu et donc pythagoricien. Il suffisait de remarquer que, si l’on raisonne en nombres entiers, le carré d’un cube est le cube d’un carré, donc que les distances au soleil sont proportionnelles à des carrés d’entier, ce que le pythagoricien Johann Balmer va observer 140 ans plus tard dans la série des longueurs d’onde de l’hydrogène. Ce simple professeur des écoles réussit là où tous les anti-pythagoriciens officiels avaient échoué, débloquant la Crise Atomique du XIXe siècle – où pythagoriciens et leurs opposants se livrèrent un combat acharné. Nous conterons comment la victoire de l’Atome discontinu fut écrasante, grâce aux multiples corrélations numériques dégagées par Jean Perrin (1906).
Selon Poincaré, si les relevés de la position des planètes avaient été 10 fois plus précis, cette révolution de Kepler n’aurait pas été possible, car les planètes se perturbent mutuellement par la gravitation universelle de Newton. C’est là encore une illustration du Principe d’Approche Esthétique (Encadré n°5).
Fig. 2. Le plan de l’écliptique avec les 5 planètes à l’origine de la semaine de 7 jours = 5 + 2 (Lune et Soleil) : lundi (Lune), mardi (Mars), mercredi (Mercure), jeudi (Jupiter), vendredi (Vénus), samedi (Saturne), dimanche (Soleil). Reproduction autorisée par Olivier Gayrard (Club d’astronomie, Saint-Joseph de Gaillac). Cliché pris le 25 janvier 2016.

Les modernes ont cru bon d’introduire des nombres dits « réels », mais qui n’ont rien de tel puisque munis d’une infinité de décimales, comme le π officiel, qui est le rapport du périmètre d’un cercle à son diamètre. Pour un pythagoricien, cette folie du continu est inutile, néfaste et dangereuse.
Il est vrai que le volume d’une sphère et son aire utilisent la même constante π, ce qui constitua le testament d’Archimède. D’après le Principe d’Approche Esthétique (Encadré n°5), cela revient à égaliser un cube et un carré. D’où le Principe Holique21, où les 4 nombres premiers principaux du Quartet Principal ci-dessus (2;3;5;7) sont liés aux concepts fondamentaux : Temps (2 dimensions), Espace (3 dimensions), Masse (5 dimensions), Champ (7 dimensions). Ce dernier concept, le champ, n’est pas intuitif, mais c’est sa forme électro-magnétique qui propage l’information dans l’espace pour alimenter les téléphones portables. Ce nombre 7 n’est pas vraiment indispensable pour l’équilibre de la Tétrade, car 10 = 2 + 3 + 5, ce qui est cohérent avec le fait que le champ échappe à l’intuition. En effet,
la perception musicale22 utilise les nombres 2, 3, et 5,
mais pas le nombre 7.
On appelle Holophysique, cette discipline basée sur le Principe Holographique23 rapprochant des concepts topologiques, comme un volume, une aire ou un périmètre, ainsi que son idéalisation numérique, le Principe Holique. Nous montrerons le caractère prédictif sensationnel de cette Holophysique, garantissant l’adhésion intime entre le Cosmos et le cerveau humain, qui procède naturellement du vague vers le précis.
Ce Principe Holique est lié à la constatation suivante : il est légitime de diviser une longueur par un temps : on obtient une quantité physique familière, la vitesse. Mais pour les amateurs de sensations fortes, c’est l’accélération qui compte : on divise à nouveau la vitesse par le temps.
Et quand on multiplie cette accélération par une masse, on obtient une force. De manière générale, toute grandeur physique est une combinaison entre Masse, Longueur et Temps.
Mais attention : ce sont uniquement des multiplications ou des divisions. En effet, l’addition – ou la soustraction – d’une longueur et d’un temps n’a aucune signification physique. Voila qui semble paradoxal : en physique, on peut multiplier et diviser des quantités physiques différentes, mais pas les ajouter ni les soustraire. Or la multiplication est la généralisation d’une addition : c’est là un paradoxe central que nul logicien n’a relevé.
Une façon d’éliminer ce problème, est de ne considérer que des rapports, chaque grandeur physique étant rapportée à une grandeur de même nature considérée comme unité. Si celle-ci s’identifie au quantum de cette grandeur physique, le rapport est alors – par définition – un nombre entier. Mais alors, comment distinguer un rapport de temps et un rapport de longueur ? Le rasoir d’Ockham privilégie le plus simple : ici par l’exposant qui affecte ce rapport. Et les plus simples exposants sont 2 et 3. Pour un rapport de longueur, il est logique de lui affecter l’exposant 3, puisque l’Espace comporte trois directions ; et donc on affecte l’exposant 2 à un rapport de temps. Historiquement, telle fut l’origine des « équations aux dimensions », mais dans cette appellation officielle, maladroite, un contre-sens s’est établi : on a oublié que la dimension est un exposant, et on a désigné par « dimension » la formulation d’une grandeur physique (par exemple pour la vitesse, L/T est sa définition conceptuelle, appelée officiellement, à tort, sa « dimension »).
Nous expliquerons pourquoi il est légitime d’accorder une dimension 2 au Temps, alors que l’intuition ne reconnaît qu’une direction unique du Temps. Des « officiels » inconscients ont soutenus publiquement24 que « le temps n’existe pas », alors qu’il apparaît beaucoup plus riche et complexe qu’il n’y paraît.
L’équation holique de base est donc la troisième loi de Kepler, qui s’écrit T2 = L3. Elle aurait pu introduire d’emblée la Physique quantique, ce que Newton a raté.
C’est sur le Principe d’Approche que les mathématiciens modernes, dans leur folie anti-pythagoricienne du formalisme continu, achoppent lamentablement : ils ne comprennent pas le sens d’une approximation. Pour eux, le périmètre d’un cercle s’écrit à l‘aide du nombre π, avec une infinité de décimales, ce qu’aucun ordinateur ne peut traiter.
En revanche, pour l’informaticien comme pour le pythagoricien, π doit être approché par des rapports d’entiers, comme le rapport 22/7 d’Archimède, ou le rapport 377/120 de Ptolémée, qui approche la valeur théorique à 23 millionièmes ! Et le plus édifiant, c’est que ce rapport s’écrit avec les 5 plus petits nombres : 377/120 = 2 + 137/120 = 2 + (1+1/2+1/3+1/4+1/5)/2, où apparaît encore le nombre indivisible (premier) 137 = 60 × (1+1/2+1/3+1/4+1/5), qui est central en Physique, égal à la somme des 5 plus grands diviseurs de 60 : 137 = 60 + 30 + 20 + 15 + 12.
Ainsi le nombre indivisible 137 s’appuie sur le nombre le plus divisible 60, introduit pour cette raison par les Babyloniens. Nous montrerons que cette suite était connue des prêtres égyptiens, puisque le nombre 137 explique l’architecture de la grande Salle Hypostyle de Karnak, qui est la plus grande merveille du monde, car directement numérique. De plus, les proportions de la Grande Pyramide, sont liées à des relations numériques qui font toujours débat, mais que nous réglons définitivement de façon positive.
Eddington avait ainsi réalisé, dans sa Théorie Fondamentale, le pont entre ces deux domaines, gravitation et électricité, que la physique moderne s’acharne en vain à unifier. De plus, personne n’a relevé le fait, qu’à partir d’un simple raisonnement de symétrie, Eddington avait prévu le Tau, 35 ans avant sa découverte. Ce troisième électron super-lourd – après le Muon, l’électron lourd – a plongé les physiciens des particules dans l’ahurissement le plus complet. Le fait qu’il y ait 3 familles de particules constitue toujours un mystère total. Rares sont les physiciens ayant reconnu que l’œuvre d’Eddington était prophétique25, mais, dans l’ambiance anti-pythagoricienne actuelle, aucun étudiant n’est dirigé vers une réévaluation de sa Théorie Fondamentale, pourtant si nécessaire.
Le célèbre logicien Bertrand Russell, dans un éclair de lucidité, est arrivé à cette conclusion : « Le plus surprenant est que le Monde est pythagoricien. »
Mais il n’a pas songé à réhabiliter Eddington, ce que le mathématicien Michaël Atiyah a tenté récemment. Lui aussi, pourtant l’un des plus éminents mathématiciens du siècle, a été taxé de sénilité mentale par l’ensemble unanime des « officiels ».
Or, le consensus scientifique, qui prétend fournir la vérité26 est démenti par la cosmologie permanente.
En effet, Eddington avait prédit le nombre d’atomes dans l’Univers, 136 × 2256, directement lié à la matrice 16 × 16, qui comporte 162 = 256 éléments, auxquels l’informatique classique binaire associe le grand nombre 2256.
Le nombre de composants indépendants dans une telle matrice symétrique 16 × 16 est 136, le nombre triangulaire de 16 (Fig. 1). Les officiels se sont moqués de ce grand nombre d’Eddington. Il a été taxé de pythagorisme, mais nous montrerons comment chacun peut vérifier cette prédiction, la plus extraordinaire de tous les temps.
Aujourd’hui, les anti-pythgagoriciens officiels ayant raté les avancées décisives d’Eddington, la Cosmologie officielle est au bord du gouffre. Outre l’énergie noire ci-dessus, une « matière noire » échappe à toute analyse ou observation. Nous montrerons que ce ne peut être que de la matière en quadrature de vibration, avec l’oscillation naturelle matière-antimatière. (à suivre).
1 Ndlr. La calculette scientique sera préférable, car elle permet de mémoriser la valeur des principales constantes et, donc, de repérer aisément les rapports entiers qui les relient.
2 Étude Timss 2019, https://timssandpirls.bc.edu
3Dialogue entre François EUVÉ et Étienne KLEIN, La Science : l’épreuve de Dieu ? Réponses au livre : Dieu, la science, les preuves, Paris, Salvator, 2022, p. 145-146.
4 Cité dans Le Dossier Pythagore, Pierre Brémaud. Ellipses, 2010.
5 B. RUSSELL, A History of Western philosophy (Une Histoire de la philosophie occidentale), New York, Simon & Schuster, 1946, p. 37. Nouvelle édit. à Londres, Éd. Routledge, 2004.
6 James JEANS, Science and Music, É-U, Mineola, Dover Publications, (1953) édit. revue 1968. Nous montrerons que la gamme musicale cosmique est liée aux nucléotides de l’ADN ; c.f. F. M. SANCHEZ, C. BIZOUARD & V. KOTOV, « Anthropocosmos », Progress in Physics, août 2022.
7A. KOESTLER, Les Somnambules, Essai sur l’histoire des conceptions de l’Univers, Paris, Calmann-Lévy, 1960, p. 20.
8 C’est la conjecture de Goldbach, toujours indémontrée.
9 Ndlr. Convenant tout spécialement pour les divisions du temps et du cercle.
10 Chaque atome d’Hélium de masse m correspond à une libération d’énergie voisine de mc2/137. Avec la densité d’Hélium observée, cela correspond à une température cosmique voisine de 3° Kelvin, la température de rayonnement du fond diffus cosmologique : c’est une nouvelle confirmation de la Cosmologie Permanente.
11 Ndlr. La constante de Planck réduite ħ, appelée h-barre, est égale à h / 2π .
12 En particulier, la masse atomique de Fermi est 312, dont la moyenne géométrique avec 137 s’identifie avec le rapport de masse muon/électron. Cette relation nous a permis, en 2004, de prévoir 2 décimales de plus sur la masse de Fermi, décimales qui ont été confirmées 10 ans plus tard.
13 A. FOURNIER, « À la recherche de l’étalon universel », Le Cep n°93, p. 13.
14 F. M. SANCHEZ, M. GROSMANN, R. VEYSSEYRE, H. R. VEYSSEYRE & D. WEIGEL, « Towards Science Unification through Number Theory», A. P. Math, vol. 11, n°1, p. 27-62 (2021). https://.scirp.org/journal/apm
Ce nombre est 3 570 = (2×3×5×7)(2+3+5+7), qui est la puissance 17 (soit 2+3+5+7) du nombre d’or φ moins l’unité (à 10-7 près). Les 4 nombres du quartet (2; 3; 5; 7) sont liés à la Tétrade : 10 = 2 x 5 = 3 +7. Or les puissances du nombre d’or sont données par la série de Lucas équivalante à la série de Fibonacci, mais en partant du couple 2;1 au lieu de 1;2. Chacun peut vérifier que le 17e terme est bien 3 571, et que sa racine 17e est le nombre d’or à la précision de 5 milliardièmes ! En liaison avec le 17, il y a donc deux nombres bibliques d’importance centrale en Physique : 137 = 16.17/2 +1 et 153 = 17 x 18 / 2. Le premier est la somme des 5 plus grands diviseurs de 60, le second incluant les petits diviseurs de 60, dont la somme est 16.
15Cette suite, dont la progression est spectaculaire, est référencée n°A007013 dans l’OEIS (On-line Encyclopedia of Integer Sequences).
16 Louis H. KAUFFMAN, Cl. W. KILMISTER & T. BASTIN, Combinatorial Physics, E-U, Hackensack, Éd. World Scientific, 1995.
17 Eddington aimait dire:« le Big Bang me laisse froid. »
18 La tradition astrologique se perpétue dans le GIEC, qui, comme son nom l’indique (Groupe d’expert Intergouvernemental sur l’évolution climatique), est une réunion de faux scientifiques, c’est-à-dire « aux ordres ». En effet, certains gouvernements ont intérêt à faire croire que le réchauffement climatique provient de l’activité humaine. Ainsi Jean Jouzel déclare que la réduction de la vitesse sur autoroute peut modifier le climat planétaire. Cette absurdité manifeste est une preuve supplémentaire de l’incompétence ou de la docilité de ces gens.
19 En fait, historiquement, la première loi de Kepler n’est pas l’ellipse, mais la loi des aires, qui contenait en germe la constante de Planck. Contrairement à la doxa officielle, la forme elliptique de la trajectoire n’a aucune importance, et c’est pourquoi Galilée a eu raison de négliger l’ellipse. Voir la préface de Maurice CLAVELIN dans Galilée et Kepler. Cosmologie et théologie à l’époque de la Contre-Réforme, de Massimo BUCCIANTINI, Paris, Les Belles Lettres, 2008.
20 F. M. SANCHEZ, C. BIZOUARD, M. GROSMANN, D. WEIGEL, R. VEYSSEYRE & V. KOTOV, «Space-Time Quantification », Progress in Physics, vol. 18, 66-73, (2022).
21 F. M. SANCHEZ, « Holic Principle », conférence, sept. 1994, Cambridge, ANPA 16 (1995).
22 Alain DANIÉLOU, Traité de musicologie comparée, Herman, 1959, p. 29.
23Les « officiels » ont admis le Principe Holographique, indépendamment de l’auteur, spécialisé en Holographie, mais n’ont pas su l’appliquer à la Cosmologie, étant bloqués par la variabilité de leur Univers en expansion.
24 Carlo ROVELLI, Et si le Temps n’existait pas ?, Paris, Dunod, 2014.
25 N. SALINGAROS, « Some Remarks on the Algebra of Eddington’s ENumbers », Foundations of Physics, 15, 1985, p. 683-691.
26 Ainsi cette affirmation de Bruno LATOUR en couverture de Cogitamus. Six lettres sur les humanités scientifiques(Paris, Éd. LaDécouverte, 2010): « C’est grâce au fait que nous sommes nombreux, soutenus, institués, instrumentés que nous accédons au vrai » [sic].