Accueil » L’envie, moteur de la violence (2ème partie)

Par Harold Kallemeyn

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SOCIETE
« Il a plu à Dieu qu’on ne pût faire aucun bien aux hommes qu’en les aimant.« 
(P. Le Prévost)

Harold Kallemeyn*

Résumé : L’envie (invidia) est définie par Aristote comme la douleur que provoque en nous l’excellence, la supériorité ou la réussite d’autrui. Après avoir étudié sur l’exemple de Caïn comment ce péché détruit intérieurement sa victime, l’auteur montre l’impact social de l’envie à l’encontre de la créativité, du progrès social, comme du progrès économique. Il n’est donc pas étonnant que l’envie, moteur de la violence révolutionnaire, débouche sur le désenchantement, une fois installées les nouvelles classes dirigeantes.
« Si le Seigneur ne bâtit la maison, en vain peinent les maçons !… »

La jalousie de Caïn eut aussi d’autres conséquences malheureuses. Pensons, premièrement, à la tristesse de la famille à l’occasion de la mort d’Abel. Ensuite, à la montée de la vengeance dans l’histoire humaine (voir Gn 4 :15-24). Enfin, on peut imaginer que ce meurtre, raconté pendant les générations suivantes, a donné lieu à la méfiance à l’égard des jaloux.

Ce récit met en lumière le fonctionnement typique de la jalousie que l’on peut résumer en trois mots ou expressions : vouloir, en vouloir et s’en vouloir.

Vouloir. Le jaloux est irrité par le fait qu’un proche bénéficie de qualités, d’avantages, d’honneurs ou des possessions qu’il n’a pas lui-même. Puisque ces avantages ne sont pas les siens, il ne peut s’en réjouir, il ne peut les admirer, ni encore moins s’en féliciter. Le jaloux ne peut pas admirer un bien appartenant à autrui sans le vouloir pour lui-même. La convoitise l’envahit.

En vouloir. La volonté de posséder les avantages d’autrui se transforme rapidement, chez le jaloux, en animosité et ressentiment à l’égard de celui qui est avantagé.

Le désir de posséder se transforme en désir de déposséder l’autre de ses avantages. Pour surmonter sa douleur, l’envieux cherche à éliminer ces avantages. Déposséder, « tirer vers le bas », rabaisser, frustrer, ou même éliminer l’autre, devient pour le jaloux tout l’objet de son attention. Le jaloux est, par définition, un violent, un destructeur, un méchant.

S’en vouloir

a) Puisqu’il ne peut pas justifier ses sentiments et ses actes, il est rare que l’envieux en soit fier au point de l’avouer aux autres ou à lui-même. Car, avouer sa jalousie, c’est avouer son immaturité et sa faiblesse morale. C’est se couvrir soi-même de honte. C’est pourquoi la jalousie est un vice qui se cache, comme une bête féroce se cache dans la forêt. En effet, il est rare d’entendre une personne dire : « Je n’aime pas cette personne, car elle est plus belle que moi. » « Celui-ci m’irrite, car il a réussi sa vie mieux que moi, ou parce qu’il est plus heureux que moi. »

Puisque l’homme trouve si difficile de reconnaître sa propre envie, il invente des prétextes pour justifier son antipathie à l’égard d’une personne avantagée. Par exemple, il attire l’attention sur ses défauts. Malgré ses efforts pour justifier son mépris ou son animosité, il garde souvent, au fond de lui-même, un sentiment de honte à cause de ces sentiments non justifiés. La honte, à son tour, provoque une souffrance et une tension intérieures qui viennent s’ajouter à sa frustration. Alberoni, en étudiant les effets psychologiques néfastes de l’envie, affirme que le jaloux est souvent médisant, justicier, pessimiste, hypercritique.

Il est celui qui apporte de mauvaises nouvelles, qui s’apitoie sur lui-même ou qui recherche des honneurs2.

Le jaloux n’est pas heureux, même lorsque la personne enviée est dépossédée de ses avantages. Comme Caïn, le jaloux paie un lourd tribut à cette « bête sauvage » qui cherche à le détruire.

Vivant de grandes tensions intérieures, le jaloux devient triste et aigri, rempli de ressentiment. La culpabilité se mêle à la honte et crée un tourbillon de regret et d’amertume.

Comme cela s’est passé avec le roi Saül, jaloux du jeune David, la jalousie peut conduire à des actes insensés.

Dans sa pièce de théâtre Amadeus (voir aussi le film du même nom) inspirée par l’œuvre de Pouchkine, Peter Schaffer présente un collègue du grand musicien Mozart, Antonio Salieri. Salieri est, lui aussi, un musicien accompli. Mais toute sa vie, il reste à l’ombre du très célèbre Mozart.

Salieri admire le génie et la beauté des compositions musicales de Mozart. Mais, peu à peu, son admiration se transforme en jalousie. Mozart, depuis son enfance, compose sans effort apparent (et même en jouant au billard !) une musique qui dépasse en qualité ses propres compositions, le fruit d’années de travail acharné. C’est pourquoi Salieri3 accuse Dieu d’avoir créé ce Mozart si talentueux. Il reconnaît, avec une lucidité terrible, son problème profond. Il admet : « J’ai combattu Dieu au sujet de sa créature préférée, Amadeus. »

Dans sa frustration et sa colère, Salieri fait reproche à Dieu :

« Merci, Seigneur ! Tu m’as donné le désir de te servir. Ensuite, tu as fait en sorte que mon travail apparaisse comme médiocre (comparé à celui de Mozart). Merci, Seigneur !

J’ai travaillé sans relâche pour toi, Dieu, pour entendre et faire entendre ta voix. Aujourd’hui, je n’entends qu’une seule voix, celle de Mozart ! Tu as choisi ce petit Mozart pour être ton messager privilégié… Merci, merci et merci encore ! Ainsi soit-il. Dès lors je serai ton ennemi ! »

Comme Caïn, le Salieri de Pouchkine n’a pas su dompter la bête sauvage de la jalousie qui faisait rage en lui. Il s’est lui-même empoisonné par la jalousie et, après avoir empoisonné Mozart, il reconnaît : « J’ai tué Mozart par envie. » Au-delà de sa qualité artistique, cette pièce de théâtre montre à quel point les dons de Dieu peuvent provoquer la jalousie chez ceux qui n’arrivent pas à admirer les talents et les avantages des autres ni à s’en réjouir. Les dons de Dieu ne sont pas uniformes. Salieri le savait bien. Tiraillé entre la tentation de l’orgueil et celle de l’envie, cette différence était sa pierre d’achoppement, comme elle le fut pour les ouvriers de la première heure qui, dans la parabole de Jésus, ont mal reçu la question du maître, en fin de journée : « M’en veux-tu parce que je suis bon ? »

L’effet destructeur de l’envie et l’horreur que cette destruction provoque, sont un thème présent chez les plus grands auteurs : d’Ovide dans les Métamorphoses à Dostoïevski dans les Mémoires écrits dans un souterrain, en passant par Shakespeare – René Girard en a fait l’étude dans Shakespeare, les feux de l’envie – sans parler de Balzac dans La cousine Bette, de Charles Dickens dans les souvenirs intimes de David Copperfield ou d’Hermann Melville dans Billy Budd. Rares sont les thèmes qui ont suscité un sentiment de désapprobation universelle aussi fort que l’envie qui détruit.

b) Considérons, maintenant, plus rapidement, une deuxième forme de violence engendrée par l’envie.

Imaginons que Caïn, après le meurtre d’Abel, soit resté sur place pour devenir le chef du clan familial. Quelle aurait pu être l’attitude de son jeune frère Seth à l’égard de Caïn ? A sa place, je me serais bien gardé de me montrer plus apte, plus habile ou meilleur que mon grand frère ! Pour survivre, Seth aurait probablement appris à faire violence à ses propres aptitudes dans la mesure où celles-ci auraient pu devenir une menace pour son frère. Il se serait méfié de tout élan de créativité qui aurait pu l’inciter à faire mieux que lui, le chef.

Ceci rappelle le comportement des courtisans du roi Louis XIV, qui n’osaient pas gagner lorsqu’ils jouaient au billard avec lui.

Cela fait aussi penser à l’ancien président du Congo, Laurent Kabila, dont on disait qu’il se méfiait des gens plus compétents que lui. Il est probable que les plus compétents de ses collaborateurs se sont méfiés aussi et ont veillé à garder profil bas !

Nombreux, légion même, sont les exemples de cette forme de jalousie qui, à défaut de pouvoir détruire directement, fait planer l’ombre de sa menace sur les communautés humaines. Jalousie qui tue l’innovation, la créativité et la recherche de l’excellence. Pour un triste résultat : le progrès social ou économique en est bloqué, pour ne pas dire détruit. On pourrait en dire autant de la réalisation du mandat sur la création donné par Dieu à Adam et Eve au jardin d’Eden.

Dans ses études sur les ethnies sud-américaines, l’anthropologue Eric Wolf arrive à cette même conclusion qu’une société ne peut pas avancer économiquement , avec une production accrue et des innovations, si des membres ont si peur de la jalousie des autres qu’ils ne cherchent pas à « mieux faire » dans leur activité quotidienne. Dans une telle société, on se méfie des innovations et des efforts pour produire ou construire mieux. La peur d’être jalousé annihile toute réflexion créative, écartant le développement économique que favorise un climat social propice aux initiatives nouvelles.

Dans l’ethnie des Aritama, en Amérique du Sud, par exemple, Wolf a remarqué que si l’un des paysans du village travaille avec plus d’ardeur que les autres et que l’on s’en aperçoive, son champ sera marqué d’une croix. Avant l’arrivée du paysan, le lendemain matin, les autres villageois s’y rassemblent pour implorer la divinité de l’affaiblir et de le ralentir dans son travail.

Un tel contexte social incite le jeune à brider sa créativité et son zèle afin de n’être pas victime de la violence jalouse des autres.

Dans la République de Guinée, en Afrique de l’Ouest, se trouve une ville appelée Kouroussa. Cette ville est représentative de bien d’autres dans le monde. Avant l’indépendance du pays, en 1958, Kouroussa avait la triste réputation d’être un lieu où régnait la jalousie. Ses habitants réagissaient très mal face aux avantages et aux succès des autres.

Leur esprit de jalousie se manifestait concrètement lors de la construction de leurs maisons, chacun ne supportant pas que son voisin puisse construire une maison meilleure que la sienne, c’est-à-dire qui ne soit pas construite selon la méthode traditionnelle : en briques de terre, sans étage et avec un toit en paille.

Lorsqu’un jeune avait l’audace de construire une maison à étage ou avec un toit en métal pour la rendre plus étanche aux pluies abondantes de la région, ses voisins lui faisaient subir toutes sortes de brimades, allant parfois jusqu’à la mort, pour le punir de son « orgueil ». La ville de Kouroussa acquit ainsi une bien mauvaise réputation ! Les cadres de l’administration, en particulier, ne voulaient surtout pas y être affectés. Personne n’avait envie d’emménager à Kouroussa ! C’est pourquoi cette ville n’a pu se développer comme d’autres villes de la région.

c) Une troisième forme de violence est engendrée par ce que l’on pourrait qualifier d’envie idéologique. Il s’agit d’une attitude que cultivent certains mouvements politiques.

Elle s’est déployée, dans sa forme la plus radicale, dans les pays qui ont mis en pratique l’idéologie marxiste. Le marxisme classique a représenté un effort pour mobiliser l’envie chez les citoyens dans l’espoir ultime de la vaincre. On a cultivé un sentiment d’antipathie à l’égard des privilégiés, en imaginant que cette hostilité deviendrait le moteur d’un mouvement social contre toute forme de privilège. L’égalité (l’uniformité), rendue possible par l’élimination des privilèges (des avantages), devait permettre aux populations de ces pays d’extirper l’envie – de s’en purifier par le feu de la révolution – et, ainsi, de créer un élan de fraternité égalitaire et altruiste…

En quoi cette idéologie politique, qui consiste à mobiliser l’envie pour la vaincre, est-elle source de violence ? De trois manières au moins :

– D’abord, parce que le mouvement initial de restructuration sociale, amorcé pour abolir les privilèges, est nécessairement violent ; les privilégiés sont, en effet, prêts à défendre, par fa force, leurs avantages.

– Ensuite, parce que la promesse d’une société sans privilèges, sans avantages, crée des attentes irréalistes dans l’esprit de ses partisans.

La déception de qui espère voir se réaliser ce rêve d’une société sans privilèges, sera d’autant plus grande lorsqu’il découvrira à quel point les chefs de la révolution se sont, finalement, attribué des privilèges considérables. La rage violente qui se manifestera contre les nouveaux dirigeants – ces apôtres de l’égalité prolétarienne – sera à la mesure des attentes déçues. Pensons, par exemple, à la manière dont Ceaucescu a été désinvesti de ses fonctions en Roumanie.

– Enfin, les idéologies qui font la promotion de l’égalitarisme finissent par dévaloriser la différence, la créativité et l’excellence. (Pensons aux productions artistiques uniformes des sociétés communistes, y compris actuellement en Corée du Nord). Cette dévalorisation de la différence décourage l’individu de prendre des initiatives personnelles pour surmonter les difficultés et réaliser ses ambitions.

Détruire tout esprit d’invention, de créativité, d’initiative personnelle, n’est-ce pas une des formes de violence morale les plus grandes, une des atteintes les plus cruelles à la dignité humaine ?

II. Surmonter l’envie par l’Evangile

Heureusement l’Evangile, la Bonne Nouvelle chrétienne, permet au croyant de combattre l’envie.

a) Premièrement par la reconnaissance

Par la Parole et par l’Esprit, l’Evangile rend l’homme capable de s’examiner et de reconnaître l’envie lorsque celle-ci se présente à son cœur. Ce n’est pas le moindre des exploits que l’Esprit opère dans le cœur humain !

L’Evangile rend aussi l’homme capable de reconnaissance, au sens de la gratitude. Par l’Evangile, l’homme se sait créature, un être qui a reçu le don de la vie, un cadeau gratuit. L’Evangile convainc l’homme qu’il n’a pas inventé sa propre vie, qu’il en est redevable à son Créateur et Sauveur.

Par l’Evangile, il est rendu capable de recevoir favorablement la parole de l’apôtre Paul : « Qu’as-tu que tu n’aies reçu ? »

Dans son livre classique Envie et gratitude, la psychanalyste Mélanie Klein met en opposition ces deux dispositions du cœur.

Je n’adhère pas à toutes les thèses présentées par cet auteur, mais je crois qu’il est juste de reconnaître l’opposition qui existe entre l’envie et ce que le Catéchisme de Heidelberg présente comme la réponse fondamentale que Dieu attend du croyant, à savoir la gratitude.

b) Ensuite, l’Evangile arme le croyant contre l’envie en suscitant en lui un sentiment de contentement.

Rappelons que, dans la théologie chrétienne, le contentement n’est ni une forme de satisfaction de soi – c’est-à-dire une forme camouflée (soft) d’orgueil – ni une attitude de résignation passive ou fataliste. Le contentement du chrétien puise ses racines dans la doctrine de la Providence de Dieu. Il s’agit de la conviction que Dieu lui a adressé une vocation de service humble et qu’il lui donne tout ce qui est nécessaire pour l’accomplir, en étant inspiré et fortifié par sa Parole et par son Esprit.

Cette conviction est nourrie, par exemple, par la parabole des talents. Tous les ouvriers ne reçoivent pas les mêmes talents mais tous en reçoivent. Aucun n’en est dépourvu.

Remarquons que cette parabole ne concerne pas l’acquisition d’avantages, mais la mise en œuvre des talents reçus en vue de l’avancement de la bonne cause du Maître.

Nombreux sont les auteurs, chrétiens et non croyants, qui ont remarqué la finesse psychologique de cette parabole. Celui qui n’a reçu qu’un seul talent a été le plus vulnérable face à la tentation de la passivité et, probablement, de l’envie. En se comparant à ceux qui ont reçu davantage de talents, il est devenu imperméable à ces deux qualités humaines applaudies par les grands penseurs depuis Aristote : l’admiration et l’émulation.

Par l’Evangile, l’homme est rendu capable de recevoir, avec contentement, les talents et les avantages qui lui sont accordés et, en même temps, de recevoir en profondeur l’interrogation du maître dans la parabole des ouvriers de la dernière heure : « M’en veux-tu parce que je suis bon (…) pour un autre ? »

c) Enfin, l’Evangile arme le croyant contre la tentation de l’envie en l’incitant à la générosité. La parole de Paul : « Qu’as-tu que tu n’aies reçu ? » l’invite à considérer ses talents et ses avantages comme autant d’invitations à servir le prochain.

Par la grâce de l’Evangile, l’attention envieuse portée à celui qui a reçu davantage est détournée et se porte vers celui qui a moins reçu. C’est ainsi que ce dernier sera appelé, par des gestes et des attitudes généreuses, à connaître la providence et la grâce de Dieu.

L’Evangile montre le chemin d’une vie libérée du virus caché de l’envie qui détruit. Sur ce chemin, le croyant apprend à recevoir avec gratitude. Il apprend aussi à se réjouir des qualités, de l’excellence et des avantages des autres et à les apprécier. Sur ce chemin, il découvre la joie de devenir généreux, comme son Dieu.

Nos cœurs et nos communautés, fatigués et fragilisés par les jalousies qui les accablent, mettent leur espérance en Dieu qui, seul, peut les libérer de cette « bête sauvage » et, par sa grâce, les faire revivre.

Bibliographie

Adnès Pierre, « Jalousie », Dictionnaire de Spiritualité (Paris,  Beauchesne, 1974)

Alberoni Francesco, Les envieux (Paris, Plon, 1995)

Girard René, Shakespeare, les feux de l’envie (Paris, Grasset, 1994)

Hassoun-Lestienne Pascale (sous dir.), L’envie et le désir. Les faux frères (Paris, Autrement, 1998)

Klein Mélanie, Envie et gratitude (Paris, Gallimard, 1968)

Fernandez de La Mora Gonzalo, Egalitarian Envy, the Political Foundation of Social Justice (New York, Paragon, 1987)

Schoeck Helmut, Envy. A Theory of Social Behaviour (New York, Harcourt, Brace & World, 1969)

Varian H., “Equity, Envy and Efficiency”, Journal of Economic Theory 9,63-91.

* H. Kallemeyn est professeur de théologie pratique à la Faculté libre de théologie réformée d’Aix-en-Provence.

2 Francesco Alberoni, Les envieux (Paris, Plon, 1945, pour la traduction française), chapitre 23.

3 Ndlr. Le personnage de Salieri chez Pouchkine est fort éloigné du véritable Salieri ; et le film Amadeus a repris les calomnies de Pouchkine sur Salieri qui fut un authentique génie musical (50 opéras dont plusieurs chefs-d’œuvre, des oratorios, cantates et compositions diverses). A 35 ans, il fut nommé chef d’orchestre de la Cour de Vienne (en 1785, donc 6 ans avant la mort de Mozart ; il n’avait dont aucune raison de l’assassiner) et compta parmi ses élèves Beethoven et Schubert. Même s’il intrigua contre Mozart, il est clair que Pouchkine a forcé le trait.

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