Partager la publication "Courrier des lecteurs : Utiliser la méthode expérimentale pour les ondes émises par les sources miraculeuses"
Par Monsieur J.P. (Isère)
A propos des ondes émises par les sources miraculeuses, voici la démarche qu’il faut avoir en tant que scientifique : utiliser la méthode expérimentale sans préjugés. C’est cette démarche qui fait si peur aux scientifiques rationalistes (en fait, de faux scientifiques et de véritables sectaires) à un point tel qu’ils refusent toute expérience conjointe ou contradictoire.
Il y a déjà longtemps que les sourciers, radiesthésistes ou guérisseurs avaient signalé de forts effets autour des sources miraculeuses et des lieux d’apparitions ou de pèlerinage, même très anciens. Et que le maximum se situait toujours au tabernacle contenant la Présence Réelle de la chapelle, basilique ou sanctuaire. Pensons aussi à Jésus qui sentit comme un flux de guérison quand la femme malade toucha la frange de son manteau, alors qu’Il était pressé de toutes parts par la foule.
Ces « ondes », probablement vibrations de l’éther, sont aussi utilisées par les médecins pratiquant les méthodes « douces ». Prions pour que ces méthodes ne soient pas des faire-valoir pour les erreurs de type « New Age ». La physique moderne a établi des modèles, en particulier les modèles atomiques, qui masquent les phénomènes réels. Aucun espoir de progression avec ces idées fausses, maintenues exprès par les serviteurs des forces du Mal qui savent parfaitement ce qu’il faut cacher. Il est illusoire d’essayer d’apporter une explication à ces phénomènes en utilisant la physique actuelle. En attendant le retour à des conceptions plus proches de la réalité, le travail expérimental est la meilleure voie. Cela permet de constater des effets et de poser des questions, les bonnes questions. Ce serait une très grave erreur de proposer de nouveaux « modèles » à but explicatif et prédictif, dans l’état actuel des sciences.
Il faudra un retour à la primauté du spirituel pour retrouver une science débarrassée de ses préjugés rationalistes et une compréhension « vraie » des phénomènes incorporels. Compréhension qu’ont les mystiques, même s’ils ne peuvent exprimer ce qu’ils savent.